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Edrahil

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Tout ce qui a été posté par Edrahil

  1. Moi je le connais pas, mais je vis pas au Japon. De rien. Edrahil.
  2. @teil un +1 pour The Promised Neverland que j'aurais cité si l'ami Barbi ne l'avait fait. 10 ans me semble correspondre.
  3. Une lecture qui peut t'éclairer sur ce questionnement mais qui demeure (je te préviens) une lecture aride, spécialisée et universitaire, c'est La Transfiguration du Banal d'Arthur Danto. "Arthur Danto étend à l’ensemble des pratiques artistiques cette interrogation : le même objet peut être ici une vulgaire roue de bicyclette, là une œuvre (Roue de bicyclette, par Marcel Duchamp) cotée à cette Bourse des valeurs esthétiques qu’on appelle le « monde de l’art ». Une telle transfiguration montre que la spécificité de l’œuvre d’art ne tient pas à des propriétés matérielles ou perceptuelles, mais catégorielles : l’œuvre possède une structure intentionnelle parce que, figurative ou non, elle est toujours à propos de quelque chose" En gros, il montre que dans l'art ce qui "compte" c'est l'intentionnalité, le propos qu'il y a derrière l'intention, sa représentation et son identification en tant que telle, c'est à dire en tant qu'œuvre d'art . Par exemple, pourquoi un simple urinoir est-il ce qu'il est (un simple urinoir), ou bien pour Duchamp un urinoir s'appelle Fontaine ? Tu dois sentir qu'on est là sur tes questionnements je pense. Et un énorme merci pour m'avoir fait prendre connaissance de l'artiste Serge Marshennikov. C'est magnifique !
  4. Un super moment. Comme d'hab'. Merci à vous.
  5. @Roolz Oui oui bien sûr. Je ne parlais que de cette belle intégrale, je ne suis pas rentré dans le détail des dates. Nous sommes entièrement d'accord.
  6. Edrahil

    le post à râler!

    Quel meneur de troupe !
  7. Edrahil

    [TALC] La garde de nuit

    Woputain ! J'ai lu "parce que ceux d'en face ils se reproduisent" 🤣
  8. Dans la catégorie "...et autres" du titre du post, je cite Je veux manger ton pancréas que je m'étais acheté en dvd pour cette fin d'année. Vu donc hier, et quel beau film de japanimation (si tant est que japanimation caractérise quoique ce soit) ! Je veux manger ton pancréas c'est l'histoire d'une jeune lycéenne, populaire et pleine de vie. Tout l'opposé d'un de ses camarades solitaires qui tombe un jour par mégarde sur son journal intime et découvre qu'elle n'a plus que quelques mois à vivre (touchée par une maladie du pancréas). Unis par ce secret, ils se rapprochent sous l'impulsion de la jeune fille et finissent par s'apprivoiser. Elle lui fait alors la proposition de vivre ensemble toute une vie en accélérée le temps d'un printemps. Vous le sentez le truc bien larmoyant au possible (?) Dès le début on sait que nous nous acheminons tout droit vers la mort d'un des deux protagonistes : ambiance ambiance. Et malgré cette ombre qui plane, ce film demeure plein de vie et malin dans les messages qu'il souhaite prodiguer. Je l'ai trouvé plein de jolis moments dans la pure veine des drames romantiques. Un vrai catalogue de situations de romance mais enquillées avec une grande délicatesse et amenées avec finesse. Le réalisateur sait où il va et où il veut aller. On le comprend quand vers la fin on se rend compte que plein de petits détails tout au long du film servent le propos de la fin. C'est, de mon point de vue, la preuve que rien n'était vraiment hasardeux ou gratuit mais bien maitrisé. Si vous n'aimez pas les drames romantiques, passez votre chemin. Si c'est votre came ou si même cela peut vous attirer essayer. Pour vous donner une idée, c'est dans la même veine que Your Name ou A Silent Voice... mais en plus triste. Une de mes meilleures expériences dans l'animation japonaise. Quel beau film.
  9. Qu'il est bon d'avoir du temps pour lire avec ces week-ends de trois jours de fin-début d'année. T1 et T2 de Smart Girl de Dagnino/Boisseau (série complète en deux tomes). Résumé éditeur : “Dans un monde où les androides à forme humaine sont réduits en esclavage, Yuki est une Smart Girl, à la fois assistante personnelle, garde du corps et amante de son maître, Hiro. Mais lorsqu'elle découvre qu'une de ses précédentes identités est une rebelle luttant contre Gorgona, une intelligence artificielle omniprésente, elle va briser ses chaînes et partir à la recherche de ses souvenirs afin d'empêcher l'irréparable. Savant mélange entre Blade Runner et Black Mirror, saupoudré de dark punk et de série noire, cette histoire va plonger le lecteur dans un univers inattendu et dans une intrigue très prenante. Un magnifique album oscillant entre science fiction, polar et fantastique.” Je ne peux pas dire mieux que ce résumé. Imaginez un Blade Runner du point de vue du personnage de Rachel (l’androïde en tailleur aux cheveux d’ébène) du même Blade Runner et vous aurez une idée de ce qu’est Smart Girl. C’est une œuvre tout empreinte des thèmes de Philip K. Dick et ses obsessions. J’ai aimé le format de l’ouvrage qui tient bien dans les mains (c’est con mais c’est appréciable) et le dessin : un superbe noir et blanc classique tout en traits fins qui accentue l’aspect classique et la thématique polar qui se dégage de Smart Girl. Une super surprise pour moi. Certes, l’intrigue au fur et à mesure de son avancement peut apparaître alambiquée et le T2 souffre de nombreuses coquilles dans le texte, mais rien de rédhibitoire. Deadpool : Il faut sauver le Soldat Wilson de Swierczynski/Pearson. Mon premier et seul Deadpool dans ma bibliothèque. Une œuvre indépendante de tout autre arc narratif qui m’a attiré et que j’ai fortement apprécié. C’est très plaisant et barré à l’image du personnage qui nous narre ses origines à l’occasion d’une audition devant une commission pour expliquer son rôle dans le massacre d’une ville mexicaine. C’est plein de pirouettes narratives qui font qu’on ne s’y ennuie pas. De la bonne came. T14/15/16 de The Promised Neverland. C’est un manga étonnant. A chaque session de lecture (je les lis par paquet de deux, trois tomes), j’ai l’impression de lire autre chose que ce que j’avais lu jusqu’à présent. Je veux dire par là, qu’au fur et à mesure que l’intrigue avance, elle se renouvelle si bien, et s’étoffe avec densité, que notre intérêt est ravivé sans cesse, et même, dans mon cas, ravivé à la hausse. Les The Promised Neverland des premiers tomes ne sont pas les The Promised Neverland des derniers tomes. Si au début de la série il y avait quelque chose de ronronnant, à partir de l’instant où nos jeunes héros quittent le point de départ et se mettent en branle, nous sommes embarqués sur autant de séquences d’action qui alternent avec des moments de pause et où enfin, on a la sensation que le manga avance à grand pas. Et cette sensation pour ma part m’est restée. Pour résumer : plus il avance, plus je l’apprécie. T1 et T2 de Charlotte Impératrice de Nury/Bonhomme. Une bd conseillée par un membre de TO qui se reconnaîtra (*tousse, tousse @Barbi, tousse *) lors d'un Apéro BD. Résumé éditeur : “Élevée par son père Léopold 1er, Charlotte de Belgique est destinée à faire un glorieux mariage. Pour la jeune femme, le choix s'arrête sur l'archiduc Maximilien d'Autriche, frère cadet de l'empereur François Joseph. Un mariage somptueux vient sceller leur union, qui, disons-le tout de suite, ne sera pas heureuse. Le jeune couple est dépassé par les rivalités dont ils sont le jeu, entre les terribles Habsbourg et le calculateur empereur Napoléon III. Et Maximilien se révèle un homme décevant, à tous points de vue. C'est en faisant face à l'adversité que Charlotte aura finalement l'occasion de quitter les voies d'un chemin tout tracé…” Avec Nury et Bonhomme, déjà, on ne peut pas se tromper. Et si en plus vous aimez les histoires de femmes fortes qui font face à l'adversité et leur destin avec courage, Charlotte Impératrice c’est du tout bon. A noter si vous ne l’aviez pas compris que c’est inspiré de la vraie histoire de Charlotte de Belgique à la manière des romans d’Alexandre Dumas. Une bien belle surprise que cette bande-dessinée pleine de charme qui nous relate un pan de l'histoire que je ne connaissais et que la force des auteurs rend passionnant et universel. My teen romantic comedy is wrong as i expected T4. J'avais fait un retour sur les trois premiers. Et je crois me souvenir que j'attendais ce T4 pour fonder mon jugement et comprendre ce qu'était cette série. C'est chose faite. Ce T4 m'a permis de bien rentrer dans l'univers du manga et de comprendre que j'étais face à une comédie ado de consommation courante très plaisante et que ça m'allait très bien comme ça. Curieux de voir ce que l'auteur va faire de tout ce petit monde et où compte-il acheminer son histoire et le peu d'enjeu qu'il y a à l'heure actuelle.
  10. @Cd_aaargh fait un Puissance 4 ou un morpion dans la section Blabla . Je contre avec ce message !
  11. Je vous souhaite à tous le meilleur pour cette nouvelle année. Que ce soit par votre volonté, votre détermination ou la chance, que les buts que vous vous êtes fixés -peu importe leurs grandeurs- se réalisent. Bises. A plus sur d'autres fils de discussion.
  12. Messieurs, ça me fait bien plaisir de lire ce que vous dites de ce Immortals Fenyx Rising.
  13. Tu bluffes martonicollector !
  14. @Barbi Merci pour ce moment faussement ingénu plus haut : "dois-je le prendre d'après vous ?" J'ai bien ri Suite de mes pérégrinations imagées : Punisher T2 d'Ennis/Dillon. Rien à en dire de plus que ce qu'on en sait déjà et que je n'ai déjà dit sur le tome 1 : un Franck Castle monolithique et méthodique qui distribue du rab de soupe de gnons et des rafales d'automatiques en tous genres. Du fun en lecture bien distrayant. Torpedo - Intégrale d'Abuli/Bernet/Toth. Je l'avais déjà lu à sa sortie en 2006 ; c'est donc une relecture. Merci Captain Obvious. Torpedo ce sont de courtes histoires qui relatent à chaque fois une péripétie de Lucas Torelli, dit Torpedo. Tantôt engagé en tant que tueur à gage, tantôt engagé par un mafieux pour mener une action à la moralité plus que contestable, Topedo est un personnage pour qui l'appât du gain prime sur tout autre chose. Les petits récits sont âpres, rythmés, bien dialogués, drôles et ne s'embarrassent pas de moralité. Les individus sont sans foi ni loi et n'hésitent jamais à prendre ce qu'ils veulent. Ce qui amène parfois des scènes d'amour forcés qui peuvent être dérangeantes mais raccord avec l'univers et les perso à mi-chemin entre le crétin et le fin connard. C'est amusant d'ailleurs à quel point je ne me rappelais plus de cet aspect politiquement incorrect des auteurs qui ne se privent d'aucun ressort narratif pour montrer des corps dénudés. On ne lit pas le même livre pareillement à tel ou tel âge. En définitive, Torpedo est une œuvre vraiment agréable à lire dans une superbe édition intégrale fort appréciable. Le Rédempteur T1 : Naissance d'un Héros d'Igor Pejic et Tyef. Résumé éditeur : "Un jeune homme idéaliste part à la guerre et y perd la vie. Il se réveille miraculeusement quelques jours plus tard . Son retour chez les viavants s'accompagne d'un phénomène étrange : le pouvoir de provoquer la rédemption des pires criminels." Le Rédempteur est un comics 100% français qui tire parti de l'influence des comics américains, des mangas et de la franco-belge. Quand je l'ai eu et feuilleté la première fois, il s'en dégage un petit côté artisanal et un trait qui peut être clivant. Y a quelque chose qui m'échappe dans ce que je pourrais vous dire de ce style que j'ai du mal à qualifier en fait. Je lui trouve même un petit côté changeant d'une page à l'autre. Ce premier tome reste le premier tome d'une nouvelle série. Merci Captain Obvious ! Il pose tout : les persos récurrents, l'intrigue, l'antagoniste du héros... J'ai eu envie de soutenir ce comics, sa couv' m'a attiré. Le jeune idéaliste dont il est question est très croyant ; Dieu occupe une place qui semble importante dans sa vie. De fait, l'imagerie religieuse est très présente dans cet ouvrage : matraque télescopique croix, bouclier croix, croix par-ci croix par-là... C'est un joyeux prêchi-prêcha religieux. Le titre ne s'appelle pas Le Rédempteur pour rien. Mais en soi, si je veux être plus précis, Le Rédempteur et le Rédempteur, que parce qu'il est soutenu et révélé par un homme d'église entouré de jeune petits surdoués dans leur domaine qui croit au Rédempteur et le dotent de gadget "croix". Je n'en dis pas plus. Ce premier tome m'a plu. Je conditionne mon avis définitif avec les tomes à venir : que vont faire les auteurs de cette histoire, comment va-t-elle se développer... Un bon premier tome à confirmer. Takane et Hana T 17. Avant dernier tome de la série qui doit s'achever avec le 18ième. J'adore cette série, c'est mon coup de cœur de ces derniers mois, j'ai pris un plaisir de dingue tout au long de ma lecture de chacun des tomes. Ce T17 nous prépare au T18 qui va suivre. Merci Captain Obvious ! Tout est mis en place pour ce dernier tome qui va nous conduire au mariage de nos deux protagonistes (c'est pas vraiment un divulgâchage que de vous dire qu'ils vont se marier hein). Vivement la suite ! Bloom into you T8. Dernier tome de la série. Cette série aura su tenir son ambiance et mener ses interrogations d'une grande délicatesse jusqu'à son terme. Ce dernier tome arrive même à me surprendre de part une scène à laquelle je ne m'attendais (et qui est amenée de long en long sur ce T8) et qui vient parachever parfaitement la relation de nos jeunes héroïnes. Génial !
  15. Moi c'est un gros gros coup de coeur que ce Immortals Fenyx Rising pour faire suite à Zelda que j'ai tant aimé. Je reviendrais développer plus tard. En guise de préambule, je n’ai pas forcément de culture vidéoludique. Pour poser l’individu, j’ai beaucoup joué à la Game Boy à sa sortie en 90, puis un peu à la Nes, puis bien des années plus tard GTA : San Andreas sur PS2. Et plus rien. Plus rien, jusqu’à ce qu’ici, à vous lire à propos de Zelda : BotW, vous ne me donniez l’envie d’y jeter un œil, et ç’a été un coup de foudre avec le jeu : achat de la Switch et de Zelda. Je n’ai ensuite joué exclusivement qu'à Zelda pendant 2 ans et demi. Un pur bonheur. Je l’ai fini pendant le premier confinement. Par la suite, j’ai remarqué que je suis l’homme d’un seul type de jeu : les mondes ouverts à tendance coloré. Skyrim, The Witcher ne m’attire pas plus que ça par leur camaïeu de gris, marron et le réalisme qui s’en dégage. Du coup, très rapidement, j’ai lorgné sur un nouveau projet : Gods and Monsters de chez Ubisoft qui deviendra Immortals Fenyx Rising pour mon “après Zelda”. J’ai actuellement environ 16 heures de jeu sur Immortals Fenyx Rising (quasi exclusivement sur le Prologue i.e le début du jeu, le territoire de départ du jeu) et je viens tout juste de quitter cette zone pour véritablement me lancer dans l’aventure. Je ne suis pas forcément en désaccord avec @FranHoiss, disons que je peux comprendre et respecter son rapport à IFR, mais ce n’est clairement pas le mien. Oui IFR s’inspire fortement de BotW et oui, moi aussi j’ai joué au jeu des comparaisons entre les deux. Mais ensuite en jeu, ceci s’estompe et j’ai fini par voir émerger la caractéristique de ce titre. IFR souffre sans cesse de cette comparaison semble-t-il. Et à raison. Mais dans mon cas, j’aime les grands territoires, les beaux paysages, l’exploration, la contemplation, faire évoluer son perso, tout ça tout ça et IFR me le donne. J’aime arpenter le monde de Fenyx, il y a de nombreuses quêtes à accomplir, de coffres à découvrir, de collectes à faire… Et tout ceci reste très libre. On est obligé de rien. Je ne me retrouve pas dans les récriminations que l’on peut faire à ce jeu. Et j’en arrive peut-être à me dire en lisant FranHoiss, que nous ne jouons pas pareillement à IFR et que ma façon de l’aborder en est différente en tout point : en effet, je n’ai pas l’impression de nombreux pop-up, le jeu n’est pas bavard pour rien et si les paysages peuvent paraître chargés, ben oui, ce n’est pas BotW et c’est la patte IFR… Est-ce que cela vient de ma lenteur dans ma façon de jouer et que je retourne tout, et donc que je ne subis pas ces désagréments ? Je ne sais pas… Je crois qu’il faut vraiment se départir de cette comparaison avec Zelda. Zelda est un jeu d’exception viscérale, organique (comme le souligne très bien FranHoiss) tandis que Immortals Fenyx Rising est un autre jeu.. Différent. Il est lui-même ; tout en étant fortement inspiré. Perso, ça ne me gêne pas puisque je trouve la copie très bonne. Je n’ai pas l’impression d’être pris pour un nigaud par le jeu parce que je perçois ça comme une aide de la part du jeu , -aide que j’apprécie d’ailleurs. Et je ne suis pas un avide d’action impatient : je suis même tout le contraire. On fait et on voit de IFR ce que l'on souhaite en faire. Jouer comme vous êtes en somme. On peut tirer partie des nombreuses possibilités de notre héros/héroïne. Il y a pas mal de combos et compétences, et il faut apprendre à en tirer parti. Je n’ai aucunement l’impression de marteler la même touche en combat par exemple. Les combats sont même plutôt nerveux et dynamiques par rapport à Zelda. Les reproches que je pourrais lui faire sont peut-être en effet un manque d'autres humains sur la map, on peut se sentir seul mais aussi cela peut paradoxalement accroître une impression de grandeur. Autre reproche : je trouve la boussole mal branlée et pas pratique et une carte très bof, -tout aussi peu pratique et pas très lisible que la boussole. Alors Messieurs, Dames si je n’ai pas été aussi structuré que FranHoiss et son super message argumentatif, je vous sers plus quelque chose de l’ordre du ressenti pur et de la critique impressionniste. FranHoiss et moi sommes clairement des opposés : FranHoiss tu le détestes autant que moi je l’apprécie. Et je respecte ça d’autant que moi, c’est un gros coup de cœur qui m’enchante depuis que je l'aie. Y a quand même quelque chose qui m’étonne avec Immortals Fenyx Rising (et @Foussa le souligne) : tout le monde semble en parler et l’aborder avec “dégoût” et “a priori négatif” (toujours victime d’une comparaison BotW), mais en définitive, on découvre toujours au terme du test, du gameplay ou de l’article une très bonne notation concernant le jeu. Allez comprendre ? Tous les avis se valent, bien du courage pour vous faire le vôtre entre FranHoiss et moi PS : me suis pas relu, c'est mal !
  16. @razorspoon Bisez vos mères bandes d'encollés de fils de pâte ! Saloperie de correcteur
  17. Edrahil

    joyeux Noël per tutti !

    Profitez tous bien de ce Réveillon. Bon Noël à vous tous.
  18. Edrahil

    [TALC] La garde de nuit

    Coucou amical à la Garde de nuit
  19. Edrahil

    le post à râler!

    Faire des journées avec une amplitude horaire tellement large depuis quinze jours, que tu ne dis même plus "à demain" à tes collègues, mais "à tout à l'heure" 😑. Vivement demain ! Ce week-end de trois jours va me faire du bien.
  20. Peut-être que vous êtes la même personne et que tu ne le sais pas . Un peu comme dans Substance Mort le roman de Philip K. Dick. "Hasard ou coïncidence" demandes-tu ? Je crois pas non... Avant j'étais schizophrène. Maintenant nous allons mieux.
  21. Si. Dans un post du 17 novembre plus en amont de ce fil. Edrahil gros relou.
  22. Tiens ! le Petit Grégory passe son permis ?
  23. Mômes nous avions aussi le dessin animé Vic le Viking : J'avais le 45 tours. Ca ne me rajeunit pas.
  24. On t'aurait accusé de prosélytisme
  25. Qu'avez-vous fait de Barbi !!? Ce n'est pas lui je vous dis ! C'est un imposteur ! NB : j'ai déjà acheté ma bière pour le 21.
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