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Edrahil

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Tout ce qui a été posté par Edrahil

  1. J'ai fini Immortals Fenyx Rising le week-end dernier en un peu plus de 163 heures approx. Bilan final : j'y aurais pris un très gros plaisir de jeu et c'est resté ce coup de cœur du début. Un jeu fait pour moi. Tu y arrives un peu de fait. En avançant dans le jeu, tu gagnes des armures, de la "thune" que tu dépenseras en compétences ou pour valoriser certaines choses, et de fait, ton perso devient plus costaud. Je me suis maintenant lancé dans Trials of Mana sur Switch (adaptation en 3D du jeu de 1995 sur SNES). J'en ferai un retour sur le fil qui va bien quand je l'aurai bien pris en main. Mais pour l'heure : j'adore.
  2. Edrahil

    le post à râler!

    Hier j'ai oublié ma Switch dans mon casier au boulot. C'est pas glop ! En soi ça peut ne pas être un problème : je m'en rends compte, je fais demi-tour et je vais la récupérer. Sauf que... Sauf que pour un remplacement lundi, j'ai dû laisser mon trousseau de clefs au bureau et n'ai gardé QUE la clef du vestiaire. Je ne peux plus rentrer dans l'entreprise itou. La loose intégrale
  3. Que la Force soit avec vous en ce 4 mai. Bise. A ce soir les loulous.
  4. We never learn T16. Après le T15, je pouvais dire que la suite de We never learn allait nécessairement prendre un nouveau tour dans son histoire : fini le lycée, nos héros vont partir dans leur université respective. Cela occasionne un changement bienvenu et ce T16 commence déjà à bousculer le petit train-train des intrigues habituelles, avec une fin très “inattendue” au regard de ce à quoi elle nous a habitués. Black Cat T1 et 2 de MacKay/Foreman. A l’occasion de ma lecture du T2 j’en ai profité pour relire le T1. C’est du très bon Marvel de distraction. Je veux dire par là, qu’ici nous sommes jamais embarqués dans des histoires de sauvetage de la Terre, de l’Univers… ou d’enjeux qui se posent là (!) Non, avec Black Cat on suit le quotidien de Felicia Hardy avec ses problèmes qui restent à hauteur d’homme et qui font de cette lecture toujours un moment agréable. En plus cette série permet d’étoffer le personnage et d’en apprendre plus sur elle. C’est du tout bon. Captain Marvel T3 : La dernier Avenger de Kelly Thompson. Très grosse déception que ce T3 de Captain Marvel, la faute à une histoire inepte, vaine, racoleuse, vide et un peu laborieuse qui n’amène rien au perso ni à son histoire. Jusqu’à présent Kelly Thompson avait du bon boulot mais là clairement c’est un faux-pas navrant. Résumé éditeur : “Carol Danvers a réussi bien des exploits dans sa vie : sauver les X-Men, assommer Thanos d'un coup de poing. Mais aujourd'hui, elle doit relever un plus grand défi : tuer les Avengers. Vous avez bien lu, Carol a pour mission de tuer cinq membres des Avengers en moins de 24 heures ! Pourquoi ? Pour qui ? Qu'est-ce qui a pu faire basculer Captain Marvel du côté obscur ? Le Dernier Avenger est peut-être la saga la plus enthousiasmante jamais écrite sur le personnage !” Déjà, rien qu’en lisant un résumé pareil, je sentais le truc un peu ripou. Malheureusement, ma lecture de ce tome 3 m’a montré que c’est non seulement confus dans l’intrigue, mais qu’en plus ça fait très “remplissage” cette histoire : des pages entières de pif, paf, boom (...) de bagarres inutiles et interminables, trop d’action pas assez d’explication, un enjeu illusoire pour retomber sur un statu quo très classique.. Un tome à réserver au complétiste et très dispensable. J’espère que le T4 remontera le niveau parce que j’aime normalement beaucoup Kelly Thompson qui sait écrire des histoires sympas et bien dialoguées mais là je dis non. My teen romantic comedy is wrong as i expected T6. Ce T6 semble faire une pause dans l’histoire et l’intrigue principale pour redéfinir un peu ce qui va suivre avec le tome suivant ; en tout cas, c’est un peu l’effet que la lecture m’a donné. Un tome qui fait figure de “salle d’attente” en attendant la suite. Takane et Hana T18 (dernier tome de la série). Ben voilà ! Nous y sommes. C’est fini. Ce T18 était le dernier de cette série que j’aie vraiment a-do-rée. Avec Takane et Hana, on était en présence d’un maga qui avait su avoir son ton à lui. Ni tout à fait pure comédie romantique, mais pas tout à fait comédie, ni même manga sentimental, il a su être dans un créneau 50% humour 50% romance qui fait qu’on y voit un peu ce qu’on veut en le lisant. On va me dire : oui mais si c’était 50% humour, 50% romance, c’était donc une comédie romantique. Pas tout à fait parce Takane et Hana en ajoutant beaucoup d'exagérations en tout genre avait ce grain particulier qui lui est propre. Sans prétention mais très honnête, la mangaka qui était derrière cette série a fait un super boulot. J’aurais vraiment bien apprécié cette lecture qui a su mener son intrigue tranquillou sans qu’on ne s’y ennuie tout au long de ces 18 tomes et qui nous offre la fin que l’on savait arriver. The Escapists - Les Maîtres de l'évasion de Brian K. Vaughan. Attention petit bijou à mes yeux. Et accessoirement gros coup de cœur que cette découverte. Merci à @madcollector d’avoir pointé ceci à la cantonade sur ce fil. A la lecture des résumés ou quatrième de couv’ de ce The Escapists, on ne voit pas bien une histoire se dégager ou encore à cerner même l’histoire de ce comics. En tout cas me concernant. En gros : une jeune homme qui vient de perdre son père, découvre en rangeant ses affaires que ce dernier vouait une passion à un héros de comics de l’âge d’or. Ignorant tout de ce personnage de comics, il se prend lui-même de passion pour ce héros qui finit par devenir cher à son cœur. Plus tard, il en acquiert les droits, et avec des amis (une dessinatrice et un lettreur), ils se lancent dans l’édition de ce The Escapist façon revival d’un personnage oublié. Nous suivons leur aventure éditoriale avec les contentements que cela peut procurer mais aussi ses déboires et difficultés. Je n’en dis pas plus. Tout le comics transpire l’amour de ce média. L’histoire qui nous est contée n’est pas tant une histoire d’héritage comme nous pourrions le penser, mais une histoire de transmission. Par de multiples mises en abîme, le comics sait mettre en avant tout ce qu’implique aimer lire des comics et être embarqué dans une histoire qui nous plait. Il en joue à merveille et sait dédoubler son histoire à plusieurs niveaux allant jusqu’à user et illustrer de manière sous-jacente la notion de transfert (comprendre psychanalytique). C’est émotionnellement très riche pour le héros. Cela illustre avec délicatesse la projection qui nous anime tous à un moment donné dans le plaisir que nous prenons à lire certaines histoires et suivre nos persos favoris. Une œuvre vraiment remarquable que je conseillerai aussi à mon tour et qui se doit d’être lue si on aime les comics. Yawara ! T1 et 2 de Naoki Urasawa. Très gros coup de cœur aussi que cette découverte de Yawara ! Résumé éditeur : “Depuis toute petite, Yawara Inokuma a été entraînée par son grand-père Jigorô Inokuma, un champion de judo, qui voit en elle une future star de la discipline. Il a été annoncé que les JO de Barcelone accueilleraient enfin la discipline féminine dans la compétition. Jigorô rêve donc de faire de sa petite-fille la première championne olympique féminine de judo. Mais contrairement aux attentes de son aïeul, la jeune fille ne rêve que de mode, d'amour, d'idol... Bref, elle n'aspire qu'à une vie d'adolescente ordinaire, loin des entraînements et des compétitions. Mais c'est sans compter son talent inné pour le judo, que son entourage ne lui permettra pas d'oublier...!” On y suit donc le quotidien en apparence banal de la jeune Yawara qui essaie de vivre pleinement sa jeunesse sans qu’on ne vienne sans cesse lui parler de judo. La narration d’Urasawa est redoutable d’efficacité et de simplicité ; elle est débarrassée de tout effet inutile, tout est tourné vers et pour l’histoire et ça la rend extrêmement addictive et agréable. Je recommande chaudement cette découverte. Notez que c’est un manga qui date de 87 ; ce n’est pas la même patte que les mangas actuels et ça participe au charme du titre. Quand Takagi me taquine T7. Quand Takagi me taquine est un titre que j’apprécie de plus en plus à chaque tome qui passe et que je lis. Durant le T5, je vous relatais une astuce de l’auteur qui nous amenait le temps d’une aventure dans le futur, nous apportant par là des informations sur nos deux protagonistes. Depuis cette aventure, cela a changé ma façon d’aborder ce manga. Cela m’a permis d’aiguiser un peu plus mon regard sur les rapports qu’entretiennent Takagi et Nishikata et d’en tirer un plaisir accru dans leur réaction. La particularité de ce T7 aura été de nous montrer les premières rencontres et donc les premières taquineries, et comme pour le T5, cela permet de voir et comprendre différemment les rapports entre les deux jeunes héros. Ce manga est et restera un œuvre très délicate et mimi qui sait parler du sentiment amoureux sans l’aborder de front et le nommer en nous en montrant les prémices et micro-frémissements. All New Thor T3 d'Aaron/Dauterman. Une série que j’apprécie en mode courant alternatif. Pour parler de ce tome : je suis moyennement rentré dedans. Certainement parce que pas fan du monde et des thématiques asgardiennes, j’ai du mal à me passionner pour cet univers. Mais en revanche, le destin et l’évolution de Jane Foster m'intéressent. Du coup, en fonction des tomes et de l’équilibrage des thématiques qui en ressortent, mon intérêt peut varier. Malgré ce grief, je dois dire que le T4 est déjà commandé. Et ouais chuis comme ça moi !
  5. Messieurs, j'ai ouvert trop de fronts de lectures, faut que je temporise et calme le jeu
  6. J'ai attendu exprès que madcollector quitte l'apéro pour en parler Mwaaah
  7. @Skarlix non pas de com' de leur part. Ou j'ai pas trouvé. Juste des dates de sorties qui s'espacent de trop, au point de se dire "bon ben je crois que c'est mort". Comme toi, je garde l'espoir de la sortie du gros volume qui va bien un de ces quatre (autant pour Manifest Destiny qui le mérite vraiment, que Rats Queens).
  8. Cette série malheureusement, ne semble pas s'être suffisamment bien vendue en France pour qu'Urban continue la traduction. Il n'y a que 2 tomes en VF et le deuxième date de 2017. C'est dommage. Un peu à l'instar de Manifest Destiny qui n'a pas pris en France et qui voit sa trad' VF s'arrêter au T4. Mais là je vais continuer en VO.
  9. Edrahil

    le post à râler!

    Le pire que j'aie vu niveau traduction c'est le Age of Conan d'Edge Entertainment (que quoi qu'on en dise est un jeu que j'aime beaucoup). "Les Ongles Rouges" pour "Les Clous Rouges" ça m'a fait mal... Et dire qu'ils l'avaient présenté comme un jeu de passionnés de Conan. Comment dire... J'ai ri... jaune
  10. La sortie de ce Goldorak made in France (Dorison/Bajram) annoncé pour l'automne 2021, puis plus précisément pour Octobre 2021, est maintenant attendu pour Septembre 2021. C'est une bonne nouvelle ; mais à ce stade ça reste trop lointain pour être précis et être considéré comme quelque chose d'assuré. Mais c'est cool quand même ! Voilà.
  11. @Skarlix Si avec ça, tu n'es pas élu Tonton de l'Année... moi je ne sais plus
  12. Edrahil

    Hachette Boardgames UK

    demonge il est ceinture noire de relecture y parait. Hein ?!! Comment ça ça n'existe pas ?
  13. Edrahil

    Hachette Boardgames UK

    Mon niveau d'anglais ne me permet de t'aider au niveau des fautes, coquilles et autres oublis. Mais j'ai parcouru attentivement ton catalogue. Comme Shika te le soulignait plus haut, je l'ai trouvé clair, aéré et la mise en page est parfaitement dans les standards des catalogues promotionnels que j'aie pu avoir entre les mains.
  14. A Fake Story - D'après le roman de Douglas Burroughs de Jean-Denis Pendanx et Laurent Galandon. Résumé du quatrième de couverture : “Le 30 octobre 1938, Orson Welles met en ondes, sur CBS, la Guerre des mondes de H. G. Wells, racontant l'attaque de la Terre par des extra-terrestres. C'est la panique ! "Une fausse guerre terrifie tout le pays", titrent les quotidiens du lendemain. Dans le récit de Laurent Galandon, afin "d'échapper au massacre des Martiens", un homme tue sa femme et tire sur son fils avant de se suicider. Un ancien journaliste vedette de CBS, Douglas Burroughs, va mener l'enquête. Il en fera un livre. A Fake Story pose la question du vrai et du faux avec un art consommé, dans une enquête policière réjouissante.” J’ai trouvé la lecture de cette bande-dessinée vraiment passionnante. Elle sait mettre en miroir le vrai et le faux. Tout le long de la BD nous voyons comment du faux peut générer du vrai. L’exercice de style radiophonique et de mise en scène d’Orson Wells, domaine du faux et de l’illusion par excellence, entraine une panique belle et bien réelle elle, et au cœur de cette panique : un meurtre. Le faux a entraîné du vrai. Tout l’ouvrage se place dans cet entre-deux. Du reste, j'ai beaucoup aimé le parallèle qui est établi de manière sous-entendue entre le journaliste et le chef de la police locale. Deux métiers pour qui la vérité et les faits sont censés être au cœur même de leur manière de penser, d’agir… Toute leur éthique professionnelle reposant normalement là-dessus. On assiste dès lors à l’investigation du journaliste enquêtant sur le meurtre à la manière d’un policier. Sa sagacité et son professionnalisme s'avérant d’ailleurs bien meilleure que la vision du chef de la police locale qui est pétri de préjugés et quelque peu dépassé par les évènements ; plus habitué qu’il est à une certaine indolence de ses fonctions, où dans sa bourgade, c’est sûr, il ne se passe jamais rien. De cette histoire l’auteur parvient à nous servir une très bonne enquête policière où tous les faits s'ajustent les uns aux autres avec une précision d’horloger. Super agréable à lire et que je recommande chaudement. Good Ending T1 à 6. Découverte de cette série manga pour ma part, qui n’est autre que la série d'avant Love X Dilemma de la même mangaka. Résumé éditeur : “Seiji Utsumi, un garçon tout ce qui a de plus banal amoureux d’une jeune fille dénommée Sho. Pourtant, il n’a jamais pris la peine de se rapprocher de sa bien-aimée, partant du principe que la voir de loin lui suffit à faire son bonheur. Mais à partir du jour où il se fera surprendre par une autre fille, Yuki Kurokawa, notre héros sera contraint d’être soumis à un fol apprentissage auprès de cette jeune lycéenne aussi belle qu’énigmatique.” On retrouve les mêmes ingrédients que pour Love X Dilemma : le triangle amoureux. Sauf que là où Love X Dilemma a une histoire et un cadre original (le trio partage le même toit, il y a un rapport familial et un rapport élève/professeur…), Good Ending est plus commun. Ici, ce sont des lycéens qui mènent leur vie de lycéens. C’est du AB Productions. C’est vraiment basique et concon. En le lisant je ne peux pas m’empêcher de penser, qu’en fait, ce GE, c’est le brouillon de LXD, ou encore une sorte de proto-Love X Dilemma. Mais paradoxalement ça reste agréable à lire. C’est commun mais agréable. C’est une série achevée en 16 tomes, et si j’en suis pour l’heure au T7, je me pose des questions pour la suite. Sur les 6 premiers tomes, les persos sont des velléitaires sentimentaux parfois insupportables et tout le récit ne semble reposer que sur ces hésitations constantes et ces revirements et artifices vus et revus. Mais bon c’est le genre qui veut ça. Si Love X Dilemma de la même mangaka est beau en matière de dessin, ici le style est plus bof je trouve. Encore une fois c’est trop commun, sans charme. Et de sans charme à sans charisme pour certains persos, il n’y a qu’un pas que je franchis : le perso masculin principal a le charisme d’une vitre. Les couv’ des mangas ne sont pas non plus des plus attrayantes je trouve. Mais bon ce n’est qu’affaire de goût tout ça. Toutefois, malgré ma dureté apparente c'est une bonne lecture, je ne me force pas du tout à lire ce Good Ending, mais le problème c’est que j’ai lu mieux depuis et c’est réservé aux amateurs de ce genre. Un 12-13/20. Plus 12 que 13 d'ailleurs.... Walking Dead T29 à 33 (dernier de la série). Les fins ont toujours quelque chose d'émouvant.... La reprise de lecture que j'aurai effectuée en les relisant tous aura changé le regard que je portais sur cette série il y a encore peu. Certainement pourrons-nous en discuter lors du prochain apéro parce que pour moi, ici, ce serait trop long. Une SUPER série en tout cas.
  15. Edrahil

    le post à râler!

    N'oubliez pas ceux qui ne connaissent aucune formule de politesse. T'as l'impression que c'est du télégraphe (!) Ils ne te connaissent pas, ils s'en cirent complet. Encore disponible. Stop. Combien. Stop. Trop cher. Stop....
  16. Edrahil

    le post à râler!

    J'ai un collègue qui vend sur Vinted et c'est pareil. Il est désespéré par le petit marchandage de certains. Des fois c'est fou.
  17. "Ah ! Non ! C'est un peu court jeune homme !..." ☺
  18. Ah ! Tu vois ! Oui il est vraiment cool ce IFR. Pour la difficulté, elle s'atténue grandement une fois que tu as bien développé tes équipements (donc bien explorer : faire les coffres, cryptes, lyres, fresques, constellations...) et tes compétences. Mais cela demande du temps. Après t'as un perso bien badass qui roule sur tout . Je dois avoir 140h sur le jeu et il me reste deux zones à faire. Certaines cryptes ou boss piquent un peu au début mais rien d'insurmontable. J'aime vraiment ce jeu. Moi aussi j'y joue sur grand écran mais rien ne me choque. Après c'est vrai que je n'ai que la Switch et que c'est suffisant pour mes goûts et attentes. Des comparaisons PS4/Switch sont sur Youtube et sur PS4 c'est plus beau et net : moins "brume d'horizon". Mais c'est normal après tout.
  19. Je ne suis pas un consommateur effréné et cette conscience écologique/environnementale m'anime comme vous, déjà depuis quelques temps. Moi c'est au boulot que j'ai une marotte : j'ai horreur du gaspillage et je fais une fixation sur les circuits de recyclage des déchets. Par exemple au bureau, j'isole systématiquement dans une bannette des feuilles A4 imprimées que d'un côté pour me servir de l'autre encore vierge. Ces feuilles je les récupère de partout : sur les réceptions de palette, des colis... tout. Au début, on trouvait mon attitude "économe" un peu étrange au boulot, et finalement c'est ma logique de récup' et de réemploi du papier qui prime. Cette fameuse bannette est reconnue comme telle désormais. De la même manière, si nous avons différentes bennes et circuits de tri, pour moi il est hors de question de retrouver du carton ailleurs que dans la benne à carton. Logique ! C'est pas grand chose mais je crois à mort à mon attitude, et à force, ça déteint sur les autres.
  20. On parle de beaucoup de choses parfois. Ne serait-ce que pour Fear Agent, t'as finalement pas plus dit que "ça me fait penser à Fear Agent" quand Barbi nous faisait un résumé, juste assez pour piquer ma curiosité. Des fois c'est tout bête.
  21. Messieurs @teil et @madcollector, je tenais à vous dire que je venais de valider un panier dans lequel se trouvaient l'intégrale de Fear Agent (version omnibus) et The Escapists. Et je ne sais pas si vous devez en être remerciés... Toi derrière ton écran qui me lit : sache que c'est aussi ça les Apéros BD/Comics/Manga mensuels. On s'y appauvrit avec joie. Ces réunions mensuelles c'est un peu comme aller aux Alcooliques Anonymes avec une bière à la main. Rien à foutre !
  22. @madcollector Je pense qu'une fois que j'aurais fini la série, on en parlera en Apéro BD/Manga/Comics. Sûr !
  23. Ainsi donc, avec Walking Dead, j'en étais là. Et depuis ce 4 mars (date de la citation) : Walking Dead T15 à 28. Avec les séries, on connait parfois des déclics qui nous font passer de "c'est bien" à "c'est vraiment bien". J'avais lu avec passion les débuts de Walking Dead : toute l'entame et les mésaventures avec le Gouverneur. Vraiment gros plaisir de lecture. Et puis j'ai eu ce déclic ; mais dans le sens inverse. Je m'attendais à "autre chose" sans trop savoir quoi, et Kirkman refaisait le coup de la rencontre avec une autre communauté. Mon rapport à cette série comics s'est alors cassé. J'ai continué à la suivre sans intérêt, par habitude, lisant les tomes à leur rythme de sortie sans aucune implication, pour qu'autour du T25, je ne finisse par me rendre compte que je lisais sans me rappeler de ce que j'avais lu 5-6 mois auparavant avec la sortie du tome précédent, et qu'en plus, je n'aimais plus ce que je lisais depuis longtemps. Mais j'achetais encore par esprit de collection les tomes sortants. La série maintenant achevée par son auteur, j'ai eu cœur de reprendre cette lecture à l'endroit où j'étais encore bien dedans. Et je ne sais pas ce que le fait de savoir qu'enfin, je m'acheminais vers la fin de cette série et que je pouvais lire les tomes à la filée, mais j'ai renoué avec un ENORME plaisir de lecture. Du coup : GROS MEA CULPA. C'est très bien. Pouvoir enquiller les tomes à la lecture donne de l'ampleur à l'œuvre et fait apparaître toutes les nuances de Robert Kirkman je trouve ; à croire que lire un tome tous les 5-6 mois ne me convenait pas. De la très bonne came. Vraiment très heureux d'avoir renouer avec cette série comics. Sexy Cosplay Doll T1/2/3. Découverte et gros coup de cœur pour ce manga. Résumé éditeur : "Wakana Gojo est un lycéen solitaire. Son rêve est de devenir artisan et de fabriquer des poupées traditionnelles japonaises. Mais comme cette passion n'est pas très virile, il la cache et ne se fait pas remarquer. Jusqu'au jour ou Marine Kitagawa, la fille la plus populaire du lycée, le voit se servir d'une machine à coudre ! Contre toute attente elle lui demande de devenir son couturier pour réaliser... des tenues de cosplay !" Rien que de très traditionnel dans ce résumé où on sent arriver la comédie romantique avec ses gros sabots. Mais ce qui fait son charme, c'est le thème général (l'univers du cosplay et plus généralement de la création et de la couture) et les personnalité des protagonistes que j'ai trouvé intéressantes. Marine (la jeune héroïne) se fout d'être belle et s'avère être d'une droiture morale que j'ai fortement appréciée. Son rapport au jeune héros, très réservé, est plein d'attention et rend la lecture plaisante et touchante parce que c'est aussi un éveil à la vie pour ce dernier. Comme souvent avec mes lectures manga, si vous n'êtes pas câblés comédie romantique, passez votre chemin.
  24. Edrahil

    Profiter du confinement.

    A droite le "Pharmacien : partenaire santé au quotidien" c'est une nouvelle extension Pandémie ?
  25. C'est vrai. Cela m'arrive parfois sur les mangas et des planches sans dialogue. Quand certains dessins captent une émotion et du non-dit avec justesse (une émotion dans le regard, un rosissement sur les joues...) ; certains dessins disent beaucoup plus que ce que l'écrit pourrait dire.
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