Edrahil

Ultimate Spider-Man : La Mort de Spider-Man de Brian M. Bendis et Mark Bagley. Un bel Omnibus qui vient clore les 12 tomes d'Ultimate Spider-Man. Pour ma part, j'avais été frustré après la lecture du T12 de me dire que l'objectif "encyclopédique" des aventures de Peter Parker que poursuivait cette édition Ultimate, pouvait s'arrêter là. On a enfin la fin de cette saga version Ultimate et c'est heureux. L'édition et la couv' sont superbes je trouve. La couverture crépusculaire à souhait. Le dessin est top aussi. Si sur toute la série des Ultimate Spider-Man c'est Mark Bagley qui a officié, je dois reconnaitre que je ne suis pas forcément fan de son style paradoxalement ; ici, avec ce tome, s'il reprend la plume pour la dernière partie, ce sont David Lafuente et Sara Pichelli (et surtout Lafuente) qui est au dessin. Et j'ai trouvé ça top. Toutefois, j'apporte une nuance et redore le blason de Bagley dans mon esprit : sur ce tome le style de ce dernier a changé, et est plus fin -j'ai trouvé-, correspondant plus à un style que j'apprécie. Au niveau de l'histoire, nous sommes placés dans la continuité de la saga : et plus particulièrement sur ce dernier tome, on laisse vivre Peter Parker dans ce soap adolescent qui peut caractériser la série. Pour le coup, c'est hyper plaisant et distrayant. On y ressent bien tout le poids des aventures passées de Parker à la manière du sillage d'un bateau. A la façon d'un héritage. Et c'est peut-être là où on peut se faire avoir. Le plaisir de lecture est au rendez-vous, c'est je le redis très plaisant et distrayant, et à un moment on se rappelle ce vers quoi cet ouvrage nous achemine : une fin tragique. Cet aspect a renforcé mon plaisir et le souvenir que je garde de cet Ultimate le plaçant peut-être comme étant mon préféré de cette saga. C'est dire combien je l'ai apprécié et combien je suis content que cette fin existe rendant une unité narrative logique à ces 13 tomes.

Ha ! Le X-Wing j'adore !

Danger Girl : Tric-traque à Shangaï. Suite de ma lecture de cette série d'aventure très girly à mi-chemin entre Charlie's Angels, James Bond et Indiana Jones. Dans le genre, c'est toujours très plaisant à lire ; le seul regret c'est peut-être au niveau du dessin pas toujours plaisant, lui, je trouve. Le tome suivant voit un nouveau dessinateur en collaboration, -à voir donc. Tango T2 : Sable Rouge. Notre baroudeur Tango vogue vers des cieux nouveaux pensant trouver la paix avec son nouveau comparse d'aventure Mario après l'introduction que représentait le tome 1. Accostant sur l'île où vit son grand-père pour lui rendre visite, il découvre bien vite qu'un cartel de drogue tente de faire main basse sur cette île pour en faire un port clandestin où transitera de la drogue à l'abris des regards des autorités. Mais c'est mal connaître notre héros redresseur de torts. Cette histoire nous démontre qu'assurément, Tango est cash dans la direction qu'il impulse à sa vie. Une bien bonne série, pas forcément follement originale mais menée avec métier et savoir faire. Chaque tome est une nouvelle découverte. Contro Natura de Mirka Andolfo. Au dernier apéro BD était abordé les ouvrages "anthropomorphiques". Contro Natura m'attendait déjà gentiment dans la pile des livres à lire et je n'avais pas pu émettre un quelconque avis sur ce dernier. Il fera parti dans mon esprit de ces bouquins qui nous charme par surprise où l'on se dit qu'on est content qu'il nous soit passé par les mains et les yeux un peu par hasard. Ce roman graphique très beau au demeurant dans son dessin nous raconte ceci : "Dans un monde peuplé d'animaux anthropomorphes, la loi n'admet que l'union d'individus de même race. Les transgresseurs sont sanctionnés et emprisonnés, accusés d'être « Contre nature ». Leslie, elle, est un cochon simple qui aime les sushis et la musique, forcée de faire un travail qu'elle déteste pour survivre. Cette jeune femme de vingt-cinq ans vit avec Trish, sa meilleure amie, rêvant, comme tous les gens de leur âge, d'une vie différente. Mais les rêves peuvent être dangereux, surtout lorsque c'est un loup inquiétant qui les peuple et que, au réveil, Leslie commence à se sentir observée..." Le début rappelle les récits orwellien ou encore Carpenter par son traitement "complotiste" et totalitaire. La société qui nous est dépeinte dans ce roman graphique est fascinante par ce qu'elle sous-tend comme critiques de notre monde (bien réel celui-là). La charge portée par l'auteur est très joliment menée ; elle démontre s'il en était besoin que ce qui compte dans une famille/relation, ce sont les sentiments et peu importe qu'ils soient de la même espèce ou inter-espèce. C'est plein de petites référence qu'elles soient graphiques ou autres, ce qui rend la lecture très dynamique et plaisante. Precevan T1 : Les Trois Etoile d'Ingaar de Jean Léturgie et Philippe Luguy. De la la bonne vieille BD franco-belge sans esbrouffe, mais très efficace dans la tenue de son récit heroic fantasy qui peut plaire autant aux enfants qu'aux adultes. C'est très linéaire et bourré d'action, avec ce charme indescriptible des BD de cette époque. Comme Gon et Barbi je recommande. Faut que j'empreinte la suite au neveu maintenant.

@Renand Tu mens ! Le ciel est bleu ! Edrahil petit saligaud à ses heures.

@madcollector Amen

Retour coutumier de mes dernières lectures : Invincible - Intégrale T1 de R. Kirkman. A l'occasion de cette réédition en intégrale d'Invincible chez Delcourt, j'en ai profité pour m'y mettre sans avoir à subir les affres du rattrapage de série quand celles-ci ont déjà trop de tomes de parus. Cette intégrale regroupe deux tomes. Invincible c'est du comic de super-héros qu'il est bien on m'a dit. Et on m'a prévenu aussi de ne pas forcément me fier au deux premiers tomes très classiques. Et oui je confirme. Avant d'entrer dans ce qui fera sa propre particularité, Invincible en passe par la présentation du cadre, des perso, des pouvoirs (...) nous donnant une énième histoire de jeune super-héros comme on a pu en lire déjà avec Spider-Man, les X-Men... Le premier tome est d'une facture très classique, -le temps de poser tous les ingrédients propres aux récits de super-héros-. Le deuxième tome quant à lui, reste sur la lancée du premier sur ses deux tiers à peu près, avant de basculer sur ce qu'on devine être l'amorce de l'histoire originale de ce comic. Ce premier gros volume m'a séduit et je loue le bon travail d'édition des Editions Delcourt : l'ouvrage est ce qu'on attend d'une intégrale. Die - Mortelle Fantasy T1 de Kieron Gillen et Stépahnie Hans. Résumé éditeur : "En 1991, six adolescents se retrouvent chez leur Maître de Jeu et jouent à un jeu de rôle fantastique...mais disparaissent sans laisser de traces. Deux ans plus tard, cinq d'entre eux sont de retour. Près de trente ans ont passé et il est temps pour ces adultes de reprendre la partie : le jeu n'en a pas fini avec eux." Die c'est un comic en même temps qu'un univers bien pensé et construit par Gillen et Hans. On sent toute la richesse de l'oeuvre en l'abordant et la parcourant. C'est autant une réflexion sur le comic que sur le jeu en tant que tel et en tant qu'activité sociale. La notion de jeu de rôle prend tout son sens lorsque l'auteur caractérise les personnages principaux du comic. C'est une oeuvre très pop culturelle, pas forcément fun dans son ambiance et ce qu'elle dégage, mais elle a cela qu'elle est intrigante par les idées que l'auteur a eu envie de mettre en place dans son récit et de développer. A suivre donc. Takane et Hana T13/14/15/16. Takana et Hana c'est ma friandise que j'ai plaisir à retrouver chaque début de mois. Malheureusement j'ai rattrapé tout le retard de la série : fini le "binge reading". Avec ces derniers tomes on est parti sur un nouvel arc narratif (nos héros sont maintenant officiellement ensemble (c'est pas vraiment un spoil je vous rassure)), ce qui va nous conduire vers la fin de cette série qui est semble-t-il, prévue pour être en vingt tomes. Ces tomes m'ont surpris dans la qualité de certaines scènes ou dessins ; ils font montre d'une certaine pertinence parfois à révéler les interrogations ou sentiments des personnages. Cela parvient à toucher du doigt précisément ce petit quelque chose indéfinissable de l'humain et son rapport à l'attachement. Et ça, j'aime. Quand Takagi me taquine T3 Dans la même veine que les précédents : de toute façon, y a peu de chance que cela change puisque nous sommes face à plein de petites histoires qui sont autant de chapitres. J'ai réalisé avec la lecture de ce tome que mon idée de comparer cette série aux Bip-Bip et Coyote était plutôt juste. Rappel de l'histoire : "Nishikata est un collégien plutôt réservé, peu habitué à jouer les premiers rôles en classe ou dans la cour de récré. Takagi, sa camarade de classe, est par contre coutumière des coups d'éclat. Elle aime se faire remarquer, mais elle se plaît surtout à attirer la lumière sur Nishikata, malgré lui. En effet, Takagi ne ménage pas ses efforts pour taquiner Nishikata : l'embarrasser est un véritable passe-temps pour la jeune fille ! "Qui aime bien châtie bien" est tenté de penser Nishikata... Mais attention, avec Takagi les apparences sont toujours trompeuses !" On a systématiquement un Nishikata qui pressent un piège et qui en même temps essaie d'en tendre à Takagi par vengeance ; et systématiquement tout se retourne contre lui et il finit par être le dindon de la farce. C'est pour ça que je dis que c'est une mécanique digne des Bip-Bip et Coyote. La malice déployée par nos deux protagonistes est amusante mais "à malicieux, malicieuse et demi", c'est toujours Takagi qui l'emporte. All-new Wolverine T1 de Tom Taylor. Laura Kinney alias ex Agent X-23 maintenant fille sprirituelle et remplaçante de Logan décédé. Et c'est son histoire qui nous est contée là. Enfin plutôt ses débuts parmi tant d'autres. C'est le genre d'histoire qui devrait toujours être ainsi chez Marvel. Il y a quelque chose de redoutable dans la qualité simple mais efficace que l'auteur nous présente l'histoire, la dialogue et la met en place. C'est avec ce genre de lecture qu'on se rappelle pourquoi un jour on est venu et a aimé les comics. Je ne vais pas vous résumé l'histoire ni quoi que ce soit ; mais juste dire combien on éprouve un plaisir de lecture jouissif à suivre cette histoire. Cette impression de simplicité captivante est vraiment à mettre sur le compte du talent de l'auteur qui sait nous faire ressentir de l'empathie pour Laura et ses clones en même temps qu'il déploie une histoire au long cours mâtinée d'humour et de violence qui nous titille la curiosité et nous donne envie de poursuivre cette série. Du bien bel ouvrage. Et merci à madcollector qui me l'a chaudement recommandé. Bloom into you T6 Un tome qui préfigure certainement l'arc narratif final. La série est en 8 tomes. Avec ce tome 6, j'ai eu l'impression d'être vraiment sur un tome de transition : il a fait changer beaucoup de chose mais dans le même temps il s'ingénie à poser beaucoup d'autres questions inattendues. Faudra attendre la suite... et ça va être loooong. J'adore ce manga dans sa façon de cerner et dépeindre la délicatesse des sentiments.

On dirait un décor de la Hammer cette photo du cimetière. Mais je vous rejoins, les cimetières anglo-saxons très végétalisés, sont très beaux.

Je n'ai rien dit hier, mais je les achète à mon neveu. Faudra que je les lui empreinte. Je voulais justement ce petit côté med-fan classique façon franco-belge pour lui, et j'étais parti sur cette série. Comme quoi.

Pour ceux qui auraient loupés la grosse niouze d'hier : Attention ce jeu n'est pas BOTW 2, c'est un jeu qui hybride la mécanique des jeux "Warriors " dans le Zelda Breath of the Wild, nous permettant ainsi de participer à l'affrontement contre Ganon 100 ans avant BOTW. Regardez la vidéo et vous comprendrez de toute façon.

Déjà pré-commandé pour ma part. Et ouais chuis comme ça moi ! 😎

Je serai là aussi. Peut-être pas sur la totalité -quoique- mais je serai présent. Et comme madcollector essaiera de se taire, moi j'essaierai de ne rien rajouter sur ma liste d'achats. Facile et normal quoi !

Super William ! Merci. Y a des chances que l'insert de la Version Limitée ait pensé au "sleevage" des cartes ? Ou faudra en passer par la personnalisation au carton plume de l'insert comme souvent ?

Mine de rien, comme vous j'ai songé à me reconstituer mon stock de bricoles type : carton plume, colle... Au cas où.

Que faut-il comprendre par "version limitée" ? "Limitée" en quantité dispo à la précommande (?) ou version "premium" accessible à ceux qui la voudront ?

Die T1 - Mortelle Fantasy de Kieron Gillen L'est -enfin !!- sorti en VF aujourd'hui.

Avec l'automne-hiver arrivant, j'aurais un peu plus les coudées franches au niveau des choix des jours de semaine. Pour l'heure, le mardi peut-être interchangeable avec le mercredi dans mes possibilités. Les autres jours seraient pour l'instant plus difficile pour moi.

Comme madcollector : "Perso ça me va bien comme ça". La semaine prochaine pourquoi pas oui.

Oui merci @Argone. Et même à la base, avant d'être un manga c'est un roman. Roman => Manga => Animé. C'est un peu pour ça que je disais qu'on peut sentir une difficulté dans le rendu de l'histoire via la narration du manga.

Another T1/2/3 Another une série manga complète en 4 tomes. Ce qui m'a attiré vers ce manga c'est un résumé pour le moins intrigant et prometteur : "En 1972, Misaki, élève très populaire du collège Yomiyama-Kita, périt brusquement dans un accident, juste après son passage en 3e3. Refusant d’admettre sa mort, ses camarades de classe décident de faire “comme si Misaki était en vie”. Toutefois, à la fin de l’année, Misaki apparaît sur la photo de classe…Vingt-six ans plus tard, Kôichi Sakakibara est transféré dans cette même classe. Il se rend vite compte de l’atmosphère sinistre qui règne parmi ses nouveaux camarades et se pose des questions sur une étrange jeune fille qui se nomme Misaki…" En définitive, avec la lecture de ces trois premiers tomes, si je peux juger que l'atmosphère pesante et mystérieuse dont le résumé peut nous en faire la promesse est tenue, je dois dire que c'est typiquement le genre de courte série manga qu'il faut juger véritablement qu'à sa fin. Il faudra que ce quatrième et dernier tome fasse unité et qu'il parvienne à lier l'histoire avec brio. Parce que si le premier tome lance le squelette de l'intrigue principale, les tomes 2 et 3 peinent à habiller de chair ce squelette. On tombe vite dans la répétitivité d'une histoire ronronnante avec à chaque fois une mort de plus, des perso figés de stupéfaction et habités de questions, sans que pour autant nous ayons la sensation que l'histoire s'enrichisse malgré l'avancée de l'histoire (et des tomes en plus). J'irai même parfois jusqu'à dire que c'est légèrement alambiqué das le déroulé de l'histoire. Comme si l'auteur avait eu du mal à métaboliser/synthétiser de manière simple et linéaire son intrigue. Lecture agréable malgré tout, je jugerai tout ça sur pièce avec le T4. Preacher T1 et 2 de G. Ennis et S. Dillon Des couv' hypnotiques qui m'intriguaient depuis des années sans que je ne franchisse le pas de l'achat, parce que j'ai bien assez à lire et à découvrir sans que je ne vienne me rajouter de beaux bébés comme ceux-là. Mais leur attrait a été le plus fort et j'ai fini par m'y pencher. Et dans c'est cas-là on dit : "Bien m'en a pris !". Pour ceux qui connaissent déjà c'est vraiment ce qu'on peut appeler une oeuvre riche et généreuse : dans son style à part, son dessin, ses bulles... C'est tellement roboratif comme lecture, qu'au début on a même du mal à la cerner et y rentrer dedans : j'oscillais entre le "ouah ça c'est cool !" et deux pages plus loin, le ton différent changeait mon intérêt en quelque chose de plus diffus, un peu moins dans la lecture. Il m'a fallu du temps pour rentrer dans celle-ci et en cerner les nombreux ressorts narratifs et toute l'architecture de l'histoire. En plus de cela, sur une oeuvre de cette taille, il faut du temps pour faire connaissance avec les personnages, et aussi j'ai envie de dire, le style de l'auteur. Une fois tout ça digéré, c'est vraiment une oeuvre jouissive et généreuse. Il m'aura fallu peut-être une grosse moitié du T1 (et peut-être même plus) pour apprivoiser ce Preacher. Mon intérêt fluctuant me faisait penser (magie du cerveau et de ses associations d'idées) à la scène du décollage incertain de l'albatros dans "Bernard et Bianca"... Ca décolle, ça retombe, ça va décoller... ah ben non (!), ça redécolle... Quoi qu'il en soit, comme beaucoup maintenant je peux louer le plaisir de lecture que l'on peut ressentir en lisant un tel ouvrage. Je vais rapidement enchaîner avec les tomes 3 et 4.

PAN ! Toutes les armes cultes de la pop culture. Ce qu'on peut appeler un beau livre. C'est un ouvrage qui référence la plupart des "armes cultes de la pop culture" : ça balaye vraiment dans tous les domaines. S'y trouve chroniquer autant le Walther PPK de James Bond, que le lasso d'Indiana Jones, que l’Épée de Légende de Link, ou le gant de Freddy Krueger, ou encore les Pack Proton de Ghostbusters, les Astérohache, plein de choses... Non vraiment ça ratisse large et chaque arme est accompagné de son article descriptif. Un livre très agréable à lire et à feuilleter qui se voit aussi entrecouper d'articles mettant en valeur certains réalisateur et leur rapport aux armes dans leur filmographie (Cameron, Woo, Tarantino...) ; et à cela, vient encore se rajouter des articles de célèbres armuriers ou artisans travaillant pour les Studios Hollywoodiens. Je l'ai trouvé très complet et fort agréable à parcourir. Un chouette bouquin comme souvent chez Huginn & Munnin que je conseille.

Pour ce que ça vaut, pareil pour moi. Le dessin ne m'a pas emballé. Ça m'a permis de m'écarter de cette série sans regret. Quoi que vous puissiez en dire de bien. Et n'essayez même pas... J'ai dit non !

Voilà mon sentiment résumé... Et d'une certaine manière, comme tu me le présentes, ça a quelque chose de similaire à ce que je voulais signifier. Ce serait une série il aurait fait les saisons de trop. De toute façon j'irai au bout ; de mémoire je suis à 3/4 tomes de cette fin.

Vu comment j'ai perdu la hype pour cette lecture au fur et à mesure de son avancement, parce que Kirkman me donnait l'impression d'étirer son récit au point de me faire soupçonner qu'il ne savait plus où il voulait aller, j'ai encore la naïveté de croire qu'il a réussi à clore "tout ça". Bien que j'ai du mal à y croire tellement au fil du temps, il semble pour moi s'être dispersé et avoir raconté toujours la même histoire. Comment conclure de manière satisfaisante une oeuvre qui a pris cet aspect quasi "fleuve" ? Pour imager, je suis au moins aussi sceptique que si on me disait qu'on a trouvé une fin satisfaisante aux Feux de l'Amour. Ça me paraîtrait hyper balaise ! Mais je veux y croire malgré tout.

Vous êtes taquin Monsieur madcollector... ...mais c'est tellement ça.