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UrShulgi

Team Monolith
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Tout ce qui a été posté par UrShulgi

  1. Merci c'était cool de voir ou revoir du monde ! On s'est bien marré !
  2. Plus on est proche plus ça s'impatiente, on est bon pour avoir chaque jour une version de
  3. Concrètement, ça ne changera que peu la date de livraison, c'est le lancement qui sera plus tardif (ça veut aussi dire plus de temps pour économiser :p) Comme l'a dit Fred, le but c'est aussi, autant que faire se peut, d'avoir un jeu prêt (=/= produit) au lancement du ks, sans les "wip", les "les scénarios on verra plus tard", les "oups on a oublié ça", etc. Il faut que le pledger sache exactement ce qu'il va pledger, et qu'une fois le KS lancé, il ne reste, en gros, que le pm+prod et livraison à faire.
  4. Je bosse le lendemain mais je dois pouvoir caser l'aller-retour (et avoir la tête dans le cul le samedi!)
  5. Dire que ça sera en retard de trois ou quatre mois car Monolith n'a pas pensé à se placer dans la légalité sur les articles R214-49 à R214-62 concernant le transport des animaux comme Batcow ...
  6. Il est vraiment beau Thor sur son cheval Tempête, n'est-ce-pas? !!!!!!
  7. Oui aux deux ! Et encore bravo !
  8. Je ne promets rien mais quand la 1.5 sera sortie/dispo, je vais avec d'autres membres/fans pour faire une maj des scénarios au fur et à mesure. Par "promets rien" il faut comprendre "à mon rythme" ^^
  9. C'est livrable avec le propriétaire de la dite tête, je ne sais pas si c'est une affaire. 😁
  10. Et bien à mon tour je viens de comprendre que la copine conseillère mode de Fred a bon goût car elle l'a habillé ... aux couleurs de Maliwan!
  11. Rah, ça va le faire même en déco!
  12. Oui, et le nouvel an chinois n'a pas le même impact sur les services de transport que sur les usines de production.
  13. UrShulgi

    le post à râler!

    Peut être indirectement ^^. En fait y a eu une panne de courant à Montparnasse pendant un bon moment donc c'est rapidement le bordel ^^
  14. UrShulgi

    le post à râler!

    2h00 de retard à l'aller pour Quimper car le tgv a desservi des gares TER au passage. 3h30 de retard au retour. Sncf, nous allons vous faire aimer le train...
  15. Les figs sont sublimes. Le jeu est paraît-il pas si mal. J'ai juste peur de me lancer, car ça va douiller :D.
  16. Plop, je ne sais pas dans quel sens il fallait le comprendre (foutu écrit), donc dans le doute je réponds aux deux :D : -l'idée était de répondre à l'ordre du planning sur ce qui est quasi-certain. Le fait que pour les jeux avec reprint/itérations rien ne se lance avant la livraison du précédent devrait assurer que ça ne bouge pas trop :). -pour les spoils/teasing, ça va arriver, il faut un peu de patience ... la semaine prochaine sera une grosse semaine de taf sur Ragnarok, on peut supposer qu'après ça, ça va commencer à se profiler de plus en plus! ;)
  17. -Autre chose -Batman 2 -MBR -Conan 2020
  18. Moins que Pantheon. Mais entre les troupes version 1.5 (ça arrive ^^) et les jarls, l'intérêt et les possibilités vont s'accroître!
  19. La seule chose vraiment dommage dans ce bousin, c 'est la campagne marseille qui ne devrait jamais voir le jour, et le travail des auteurs, brimé. J'espère qu'ils trouveront une solution pour sortir au moins le bg fait. Je pense qu'y a moyen de faire une ululerie ou un démat payant.
  20. Ils seront plus grands que les humains. Ça fait partie du gameplay et de l'aspect visuel de la gamme.
  21. Perso entre l'argent dû à Chaosium depuis 2 ans, et celui dû à Petersen Games, je ne filerai plus un euro à Sans Détour, malgré tout l'aspect superbe de la gamme, et la qualité du travail des auteurs qu'on retrouvera fort heureusement ailleurs.
  22. Ah bout? Mais non, y en a encore! Jean Christophe Arnault. Une dizaine de jours plus tard, j’expérimentais mon premier épisode amnésique à l’état d’éveil. Je me trouvais chez moi, assis à mon bureau, avec un crayon gras dans la main droite et un double décimètre dans la gauche. Juste sous mes yeux, sur le plan de travail, était étalé une sorte de schéma technique d’une complexité diabolique. Pas moins de cinq ou six feuilles de papier calque s’y juxtaposaient, et partout dans les marges s’enchaînaient des séries de curieux caractères qui probablement formaient autant de courtes annotations rédigées dans un alphabet qui, bien qu’inconnu, m’était étrangement familier. Les pelures de bois et la poudre de graphite qui constellaient le tout témoignaient des multiples taillages qu’avait connu le crayon au cours des dernières heures. Que faisais-je là ? Je mis encore quelques secondes à rassembler mes esprits, dispersés qu’ils étaient dans le vide sidéral qui à cet instant me servait de mémoire. Mais merde, qu’est-ce que je foutais là ? Et qu’est-ce que représentait ce foutu de schéma sur lequel j’étais encore penché ? Putain l’angoisse, je ne me souvenais de rien. À force de concentration, je parvins à doucement évacuer un peu de mon stress et à reconstituer la chronologie de ma journée. Après un petit-déjeuner toujours plus tardif (il devait être treize heures lorsque je m’étais levé ce "matin-là"), je m’étais installé devant mon PC sur la table de la cuisine et y avais ouvert une session Facebook. Puis… Puis plus rien. Le vide absolu. Un trou de… De combien de temps d’ailleurs ? Quelle heure pouvait-il être ? À part mes lombaires ankylosées, je n’avais pas le moindre indice du temps passé sur cette chaise. Je fouillais nerveusement ma poche droite et en sortis mon téléphone. 22 h 35. Putain, 22 h 35 ! J’avais passé plus de neuf heures à tracer ce truc sans pouvoir m’en rappeler la moindre minute. C’était clair, j’avais complètement perdu la boule. Mon cerveau devait être plus perforé qu’un emmental français. Anna ! Elle n’allait pas tarder à rentrer. Il fallait qu’on parle de tout cela. De mon esprit qui me fuyait. De cette forme étrange de démence qui s’était insinuée en moi et qui jour après jour me grignotait la tête. Si au moins j’avais été croyant, j’aurais pu m’imaginer possédé. Mais même le réconfort de cette idée m’était refusée. Vers 23 h 00, Anna franchit la porte d’entrée. Elle ne me trouva pas immédiatement. J’étais demeuré dans le bureau, incapable de me lever. C’était à peine si j’avais eu le courage de répondre à ses appels. Quand elle me rejoignit, j’étais toujours assis devant ce nébuleux schéma. J’étais blême, j’avais les yeux rougis et ma lèvre inférieure était tremblante. Lorsque je la vis, les sanglots m’envahirent. Elle prit alors délicatement mon visage entre ses mains et apposa son front contre le mien. Bientôt, ses larmes vinrent se mêler aux miennes. Après l’épisode du schéma, Anna et moi décidâmes qu’il était grand temps de consulter. Je passais une bonne partie des semaines suivantes à me faire trimbaler de service hospitalier en service hospitalier, de spécialiste en spécialiste, pour finalement me voir adressé au professeur Franck Lamargelle de l’établissement parisien de Sainte-Anne. Je quittais donc le confort de mon logis genevois pour celui, tout spartiate et aseptisé, d’une chambre d’hôpital française. Le professeur était un homme jovial, d’une petite soixantaine d’années, qui camouflait derrière un aspect bonhomme et un comportement badin, une intelligence d’une rare acuité. Sous son contrôle, j’eu de nouveau droit à une batterie complète de tests neurologiques (IRM, mesures électroencéphalographiques multiples, et même une série interminable d’exercices psychotechniques). Pendant les semaines suivantes, le professeur et son équipe s’attelèrent à déchiffrer les monticules de données recrachées par les machines. Et même s’il avait de nombreux autres patients, il ne se passa pas une journée sans que Franck Lamargelle ne vienne me visiter. Le Professeur m’avait, à dessein, laissé la disposition de la totalité des composants que j’avais commandés sur le web. Il était même allé jusqu’à faire installer, dans ma chambre, une réplique assez honnête de mon bureau genevois. Enfin, tout le matériel qui aurait pu m’être nécessaire, m’avait été fourni et équipait le bureau en question. Chacune de ses visites débutait par une observation minutieuse de l’état d’avancement de mes « travaux ». En effet, tous les jours désormais, entre 13 h 27 et 19 h 18 précisément, mon esprit semblait s’éclipser au profit d’un « autre chose » qui visiblement animait mon corps pendant cette période. Mon « colocataire », comme j’aimais à l’appeler lors de mes vaines tentatives de dédramatisation, suivait avec une grande méticulosité les instructions inscrites sur le schéma. C’est ainsi que chaque jour, avec une ponctualité sans faille, je reprenais le contrôle de moi-même et la conscience de mon environnement, tantôt penché sur une plaque d’époxy, un fer à souder encore brûlant dans la main droite et une bobine d’étain dans la gauche, tantôt face à un mur, un feutre indélébile entre le pouce et l’index, à calligraphier à même la paroi une série à priori sans fin de cet étrange alphabet que j’avais découvert sur le plan. Lamargelle enregistrait chacune de nos conversations et prenait systématiquement un nouveau cliché de ma logorrhée scripturale. De son côté, Anna me visitait aussi souvent qu’il lui était possible de le faire. L’activité au labo s’était considérablement intensifiée ce dernier semestre et elle devait jongler avec les horaires de ses équipiers pour pouvoir organiser au mieux ses aller-retour. Elle s’était, elle aussi, intéressée au schéma, dont elle avait pris les pages en photo après qu’elle m’ait découvert en quasi-catalepsie. À force de scruter les clichés, elle avait acquis la conviction que, quoi qu’ils représentent, leurs tracés ne devaient rien au hasard et s’avéraient cohérents. Une chose, cependant, la laissait dubitative : nulle part, ni sur le plan, ni parmi les éléments que j’avais commandés, ne figurait la moindre source d’énergie susceptible d’alimenter ce que j’étais en train de fabriquer. Chacune de ses visites se terminait par un long entretien privé avec Lamargelle. Une heure durant, ils s’enfermaient dans le bureau du professeur et échangeaient d’une façon parfois très houleuse. Je regrettais d’être systématiquement mis à l’écart de ces discussions, mais le professeur m’assurait qu’il en allait de ma santé mentale et qu’il était préférable que je demeure en dehors des problématiques « administratives » pour mieux me concentrer sur ma guérison. Le mardi 03 Janvier 2017, à 18 h 43, je reprenais exceptionnellement conscience avant l’heure habituelle. Plus jamais par la suite, je n’expérimenterais l’occupation de mon corps par « l’altérité ». À cet instant précis, et même si je n’aurais su dire comment, je savais que la page était définitivement tournée. J’étais assis à mon bureau. Il était totalement vide. Vide, à l’exception en son centre, d’un Monolithe noir, parallélépipédique, haut d’une soixantaine de centimètres pour une base carrée d’une quinzaine de centimètres de côté. L’objet, en acier, ne présentait pas d’autre aspérité que l’étrange alphabet gravé sur chacune de ses faces. Ses arêtes, saillantes, étaient encore tièdes du passage du fer à souder. Lorsque je tapotai d’un ongle sa surface polie, une surprenante vibration le parcouru. Une onde cristalline, dont la fréquence suggérait celle d’un diapason. Le monolithe était creux et devait renfermer en son sein le si complexe montage que mon "colocataire" et moi-même avions accompli au cours des derniers mois. Délicatement, je soulevai l’objet pour le contempler à hauteur d’yeux. Il ne devait pas peser plus de trois ou quatre kilos. D’une certaine façon, je le trouvais magnifique. Magnifique et effrayant. Il émanait de lui quelque chose de tout à la fois beau et dérangeant, que je ne saurais retranscrire par des mots et qui littéralement m’hypnotisait. Après un moment, je parvins à rompre le charme et reposer l’objet. C’est seulement alors que je devinai la présence d’Anna et du Professeur, debout derrière moi. Ils se tenaient proche de l’un de l’autre. Peut-être trop. Et bien que chacun ait une main posé sur l'une de mes épaules, je savais que c’était le monolithe, et non moi, qui occupait l’essentiel de leur attention. Anna, la première, rompit le silence. Elle s’exprima à voix basse, comme pour ne pas briser la sacralité du moment. Comme on peut le faire dans une église ou un temple. Et pourtant, si étouffé que fût son timbre, il ne parvint pas à dissimuler la vive émotion qui s’était emparée d’elle. « Tu l’as fait JC. Putain, tu l’as fait ! La réplique est parfaite. On a réussi ! »
  23. Dernièrement, découvertes récentes et pas si récentes que ça : -AuZtralia : le visuel comme le thème ne me tentez pas du tout, mais j'ai adoré! Une bonne grosse claque dans la gueule. Juste ce qu'il faut de coop et de compétitif. Hâte d'en refaire une. J'ai bien apprécié la gestion des combats, la gestion des "rails" pour les constructions et récup de ressources, ainsi que l'aspect semi-caché des affrontements. Un bon kiff. -Nemesis : j'ai accroché sans plus (se prépare aux jets de tomate). Le matos est globalement très beau, l'ambiance Alien (ah non c'est pas alien, pardon :p) très très bien rendu, là dessus, rien à dire. Mais ... ça passe pas. Je n'aime pas la gestion du deck (qui donne une fausse impression de liberté), je n'aime pas la gestion des pvs des mobs qu'on affronte et qui changent à chaque tour de jeu (un même monstre peut avoir 3, ah non pardon 4, ah non 5, ah non pardon en fait il en a 2 il est mort), le semi-coop vraiment poussé à très peu de coop, et des parties où tu peux vraiment subir sur l'aléatoire. La gestion du bruit me tiraille, j'aime le système de base, mais je trouve ça bête qu'en dépensant plus de mouvement pour "faire moins de bruit", tu te retrouves à certes placer ton token bruit sur le couloir de ton choix , mais tu en mets forcément un, là où celui qui "fait du bruit" roll le dé, et peut très bien ne pas en faire du tout. En fait j'ai eu l'impression, après 4 parties, d'un jeu qui mélange de tout, mais dont l'harmonie du tout n'est pas si folle. Les cartes infectées, c'est génial. Les tokens feux/répas aussi. Jouer l'alien ... déjà, c'est réservé au premier mort, mais j'ai trouvé que dans les grandes lignes, ça simplifie le jeu. À part quelques combos circonstancielles, ça fait moins d'adversité que l'ia normale. Une déception pour moi malgré la réussite dans l'ambiance.Je vais quand même essayer de le jouer en full coop et voir ce que ça change, ça reste un bon jeu. -Western legends : j'ai adoré bien que j'ai du mal à le trouver équilibrer. La mine rapporte beaucoup aisément, mais surtout, j'ai du mal sur le poker. Je trouve que si tu n'inities pas, les configs où ça a un intérêt sont assez limitées. Un gros coup de cœur 2018 malgré tout. -Tyrants of the underdark : sorti en 2016, difficile à trouver, on joue des clans de drows à D&D pour le contrôle des souterrains. C'est un mélange de placement/conquête et de deckbuilding, avec impossibilité de dominer totalement la table, et des rebondissements sans arrêt. J'ai adoré, je l'ai d'ailleurs acheté. Par contre le matos est cheap, il faut absolument sleever les cartes qui sinon s'abiment vite. -Dead of winter : pour me faire des copains à nouveau, j'ai trouvé que c'était un nemesis (pour l'aspect semi-coop survivaliste) en mieux :p. En revanche sans traître, c'est assez facile. On a commencé par les scénarios les plus durs, sans traître ça passe crème, avec, ça change tout. Je doute l'acheter un jour, mais j'ai trouvé ça bien ficelé, et pas trop long à jouer/attendre son tour. Je serai curieux de jouer le mode colonie vs colonie. -Gugong : très agréable. Je préfère Rise to Nobility dans le genre, car j'ai trouvé les tours sur Gugong longs, et parfois frustrants. En revanche, il me semble être un jeu beaucoup plus sale niveau combos une fois qu'on a l'habitude de jouer. Malgré ça, je me demande si il garde la pêche après plusieurs parties. Le matos est beau à chialer, comme les rangements. Et demain, je testerai la voie des pandas ^^
  24. Claustro est très homogène, un seul artiste aux dessins, et un seul artiste aux tuiles. MBR devrait être plutôt homogène, davantage que MBP. Pour le moment, je dois dire que je suis plutôt très très conquis, si tout est du même niveau que ce qui est déjà fait, il va me falloir de nouveaux slips, sculptures, dessins, maps ... y a pour moi un gain qualitatif conséquent. Et c'est en grand fan de mbp que je dis ça. ^^
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