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Edrahil

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Tout ce qui a été posté par Edrahil

  1. Pour être honnête, sitôt les trois premiers tomes lus, et fait mon compte-rendu de lectures d'il y a quinze jours, j'ai enchainé avec les trois suivants. En un week-end, j'avais tout lu et je ne le regrettais pas En fait je pense qu'il faut que vous vous méfiez de mon enthousiasme (Hexed et madcollector déçu). Quand j'ai aimé, je suis souvent débordant et ça peut être trompeur, parce que ça ne reste finalement, que l'émanation de mes propres goûts. Non ce n'est pas sale
  2. Mine de rien cette semaine sortent : le T2 de Death or Glory, le T3 de Magnificent Ms Marvel et le T5 de Gideon Falls. Chuis prêt !
  3. @Skarlix Le T2 de Death or Glory sort en ce mois de juin. Je suis joie ! J'ai trop longtemps cru que ce T1 n'avait pas eu suffisamment d'audience pour connaitre un T2 en VF. Je commence Plunge ce week-end pour ma part . The Plot tu verras appelle le T2 pour se faire un avis définitif sur ce diptyque... Enfin c'est ce que j'ai trouvé. Bonne lecture.
  4. Je te lis pas alors ! PS : j'ai quand même lu bien sûr .
  5. Si ça se trouve vous êtes la même personne et vous êtes des personnes fictives dans un roman de Philip K. Dick .
  6. Tu parles de l'Omnibus La Mort de Spider-Man ? Si oui, c'est vraiment le tome qu'il faut avoir dans sa collec' si t'as déjà les 12 tomes d'Ultimate Spider-Man. Il venait clore de manière superbe -j'avais trouvé- cette longue saga. Une vraie fin était offerte aux 12 tomes.
  7. Ca faisait un p'tit moment que je n'étais pas passé faire comme à mon habitude un retour de mes lectures. Aujourd'hui ce sera chose faite. Sexy Cosplay Doll T4 et 5. J’aime vraiment beaucoup ce manga et le rapport qui s’établit entre les deux personnages principaux : le timide et renfermé héros qui s’éveille à la vie grâce à une relation inattendue et la délurée et populaire héroïne qui se rapproche du premier. C’est pas nouveau comme situation pourtant je lui trouve un je-ne-sais-quoi d’inédit dans le ton et l’ambiance qu’il dégage à la lecture. Pour rappel c’est l’histoire d’un jeune garçon renfermé qui se passionne pour la conception de poupée traditionnelle japonaise et qui par un heureux concours de circonstance se retrouve à se rapprocher d’une jeune fille qui lui demande de concevoir ses costumes cosplay. Au début simple relation de partenariat, cette dernière évolue vers une relation plus profonde qui laisse entrevoir des sentiments plus “profonds” et bien sûr, des non-dits. C’est vraiment pas neuf comme histoire mais elle est joliment mise en musique je trouve. D’où mon grand intérêt. D’aucun reproche à la série l’aspect “femme objet” de la jeune héroïne ; on retrouve souvent du fan service via les séances d’essayage, prises de mensurations ou autres, mais finalement pour moi, je trouve plutôt que l’auteur se tire bien de cette situation pour réussir à nous présenter une jeune femme naturellement impudique, légère, frivole et nature, ce qui accroît par la suite la force de son trouble à l’égard du jeune homme timide et renfermé. Je vous rassure, en vous disant cela, je ne dévoile rien de l’histoire. Vivement la suite. Fire Power T1 et 2 de R. Kirkman/C. Samnee. C’est typiquement le genre d’histoire où se vérifie l’adage “qu'il n’y a pas de mauvaise histoire, il n'y a que des mauvaises façons de les raconter”. Avec Fire Power, en lisant le résumé je me disais que ça sentait le nawak un peu indigeste (selon mon point de vue), mais en faisant confiance aux gens de bon goût qui fréquentent ce forum, j'ai pris les deux premiers tomes. Et bien c’est hyper distrayant, bien foutu et top comme histoire. C’est du récit d’aventure pur jus qui te happe de bout en bout et tu te laisses porter par l’histoire. Bien cool. Mauvaises Mines de Jonathan Munoz. Elles sont rares mais ça arrive : une semi-déception pour moi avec ce Mauvaises mines. Résumé éditeur : “Le directeur des éditions Couicoui devrait être content : le nouvel album des aventures de Pin-Pin le petit lapin, fleuron de son catalogue jeunesse, se vend comme des petits pains. Problème, celui-ci n’a visiblement pas été relu... Certaines de ses répliques semblent être destinées à un public plus adulte. Beaucoup plus adulte. Pour éviter le scandale éditorial du siècle, notre éditeur et son assistant vont devoir se mettre en quête des exemplaires imprimés pour les faire disparaître définitivement. Sauf que pendant ce temps, l’auteur, lui, travaille déjà sur son prochain ouvrage. Et il compte bien aller encore plus loin...” A mi-chemin entre un Fabcaro et Les idées Noires de Franquin, une lecture sympatoche mais qui n’a pas l’impact humoristique espéré pour moi. Sara (histoire complète) de G. Ennis/S. Epting. Au dernier Apéro nous parlions du style Brubaker et de la redondance de ses personnages principaux : des âmes damnées où l’espoir est ténu, le bonheur interdit et qui trimballent des fêlures et casseroles qui plombent nécessairement leur destin. Avec Sara, j’ai vraiment eu l’impression que Garth Ennis faisait avec cette histoire du Brubaker. Steve Epting au dessin a certainement renforcé cet effet dans mon esprit. Tout est en place pour rappeler le style Brubaker : Sara est un personnage qui ne déparerait pas dans le panthéon Brubaker/Philips, la narration rappelle aussi Brub’ : encarts narratifs nombreux, pensées du personnage, récit intimiste désenchanté… On sait, on sent dès le début qu’on ne s’achemine pas vers une fin heureuse. Pour info, Sara c’est ça : “Nous sommes en Russie pendant l'interminable hiver 1942, et nous suivons le sniper soviétique Sara, tandis qu'elle résiste aux envahisseurs nazis avec ses camarades. Les femmes du campement sont isolées dans un baraquement à part et l'unité repousse vaillamment l'ennemi, mais pour combien de temps ? Une histoire complète inspirée d'une histoire vraie.” C’est pas une lecture “ouah trop bien !” mais ça reste une très bonne lecture à faire. C’est passer assurément un bon moment. Sentient (histoire complète) de J. Lemire/G. Walta. Résumé éditeur : “Dans un lointain futur, l'équipage de l'USS Montgomery, en route pour une colonie très éloignée, est victime d'un carnage orchestré par une terroriste qui tue tous les adultes présents sur le vaisseau. Quelques enfants survivent, abandonnés à eux-mêmes dans l'espace infini. Se noue une relation particulière avec Val, l'Intelligence Artificielle du vaisseau, qui va les aider à rester vivants.” Tout est dit avec ce résumé. Une histoire simple mais élégamment troussée dans son déroulé qui tient son lecteur en haleine. Rien de neuf dans cette histoire d’errance spatiale mais encore une fois, c’est bien mis en musique et il plane tout au long du récit une interrogation vis-à-vis de l’IA Valérie et de la relation qu’elle entretient avec les enfants, sa mission originelle et sa propre subsistance (pour ne pas employer le terme de survie). J’ai vraiment beaucoup aimé. HEXED - Intégrale de M. A. Nelson/E. Rios/D. Mora. Si Danger-Girl met en scène un groupe de filles baroudeuses, aventurières et têtes brûlées dans des histoires qui tiennent autant du récit d’aventure que d’espionnage, ici avec Hexed on en a son pendant ésotérique ; l’esprit en est très proche, à ceci près que les intrigues tourne autour de cambriolage, infiltration et autres vols d'artefacts magiques. Résumé : “On dit que les voleurs n’ont pas d’honneur... Alors imaginez ceux qui travaillent pour le monde occulte ! Luci Jennifer Ignacio Das Neves – « Lucifer » pour faire plus court – est une as de la voltige et une voleuse professionnelle d’artefacts magiques. Mais le jour où elle accepte le job de trop, elle déclenche accidentellement un mal ancien susceptible de mettre l’humanité en péril. Et, cette fois-ci, ses petits tours de passe-passe risquent de ne pas suffire pour la sortir d’affaire…” Franchement ça dépote bien : c’est frais, mouvementé, bien dialogué, les personnages bien croqués et caractérisés et l’histoire m’a captivé. Le seul bémol est que les quatre premiers épisodes sont graphiquement en-dessous des autres ¾ de l’ouvrage ; la faute à un dessin très bof d’Emma Rios qui souffre en plus de la comparaison avec le formidable travail de Dan Mora qui assure vraiment sur la suite. Pour moi Hexed est vraiment un coup de cœur tellement j’y ai pris un grand plaisir de lecture. @martus : jette un œil à ce Hexed si t’as l’occasion, je tire de toi la découverte de la série Danger-Girl et Hexed m’a furieusement fait penser à l’esprit DG. En plus cette édition intégrale est très belle : avoir tout en un volume c’est top. Et le dessin de Dan Mora vaut bien celui J.S. Campbell. Yawara ! T4 de N. Urasawa. Qu’il est agréable de retrouver Yawara régulièrement. C’est l’avantage des “vieilles” séries avec un gros fond qui peut être traduit à la chaîne et publié. Avec ce T4, les choses évoluent tranquillou, le grand-père de Yawara devient vraiment détestable au fil des tomes malgré son traitement comique pour alléger son comportement plus que limite, et Yawara toujours aussi gentille et naïve ouvre les yeux sur une personne de son entourage. Que du bon en perspective. Vivement la parution du T5 annoncé début juillet. Good Ending T13 et 14. Bizarrerie que ce Good Ending. Je l’aurais suivi avec plaisir sans passion. Pourtant, plus on approche de la fin, plus je dois reconnaître que mon intérêt s’accroît. Certains persos m’apparaissent toujours aussi insupportables et insipides mais c’est compensé par tout le reste .A deux tomes de la fin de la série on est généralement bien dedans de toute façon. Paper Girls T1/2/3 de B. K. Vaughan/C. Chiang. Selon l’ordonnance délivrée par le bon vieux Docteur Barbi :”lisez Paper Girls c’est bien. Et surtout prenez le temps de digérer les différentes lignes temporelles de l’histoire”, j’ai commencé ce week-end l’intégrale des Paper Girls avec les premiers tomes. Afin de savoir de quoi on parle je mets le résumé éditeur : “Au lendemain de la célèbre fête d'Halloween, la petite ville de Stony Stream, Ohio, s'éveille. C'est du moins le cas de Mac, KJ, Tiffany et Erin, quatre jeunes livreuses de journaux. La routine des tournées matinales est enclenchée, jusqu'au moment où leur itinéraire croise celui d'un groupe d'étranges individus encapuchonnés, violents et au langage inconnu ; et d'une mystérieuse machine dont tout semble indiquer qu'elle ne viendrait pas de la Terre... Une découverte qui pourrait bien changer leur vie à jamais.” Qu’est-ce que c’est bien !!! Et à ce stade je n’ai lu que les 3 premiers tomes. C’est typiquement le genre d’histoire et de personnages calibrés pour moi. Outre l’histoire SF qui est très prenante et maîtrisée, Brian K. Vaughan n’oublie surtout pas de rendre vivantes ses jeunes héroïnes : on ressent les caractères de chacune, les interactions font mouches et des détails intimes sur ces dernières disséminés ça et là par l’auteur et renforcés par le dessin de Cliff Chiang, accentuent l’attachement que nous avons pour elles. Paper Girls c’est certes une sorte d’hommage aux eighties puisque tout en est imprégné mais c’est aussi un soupçon de Quatrième Dimension, Sliders, Code Quantum, Retour vers le Futur, The Goonies… C’est plein de choses mais c’est pourtant unique. C’est le genre de comics où on se dit rapidement que c’est bon et ça sonne juste. Bref je suis enchanté de poursuivre et de m'être pris l’intégrale des 6 tomes. Bon dimanche à vous tous.
  8. @Ariochson Présenté comme ça on dirait Exercices de style de Raymond Queneau. Un livre qui raconte 99 fois la même histoire de 99 fois différentes.
  9. J'espère pouvoir être avec vous pas trop en retard. Grosse, grosse, très grosse semaine au boulot en perspective. Si toutefois j'échoue ma mission d'arriver à l'heure, vous nierez avoir connaissance de mes agissements Sinon j'ai très envie de vous parler de HEXED - Edition intégrale. Bon début de semaine à vous.
  10. Good Ending T9/10/11/12. Quatre tomes de plus lus et avant dernière étape pour moi avant d’atteindre le tome 16 (dernier de la série et je les lis par 4). Par le biais des petites postfaces et autres anecdotes disséminées par l’auteur dans le manga, j’ai compris pourquoi les personnages nous apparaissent comme des velléitaires agaçants : la mangaka semble vouloir rendre compte d’un maximum de situations sentimentales comme autant de reflets possibles de situations rencontrées par les ados et jeunes adultes. Ce qui explique l’aspect parfois gnangnan et indécis de tout ce petit monde. Ces quatre tomes sont dans la lignée des précédents, mais je dois dire y avoir trouvé un intérêt différent par rapport à ce que je venais de lire jusqu'alors. La prise en compte de la démarche de la mangaka ou tout simplement l’habitude de l'univers du manga y sont peut-être pour quelque chose (?) Retour de flammes - T1 : Premier rendez-vous de L. Galandon/A. Grande. Retour de flammmes - T2 : Dernière séance. En voilà un auteur qui sait concocter des histoires et ambiances policières dignes d’intérêt. Résumé éditeur du premier tome : “Paris, sous l’Occupation, septembre 1941. Un incendie dans le cinéma Le Concordia détruit la pellicule d’un film de propagande nazi. Chargé de résoudre l’affaire, le commissaire français Engelbert Lange découvre sur les lieux qu’il est surveillé par la Gestapo. Car c’est la deuxième fois qu’un acte similaire est perpétré dans la capitale, les autorités allemandes prennent donc la chose très au sérieux : la piste terroriste est privilégiée. Son enquête va conduire Lange dans le monde du 7e Art. Il va découvrir l’intensité créatrice et le vent de liberté qui subsistent dans un Paris sous tension. Mais entre la pression de ses supérieurs et celle de l’occupant, il va surtout devoir rendre des comptes... et voir resurgir de vieux démons. À travers ce polar historique bien ficelé et dessiné par la prometteuse Alicia Grande, Laurent Galandon nous fait arpenter les rues d’un Paris occupé où le cinéma peut aussi bien servir à contester le pouvoir qu’à le maintenir. Une enquête en deux volumes.” Premier point qui me plait : une série complète en deux tomes -seulement- c’est vraiment top ! Laurent Galandon (le même auteur que A True Story sorti récemment) a concocté une histoire où l’ambiance, le cadre et l’histoire sont faites pour nous plonger dans ce Paris de l’Occupation qui à bien des égards est fascinant dans ses mœurs, ses double-jeux, ses faux-semblants (...) ; le simple fait d’avoir un cadre historique réel change grandement des univers empreints d’imaginaires que l’on peut parcourir habituellement. C’est sacrément bien troussé ! Et je recommande chaudement ce Retour de flammes. Lady Kildare T1 de B. Haberlin/B. Holguin/J. Anacleto. Embêté je suis avec ce Lady Kildare. La lecture du quatrième de couv’ m’avait bien branché, [Imaginez un monde où les fées, les elfes, les démons et les magiciens existent vraiment. Ayant quitté les sous-bois de Faerie, ils se sont installés à New-York et mènent grand train dans les fêtes nocturnes qui animent la métropole, où la belle Lady Kildare - surnommée Aria - rayonne de mille feux. Un vrai conte de fée ?... Pas certain... C'est même l'horreur au pays des fées !], et finalement, après lecture, je ne sais pas quoi en penser. J’ai eu beaucoup de mal à rentrer dedans et à me passionner pour l’histoire. Histoire que j’ai trouvée confuse, elliptique parfois, la linéarité de l'histoire est fastidieuse au possible (...) et tout participe justement à cette confusion générale. J’ai eu du mal à saisir l’intrigue et l’enjeu de l’histoire me donnant l’impression de lire un bonus, une annexe, une postface (et finalement je ne sais pas trop comment le définir), plutôt qu’une histoire 100% déployée et maîtrisée. Y a quelque chose de brouillon et foutraque dans les ingrédients de l’ensemble. Vraiment je reste indécis. Et peut-être même déçu surtout...
  11. Dans mes fichiers infos que j'ai trimballés de sauvegarde en sauvegarde, de pc en pc au point d'en oublier l'existence j'ai trouvé ça. Ca date de bien 20/25 ans. Le thème c'est le cinéma et encore aujourd'hui ça me fait beaucoup rire. 1 -Dans une maison hantée, les femmes recherchent l’origine des bruits étranges en portant leurs plus beaux sous-vêtements. 2 -Pourchassé dans une ville, vous aurez toujours la chance de pouvoir vous dissimuler au milieu d’un défilé de la Saint Patrick, quel que soit le jour de l’année (cependant il y a des variantes quand le film se déroule en Chine). 3 -Tous les lits ont des draps spéciaux qui s’arrêtent au niveau des aisselles de la femme mais seulement au niveau de la taille de l’homme allongé à ses côtés. 4 -N’importe qui peut facilement faire décoller un avion, pourvu qu’il y ait quelqu’un dans la tour de contrôle pour l’autoriser à partir. 5 -Le système de ventilation de n’importe quel bâtiment est le parfait endroit pour se cacher. Là, personne ne pensera à vous chercher (à croire que personne ne regarde des films !) et surtout vous pourrez accéder facilement à toutes les pièces de l’édifice. 6 -Tu survivras très probablement à toutes les guerres à moins que tu ne commettes l’erreur fatale de montrer à quelqu’un la photo de la bien-aimée qui t’attend sagement à la maison. 7 -Un homme se prendra les plus terribles coups sans broncher, mais sursautera quand une femme tentera de nettoyer ses blessures. 8 -Le chef de la police est toujours noir. 9 -Au moment de payer le taxi, le héros ne regarde jamais dans son portefeuille pour sortir un billet : il en prend un au hasard et le tend, c’est toujours le prix exact. 10 -Les cuisines ne sont pas équipées de lumière : quand vous entrez dans une cuisine en pleine nuit, ouvrez le frigo et utilisez sa lumière à la place. 11 -Pendant une enquête de police, il faut forcément passer une fois dans un club de strip-tease. 12 -Une simple allumette suffit à allumer une pièce de la taille d’un terrain de football. 13 -Même si vous conduisez sur une avenue parfaitement droite, il est nécessaire de tourner vigoureusement le volant de droite à gauche de temps en temps. 14 -1 homme visé par 20 hommes a plus de chance de s’en sortir que 20 hommes visés par 1 homme. 15 -La majorité des gens garde un album rempli de coupures de journaux, surtout si un membre de leur famille est mort dans un étrange accident de bateau. 16 -Ne vous inquiétez pas si vous êtes en nette infériorité numérique dans un combat d’arts martiaux : vos ennemis attendent patiemment de vous attaquer un à un, en dansant de manière menaçante autour de vous, jusqu’à ce que leur prédécesseur soit au sol. 17 -Lors d’une conversation très émouvante, au lieu de regarder votre interlocuteur, placez vous derrière lui et parlez dans son dos (il en profitera pour pleurer au premier plan). 18 -S’il y a un malade mental psychopathe en fuite, cela coïncide en général avec un orage qui coupe le courant et les communications téléphoniques dans les parages. 19 -On peut jouer de la plupart des instruments de musique sans avoir à bouger les doigts. 20 -Toutes les bombes sont connectées à un chronomètre à gros affichage rouge, afin que tu saches exactement à quel moment te tirer (de toute façon, il ralentit dans les dernières secondes). 21 -On peut toujours se garer en bas de l’immeuble où l’on veut aller. 22 -Les héros de séries policières travaillent tout le temps, surtout la nuit, mais ont quand même le temps d’avoir une vie de famille. De plus, ils ne vont jamais faire pipi. 23 -Ni caca. 24 -Les logiciels de la mort tiennent toujours sur une disquette et ne sont même pas compressées. De plus, aucun ordinateur n’utilise Windows donc on se demande pourquoi il y a eu un procès pour monopole. 25 -Dans les films de science-fiction, tout le monde est habillé comme au Moyen- ge alors que l’action se déroule dans le futur.
  12. Merci mais ne te presse pas pour moi pour autant Entre ce que toi tu dois lire de ton côté, et moi ce que j'ai prévu d'acheter sous les prochains six mois, on a laaarge le temps de ce retour de lecture
  13. Attention, moi non plus je n'oppose pas ces deux formes de narration : l'animé et le manga papier. Je dis juste que si un animé semble me donner l'impression d'aller plus vite dans sa narration, l'imprégnation qu'offre la lecture sera toujours plus lente et prégnante pour moi. Je mettrai toujours plus longtemps à lire un recto-verso d'une séquence que la voir à l'écran. C'est l'impression que j'en aie tout au moins. Dans mon souvenir, ma lecture aura toujours été plus profonde et retentissante. Je ne parle là que de quand j'ai lu un manga avant de voir l'animé bien sûr. Et c'est aussi juste histoire de préciser @Skarlix Le The Resistance de J.M. Straczynski semble provoquer des avis mitigés : j'ai l'impression d'en avoir lu pas mal. Ca m'étonne un peu. Je prendrai bien un retour de lecture made in Skarlix une fois que tu l'auras lu steup'
  14. Vu la première saison de Star Trek : Lower Decks sur Prime. J'ai bien aimé le cadre trekkies léger mais très respectueux de la mythologie Star Trek et de sa longue continuité historique. Star Trek : Lower Decks prend pour matière première de ses histoires toutes ces petites gens qui bossent aux ponts inférieurs des gros vaisseaux mais qu'on ne voit jamais habituellement. Ce sont les petites mains, les machinistes, les aspirants ceci, les aspirants cela... Le ton de cet animé : je le définirais à mi-chemin entre M.A.S.H, l'esprit des Police Academy et Parker Lewis ne perd jamais. On suit des perso débrouillards, un brin fainéants (pour certains), en marge du système auquel ils appartiennent. Mais ce sont des rebelles de l'intérieur qui aiment le système dans lequel il vivent. Ce qui fait la force de cet animé quand on est habitués à des animés comme American Dad, Les Griffin, Bojack Horseman (...) c'est vraiment le cadre SF et la culture Star Trek. Ca nous sort du cadre "vie quotidienne". On ne s'esclaffe pas de rire en la regardant mais on passe un bon moment, elle dégage de bonnes vibes de sympathie. Le visage d'un personnage appelé Mariner étant très expressif -je trouve-, cela amène une touche humoristique perpétuelle à la narration. Iroduku : Le Monde en couleur / Irozuku Sekai no Ashita kara (1 saison complète) sur Prime. En gros nous sommes en 2078, une jeune fille nommée Hitomi est incapable de percevoir les couleurs : elle voit tout en noir et blanc. Cet état lui pesant sur le moral, elle vit sa vie de façon complètement éteinte. Issue d'une famille réputée pour les talents de ses mages, Hitomi, pour ce qu'il en est de sa vie et de sa condition, elle finit par se détourner de la magie et la considérer avec méfiance. Lasse de voir sa petite fille, un brin déprimée en permanence, sa grand-mère l'expédie un soir de nouvelle Lune 60 ans dans le passé afin qu'elle la retrouve plus jeune et qu'elle puisse l'aider à comprendre cette malédiction de voir la vie en noir et blanc. Hitomi se retrouve ainsi à vivre sa vie de lycéenne avec sa grand-mère jeune et sa bande d'amis et doit chercher à comprendre pourquoi ne voyant pas les couleurs, elle parvient malgré tout à percevoir les couleurs des œuvres qu'un des amis de sa grand-mère dessinent. Accessoirement aussi elle doit préparé un sort qui devra la ramener à son époque. Alors j'ai bien aimé, mais c'est pas ouf. C'est très contemplatif, ça semble essayer d'être larmoyant mais n'y parvient pas ; je suis resté à suivre cette histoire qui est très creuse pour de mémoire 13 épisodes je crois. On dirait que c'est plein de choses mais sans réussir à en être aucune : pas tout à fait comédie romantique, pas tout à fait animé de magical girl, pas tout à fait tranche de vie... D'où l'aspect moyen au final. Bien mais pas top j'ai envie de dire. Love X Dilemma / Domestic na kanojo / Domestic Girlfriend saison 1 sur Prime. Comme j'adore le manga autant me faire l'animé. J'ai beaucoup aimé bien que l'animé perde au passage l'aspect "coquin" et l'atmosphère "bandulatoire" du manga. Mais c'est chose normale : l'imprégnation ne s'opère pas de la même manière puisque j'ai un point de comparaison. @Shika C'est amusant que tu parles de Rent-a-Girlfriend et en fasse un CR, je vais certainement me mettre au manga (le troisième tome est ou va bientôt sortir). Ce que tu remontes en terme de sensation revient souvent, du coup j'ai hâte de juger par moi-même. Arrête de me chauffer Nagatoro !, autre série manga pour laquelle je pense me lancer, suscite aussi quelques discussions selon comment chacun la prend et la considère ; en effet, le point central de l'histoire étant le harcèlement scolaire, certains passages semblent mettre mal à l'aise certains lecteurs. Il est aussi présenté comme une sorte de Quand Takagi me taquine version ++ ; on passe de la simple taquinerie au vrai harcèlement ici. Faudra voir le discours qui est développé derrière par l'auteur et ce qu'il va faire de ses personnages ; dans A silent voice y a tout un parcours de vie qui en découlait logiquement , façon chemin de la rédemption et du rachat.
  15. @Foussa Jette un œil du côté de La Cathédrale des Abymes (c'est une BD, 3T parus, série complète annoncée et prévue en 4T) de Istin/Grenier. Au vu de comment tu me parles de la série BD sur Elric, ça me fait penser à La Cathédrale des Abymes.
  16. Et donc au petit jeu des comparaisons : tu t'y retrouves entre ce que tu as vu et mes retours de lecture ? Pour avoir lu Love X Dilemma et en avoir vu la première saison que j'ai fort appréciée, en animé je trouve qu' on perd forcément quelque chose : la lecture demeure toujours plus longue et analytique ; l'immersion et l'analyse opère différemment. L'animé doit toujours faire des coupes, aller plus vite... C'est des fois pas grand chose : des détails, des scènes rabotée, mais ça reste de l'ordre de l'adaptation, donc des choix de mise en scène qui sont propres à chaque média. Et les sensations sont différentes.
  17. Edrahil

    Profiter du confinement.

    Tellement moi ça !
  18. Ca me fait penser à Saenai Heroine no Sodatekata ? Que j'ai justement prévu de regarder après Wotaku ni Koi wa Muzukashii (aussi appelé Wotakoi : L'amour c'est compliqué pour un otaku). Je reviendrai faire un retour des animés que j'ai vus.
  19. Edrahil

    le post à râler!

    J'ai mis deux heures pour rentrer chez moi tellement ça circulait sur la route, tout congestionné. Du coup, j'arrive, je me douche, je mange, je me couche... et c'est reparti pour une nouvelle journée de boulot. J'ai l'impression que mes journées font 48 heures. Grrrr 😬 Là, avec ce message, chuis dans mon quart d'heure de détente entre le manger et le coucher. Fais ch*** !
  20. Edrahil

    PS4

    J'y ai très/trop peu joué malheureusement. Même pas assez pour considérer l'avoir pris en main et le connaitre. Acheté lundi dernier, rentré tard toute la semaine à cause du boulot et oublié ma Switch dans mon vestiaire du boulot que j'avais prise pour le week-end... bref j'en suis à peine au début. Pour te dire : je n'ai encore que Riesz en perso jouable
  21. Punisher - Intégrale de G. Ennis. Toujours et encore un grand moment de lecture. Après les deux premiers tomes de ces intégrales (quand elles étaient dessinées par Dillon), l'écriture de Garth Ennis et son approche du personnage s'est bonifiée, -et le plaisir de lecture est vraiment au rendez-vous. All New Thor T4 de Jason Aaron. Toujours partagé sur cette lecture. Le destin de Jane Foster est passionnant mais le cadre qui nous est servi et les intrigues qui sont choisies pour êtres développées sont bof selon mes propres attentes. Par exemple sur ce tome avec la guerre des Royaumes qui gronde, il est question de réfugiés Elfes chez les Nains, de bons dialogues, une chouette mise en place, une attaque qui vient tout mettre à mal... et finalement l'auteur sur cette base qui semblait être posée, nous sert une intrigue un peu naze, à base de guerre des Thor où deux Thor (le Thor version Ultimate et Jane Foster/Thor) se foutent sur le râble pendant tout le tome. Quel dommage ! Ca ne reste que mon avis. Yawara ! T3 de Naoki Urasawa. C'est un manga excellent. Cette Yawara nous est vraiment présentée comme une fille fragile, sensible, frivole mais en même temps Urasawa parvient à nous faire ressentir toute la force de Yawara. Elle est vraiment très forte mais elle ne nous apparait pas "grosbillesque" pour autant. Cet entre-deux dans lequel nous sommes mis dans l'approche de notre jeune judoka est superbement bien rendu : tout est en équilibre parfait. Un super série dans le monde du judo, qui en plus, parvient à nous faire nous intéresser à ce sport, même si on en a une totale méconnaissance comme moi. Middlewest T2 de Skottie Young. Le premier tome faisait office de "on pose le cadre, les persos, l'intrigue itou", ce T2 nous lance vraiment dans l'histoire précédemment amorcée. Je me suis immédiatement senti dedans avec le sentiment que la série était lancée. De la bonne lecture de distraction, annoncée et prévue en trois tomes.
  22. Tu penses qu'on pourra préco quand sur votre site ? J'ai tellement hâte
  23. Edrahil

    PS4

    Par curiosité @Argone, tu es parti avec quelle équipe sur Trials of Mana ? Je me suis lancé à l'aventure avec Riesz (la Princesse Amazone) en perso principal, Duran (le jeune Barbare) et Angela (la Magicienne) en perso 2 et 3. Ce n'est pas une équipe optimisée mais une équipe construite sur l'envie de les jouer. J'aime bien le côté magical girl que ça lui donne et j'avais surtout envie de découvrir cette nouvelle façon de jouer : incarner des personnages capables de lancer des sorts et faire des invocations. Je n'ai jamais joué de tels personnages dans les jdr ou jdv que j'ai pratiqués jusqu'à présent. Mû par cette envie et les bonnes vibes qui semblent se dégager de ce jeu qui à un certain charme tout en simplicité, je me suis dit "zou pourquoi pas (?)" Trials of Mana m'a l'air plutôt riche dans ses menus divers (c'est une sacrée arrière-cuisine avec ces compétences, classes et choix multiples pour typifier ses persos). Je vais m'y faire la main ; je n'ai jamais jamais joué à un tel jeu (je suis revenu au jeu vidéo à l'aune de ma 40aine), j'étais fait pour croiser sa route et me lancer dans l'aventure.
  24. "Haaaa, bordel d'uniforme de putain de métier de con de nom de Jupiter de saloperie de cape de merde !" dans Trois heures moins le quart avant Jésus Christ. Je te lis et immédiatement je pense à ça
  25. Edrahil

    Profiter du confinement.

    @razorspoon Ben dis donc ! T'as quand même assuré boudiou !!
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