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razorspoon

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Tout ce qui a été posté par razorspoon

  1. ça explique qu'il y ai ce ressenti mécanique en tout cas.
  2. sérieux? Sans sémantique? 🤔
  3. ça veux surtout dire que si l'IA sait gérer une recherche, elle assez peu de recul sur ce qui est contextuel. après, la précision de la question est prépondérante sur les choix de l'algorithme. plus on restreint le champ de recherche plus il arrive à trouver des occurrences sur ce que l'on recherche vraiment. Je me demande ce que donne l'IA si on l'interroge sur des concepts ("parle moi de la psychanalyse", "que sais tu de l'impressionnisme", ou "compare moi Picasso et Dali", genre).
  4. ça me donne bien envi de teste ce truc aussi.
  5. razorspoon

    Joyeux Anniversaire !

    wow! 🤘 bon anniversaire -un poil en retard -
  6. mmm... disons que j'utilise principalement des Martora 8424 de Raphael (du 3/0 au 3). j'en ai deux set, un pour les acryliques (dans le pot plastique) et un pour les métalliques (dans le pot coca cola). pour les travaux fins, dégradés, détails, ils sont précis et dynamiques. pour les aplats, j'ai des 835, en poil naturel de "petit gris". des pinceaux polyvalent mais peu précis, avec un bon réservoir. je les ai en "grandes tailles" du 2 au 12. Pour les lavis et glacis, les 831 (dans le pot citadel) offrent une bonne retenu des peintures fluides et un meilleures précision que les 835. j'utilise un 2 et un 4 depuis 2015, assez fins pour le travail de détail tout en gardant une largueur d'application conséquente, et ils sont toujours fonctionnels. Dans le pot Heineken, mes réforme pour brossage (dont pas mal de 8394 retaillés, j'ai été assez déçu par la longévité de ces pinceaux à poils synthétiques). il y a surtout des synthétiques 8131 et 8504. pour les brossages, les fibres synthétiques accrochent moins et sont plus simples à nettoyer concernant les pigments quasiment secs à appliquer. avec tout ça, on est sur 90% de mon usage courant. Mes pinceaux "à mélanges" et "à prélèvements" que je réforme après la perte de la structure du pinceau. Les phases de mélange et d'élaboration de teintes étant plutôt traumatisante pour les pinceaux, autant utiliser du matériel qui ne craint plus rien. je passe aussi les peintures techniques (craquantes, granuleuses et à effet de structure) avec ces pinceaux. Je retaille certains d'entre eux pour gérer les essorages en cas de débordement ou de projection indésirable en cours de peinture. Et mon stock de réserve, avec un peu de tout dans toutes les tailles. à noter mon set de 3 pinceaux "spécial vernis" qui sont également des 831 en taille 4 et 8. Usage exclusif. un peu comme pour les métalliques, cet usage spécifique altère particulièrement la qualité globale des brosses dans le temps. J'ai quelques Da Vinci qui trainent aussi par ci par là. De la gamme "Maestro", très précise, dynamique et subjectivement ultra flexible dans le créneau du dégradé. je ne les utilise que pour les gros projets (bustes, grandes tailles) et les trucs one shot et commandes. Je touche à l'obsessionnel avec ses pinceaux, ils me rassurent plus qu'autre chose sur ces projets.
  7. Finalement pal sur ce coup, malgré tout l'intérêt du jeu et de l'offre en elle même. Après réflexion, c'est trop pour moi. Je vais me consacrer aux grandes tailles (enfin essayer de m'y consacrer) Bravo pour la réussite du projet cependant. Et sait on jamais, le boutique en ligne va bientôt ouvrir ses portes...
  8. J'en ai des tonnes tailles, usages, forme de la pointe... j'ai pratiquement un pinceau par type de peinture en au moins 3 tailles différentes. donc difficile de mesurer une usure réelle. Concrétement, j'ai une série pour les aplats, une pour les lavis et glacis, une pour les dégradés et détails, et une pour le métalliques. J'ai aussi une gamme spéciales de "rebuts et réformes" pour toutes les techniques de brossages. durant l'année écoulé je n'ai " réformé" qu'un seul pinceau. un 0 il me semble, et encore suite à une erreur d'entretien. Il faut dire que je réserve mes pinceaux "rebuts", ceux avec des poils irréguliers ou à la pointe éclatée, pour les mélanges, les peintures "dures" types Technics Citadel Colour, ou les essorages. ça économise bien les "bons" pinceaux. Et au cas où, j'ai un stock conséquent de rechanges. Donc, oui, difficile de mesurer une durée de vie.
  9. l'astuce du jour? Aussi vieille que moi -c'est dire- un peu de salive pour reformer la pointe avant de mettre un pinceau au repos. La pointe sera préservée et ça ne coûte rien. Cette méthode est en principe bien connue. Personnellement, je dépose une goutte de salive sur le coin de mon ongle et je lisse le pinceau avec un mouvement de rotation, parce que je n'aime pas trop mettre un pinceau directement sur ma langue... Si le pinceau de vient irrattrapable, je lui offre une seconde vie dans l'univers des brossages et des mélanges.
  10. On obtient le même résultat avec la géothermie "passive". (il s'agit d'une canalisation d'environ 20cm de diamètre, ouverte dans la maison, qui plonge à X mètres par mètre cube de volume interne du foyer et ressort à Y mètres par mètre carrés dans le jardin. tout l'année un air tempéré à environ 15°C ventile la maison. et l'avantage? été comme hiver ce système "passif" garanti un température minimale dans la maison que se soit par forte chaleur ou par grand froid. On trouve ce type de système dans le grand vide Canadien...)
  11. oui, je vois. le produit permet de reformer la pointe. Tu l'as déjà peut être constaté, à l'achat, un pinceau présente une certaine rigidité -pour peu que le reste de la clientèle n'ai pas trop joué avec sans l'acheter...- c'est ce type de "medium" qui est appliqué dessus. le procédé garanti une meilleur conservation en magasin. Alors, je suis partagé sur l'usage en studio. D'une part, parce que j'ai l'impression que mauvais usage aura strictement l'effet contraire de celui souhaité, à savoir user prématurément le pinceau. D'autre par, si le pinceau commence vraiment à prendre un aspect en éventail, l'application du réparateur va corriger l'aspect du pinceau sans en résoudre la cause, à savoir dans la majorité des cas, l'encrassement de la virole. J'adore GSW en tant que fabriquant de peintures, mais là, je pense qu'une dépense peut être évitée.
  12. bah, en fait, dans le droit privé, l'entreprise ne joue réellement aucun rôle, à part celui d'envoyer le montant des cotisations dans l'enveloppe "retraite" des URSAFF, dans le départ en retraite d'un salarié. C'est logiquement le bénéficiaire qui doit engager la démarche avec sa caisse de retraite. après la cessation d'activité, c'est une autre histoire. Dans le droit public, oui, c'est l'employeur qui gère et initie le dossier de demande de pension. et là , c'est vrai il y du bon et du moins bon. Ce qui est assez normal, vu que les informations rendues publiques le sont généralement par voie de presse ou par l'exécutif. Or, ni l'un ni l'autre ne sont à ma connaissance des spécialistes dans ce domaine. La revue "notre temps" était un vraie bonne source de renseignement sur le sujet ceci dit. 20, de mon côté, pour arriver à l'âge vénérable de 67 ans. C'est dire si au final, la réforme me passe au dessus de la tête...
  13. En fait j'ai un peu perdu ce projet de vue... les tirages ont l'air bien, ceci dit.
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