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Edrahil

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Tout ce qui a été posté par Edrahil

  1. @teil Skarlix pointait à notre attention cet été la sortie de l'intégrale. Peut-être pourrait-il t'en dire plus sur The Goon ?
  2. Edrahil

    Nintendo Switch

    @FranHoiss Très inspiré certes, mais suffisamment différent par son univers typé Panthéon Grec et son ton général empreint d'humour qui manque parfois aux open world et à Zelda pour éveiller un certain intérêt. Apparemment pour ceux qui l'ont joué sur Stadia, ils disent qu'au début, oui on pense à Zelda, mais au fur et à mesure, on voit aussi que sur plein de détails il s'en éloigne et se fait "son" identité. Et nous joueurs on rentre dedans. Mais ne te fie pas à moi : je l'attends depuis longtemps pour faire suite à Zelda : Breath of the Wild que j'ai plus qu'adoré et que j'ai fini durant le premier confinement. Et aussi je l'ai déjà précommandé de toute façon, tellement je sais que ça va me correspondre . Mon a priori est donc plutôt positif pour moi. On verra et je reviendrai faire quelques retours.
  3. Preacher T6 de Garth Ennis et Steve Dillon. Fini y a peu le sixième et dernier tome de Preacher. Quelle œuvre fantastique ! Je les aurai lus sur une période de quatre mois en alternant avec d’autres ouvrages ; et je dois reconnaître que ce voyage au cœur de la psyché américaine que m’aura proposée Garth Ennis avec son Preacher, m’aura hanté l’esprit bien des fois tellement il m’a happé par son histoire et ses persos. C’est la grande force des œuvres fleuves. Elles nous laissent toujours ce temps pour nous attacher à l’univers global que nous propose un auteur, et moi à la fin d’une telle série, j’ai toujours une boule dans la gorge de laisser tout ça quand ça s’achève. Toujours dans sa ligne de conduite exubérante et outrancière, Ennis fait évoluer l’intrigue et ses persos jusqu’au terme de ce sixième tome, nous montrant par là-même la maîtrise de son récit de bout en bout. C’est tellement foutraque et riche la lecture du premier tome que constater qu’au fil des tomes tout devient clair et logique, que l’intrigue semble parfaitement savoir ce vers quoi elle veut s’acheminer, le plaisir de lecture est là et il est grand. La fin reste à l’image du ton irrévérencieux de la saga à l’égard de la religion et de Dieu (difficile d’en dire un mot, tant le fait d’à peine essayer de le faire, semblerait à mes yeux relever du “divulgâchage”). En gros, le héros traque Dieu pour lui demander des comptes sur sa gestion déplorable de l’humanité. ‘ttention ! C’est un résumé à la tronçonneuse. Dans tous les cas, c'est un classique qui en vaut la peine. Vraiment. Punisher de Ennis/Dillon. Autre classique du même duo d’auteurs Ennis/Dillon : Punisher en version Marvel Icons. J’ai croisé de nombreuses fois Frank Castle dans mes lectures comics mais jamais je n’ai lu de comics spécifiquement centré sur le personnage. A la suite de Preacher des mêmes, c’était l’occasion. L’envie était là. Verdict : j’ai beaucoup aimé. Ce format, gros volume de 500 pages approx, est parfait pour faire connaissance avec le Punisher. Sans véritable histoire au long cours, on suit chaque histoire comme autant de vendetta de Frank Castle contre un caïd de la pègre et sa bande. Cet aspect rend la lecture très distrayante faisant apparaître Castle comme un être monolithique plein de ressources, imaginatif et quasi invincible. C’est très dans la lignée du duo Ennis/Dillon en matière de narration, dessin itou. Mighty Thor T1 de Jason Aaron et Russel Dautermann. Je vais réserver mon avis après ma lecture du T2. Je suis dedans en ce moment. Les bons retours sur ce titre de Jason Aaron m’ont donné envie de m’essayer à cette nouvelle héroïne. C’était aussi l’occasion de faire connaissance avec tout le décorum qui tourne autour de Thor dont je ne suis absolument pas coutumier. Je peux juste en dire pour l’heure que ce T1 a un côté sombre et "dépressif" ; c’est assez surprenant de voir tout le sérieux qui transpire de la narration, des dialogues et que l’humour y est quasi absent. De ce que j’ai pu en juger sur ce T1, ce n’était pas léger et très empreint de solennité. Et ce qui m’étonne le plus c’est que je n’ai pas encore d’avis sur ce titre. C’est très bizarre. @Bawon Samdi et à ceux qui pourront m'éclairer sur The New Frontier de Darwyn Cooke. J'ai un peu de mal à comprendre, malgré ma prise d'infos sur la toile, s'il est nécessaire d'avoir une bonne culture des super-héros DC pour faire cette lecture qui me botterait bien. Ce qui me trouble, c'est qu'à en lire les critiques et résumés, ça ne semble pas forcément primordial, mais en même temps la couverture du titre met ces mêmes héros en avant me faisant penser qu'il me manquera peut-être le background DC. J'ai faux ou pas ? Comme beaucoup ici, je suis habitué à la culture super-héroïque, si je ne suis pas les héros DC, je les connais à peu près dans les grandes lignes : ça peut suffire ou pas ? A vot' bon coeur M'sieur Dame.
  4. L'est 11h11. C'est la page 111... ...c'est l'Invasion des Uns ! Hein ? Comment ça j'ai trop de temps !?
  5. Je mets ça là. J'ai offert malgré moi ce matin, un moment surréaliste à une jeune collégienne, qui dans la panade (semble-t-il), s'approche de moi alors que je gratte le pare-brise pour me demander si j'ai un téléphone (le sien n'a plus de batterie), et si je peux le lui prêter pour qu'elle appelle ses parents. Moi : pas de problème, je vais chercher mon portable dans mon sac et lui tends. Il faut savoir que je ne suis pas féru de nouvelle technologie et que je n'ai pas de smartphone ; j'ai un bon vieux Nokia des familles qui vient du fond des âges Tout juste s'il ne faut pas tirer l'antenne... Et bien elle a sacrément bataillé pour s'en servir, complétement déboussolée devant cette nouvelle "interface" pour elle : des touches, rien d'intuitif, des trucs de fou quoi !... Elle avait beau me faire beaucoup de peine avec son air épleuré, malgré moi j'avais derrière mon masque de compassion un petit sourire en coin sur le fait qu'elle ne s'attendait pas à ça. Je n'étais pas, de toute évidence, la bonne personne à qui demander son portable pour un jeune. Une scène qui valait le détour Barbi et madcollector qui ont rapidement vu mon portable pourront comprendre
  6. @Sokoben Dernièrement, j'ai été livré de...
  7. Et si je te disais que je suis aussi d'accord avec toi ?! En fait c'est infini et délicat ce genre de questionnement. Pour moi la pop-culture c'est le substrat culturel dans lequel on baigne tous en permanence ; l'une s'est tellement fondue dans l'autre que c'est inextricable à un moment donné. A moins de poser et redéfinir mille questions comme autant de concepts.
  8. Est-ce que la différence de point de vue qui anime ces pages ne viendrait pas aussi de quelque chose qui se logerait dans une différence entre Culture et Pop-culture ? Pallantides, plus dans une image culturelle, j’entends par là, une image howardienne de la figure de Conan : une image “pure” du cimmérien puisqu’issue des écrits de Howard. Et paulonium, plus dans une image pop-culturelle, où celle-ci s’est vue modifiée, digérée, réinterprétée (...) au fil des décennies et des représentations diverses. Votre échange me donne l’impression de rechercher le noyau dur du personnage tel que décrit originellement par Howard ; sauf que c’est sur ce point qu’il y a divergence. Il est fait mention plus haut d’expressions telles que “clichés”, “stéréotypes”, “images d’Epinal”... Pour moi, dans le cadre de votre échange, je me figure ces expressions comme autant de peaux qui enveloppent un oignon et où chacune d’entre elles pourrait illustrer une représentation de Conan. Chaque pelure comme autant de peau, fait que le personnage Conan est toujours différent d’une peau à l’autre ; et “sa” vérité (i.e la vérité du véritable Conan) serait de savoir où est-ce qu’on arrête l’épluchage pour arriver au personnage d’Howard. Je ne sais pas si vous me suivez et si j’arrive à me faire comprendre, mais ça me semble plus une histoire de curseur votre débat. Pallantides placerait le curseur à 0 pour symboliser l’originalité de la vision de Conan : une image culturelle pure, vierge de tous les habillages et déformations ultérieures que l’on a fait subir au personnage. Et paulonium placerait le curseur forcément plus éloigné que la valeur 0 pour signifier sa prise en compte plus pop-culturelle et moins assurée de Conan dans la vision qu’il en avance. Mes comparaisons sont peut-être hardies, bizarres ou imagées, mais à parcourir et suivre ce post, c’est ce que j’en ressens. A la manière de Helyss ou Razorspoon, j’apporte ma petite pierre à ce post : c’est juste ma réflexion sur le sujet. Rien de plus rien de moins.
  9. Edrahil

    le post à râler!

    L'intérieur de la boite du jeu de plateau Doom V1 (celui de 2004) est une horreur à customiser : de la tuile en pagaille, de la figouze aux formes improbables, et parfois en deux parties et moulte petit matériel en tout genre. Je vais pas m'y appliquer comme pour d'autres jeux, -ça c'est sûr. Mais si le confinement ne peut pas servir à ce type de travaux, à quoi bon (?)
  10. @Barbi Je valide. Ca fait revenir des bons souvenirs de lecture en plus. J'adore
  11. D'ac. Fais gaffe parce que je sais que Roolz et Sokoben au-dessus causaient aussi de celle dont je te parlais. Elle était comme Sokoben l'a rappelé "Louinet approved".
  12. Si nous parlons bien de la carte KS, c'est à dire celle-ci : La péninsule du Vendhya y figure bien. Mais je pense qu'on ne parle pas de la même chose parce que sur celle-ci, point de flèches de direction et autre.
  13. Pour tout te dire, moi, même à GTA : San Andreas je rechignais à être méchant, bad guy et peu courtois. Dire ! Alors oui, ça dépend bien des joueurs
  14. Les Editions Glénat annonce une sortie pour le 25 novembre du tome 2 de Il faut flinguer Ramirez. Disponible le 2 décembre apparemment dans nos boutiques. A noter que ce tome 2 fera près de 50 pages de plus que le T1, -bien cool.
  15. Pas impossible en effet. Mais avec les anciennes photos, y a une telle solennité et sérieux qui s'en dégagent parfois que c'est difficile d'en saisir l'intention. Quoiqu'avec celle-ci... oui c'est pas impossible ce jeu de mot tendance potache.
  16. Si ! Voilà ! En réfléchissant un souvenir prégnant de gentillesse m'est revenu. Nous sommes en 2000 et The Cure vient de sortir l'album Bloodflowers. Nous sommes avant l'air de l'ADSL généralisé. Je me rends à la Fnac pour pogner cet album ; il n'est pas en écoute et je me rencarde donc auprès du vendeur qui officie dans le rayon pour avoir des infos. A croire que j'avais envie de parler... Je vous rappelle qu'il n'est pas en écoute et qu'il n'y a pas non plus de dispositif de scan pour l'écouter. J'engage la conversation avec ce vendeur, savoir ce qu'il en pense et ce qu 'il peut m'en dire, -je me rappelle même lui dire que s'il veut ôter sa casquette de vendeur et me parler franchement, y peut y aller. Et je ne vais pas être déçu. Assez froidement il me répond que "de toute façon depuis The Head on the Door [album sorti en 1985 d'où sont issus Between Days et Close to Me qui les ont faits connaitre et les ont rendus célèbres], ils n'ont plus rien fait de bien, c'est naze et insignifiant depuis cette période". Voilà voilà... j'en ai été pour mon compte. Le vendeur se détourne rapidement de moi et retourne à ses affaires. Certainement faire craquer ses doigts et faire des exercices de nunchaku à mon avis. Ca m'aurait pas étonné. Et là, à la manière du Pousseur-Man de madcollector plus haut, y a un jeune homme (un client lambda comme moi) qui surgit de derrière des étalages et qui avait écouté la discussion en mode espion, qui vient me délivrer de mon désarroi toujours l'album entre les mains. Là-dessus, ce dernier m'explique qu'il vient de tout entendre de la discussion et il se met à jouer au vendeur et à me dire ce qu'il pense de Bloodflowers et ce qu'il faut penser de cet album dans la discographie des Cure. Gentil, cordial, passionnant j'ai gardé un vif souvenir de ce moment et des conseils de ce jeune homme à propos des Cure. J'ai moi-même un très bonne connaissance de l'œuvre de Robert Smith et faut croire qu'il avait senti mon dépit. De tout ce que m'en a dit ce conseiller providentiel, à l'écoute plus tard, j'ai jugé qu'il avait vu juste. Un grand merci à lui. Et pour l'anecdote, Bloodflowers est mon album préféré de The Cure, sorte d'album de la résurrection qui démontrait que Smith savait encore toucher sa bille en matière d'ambiance, de musique et de texte.
  17. Edrahil

    Nintendo Switch

    Aujourd'hui, fini Luigi's Mansion 3. Cela faisait plusieurs jours que je bataillais avec le boss final à cause de contrôle un peu erratique sur ce passage précis. Si je l'ai bien aimé, j'avais hâte de le terminer. Ca reste vraiment de la bonne came. Mais je me suis rendu compte en le pratiquant que je suis l'homme d'un seul type de jeu : les mondes ouverts à tendance Zelda : BotW. J'ai vraiment besoin de ressentir une forme de liberté, d'exploration, d'errement pour que j'y trouve mon compte et que je puisse m'évader et m'amuser pleinement.
  18. En fait, je ne sais pas si je dois trouver ça triste, mais là comme ça, à venir vous lire tout au long de la journée, rien ne me vient comme anecdote marquante tournant autour de la gentillesse. Si une fois on m'a tenu la porte, mais je ne pense pas que ça compte
  19. @martus Après ta lecture de "Danger Girl : Opération Hammer" que tu étais venu nous présenter ici, t'avais continué la série ? Le Château des Etoiles T3 - Les Chevaliers de Mars. Que dire de plus que ce que je n'aie déjà dit sur ce Château des Etoiles (?) C'est beau, c'est frais, on ne s'y ennuie pas, c'est pour toute la famille, l'histoire nous prend... En bref : du bon. The Promised Neverland T11/12/13. A partir du moment où nos petits protagonistes ont "quitté" leur orphelinat il y a de cela déjà quelques tomes, le manga a basculé dans une dimension plus nerveuse. Comme si l'intrigue et les enjeux pouvaient être bridés par le carcan de l'orphelinat, sitôt partis de ce dernier, les thèmes de la survie, de la lutte, du danger permanent et l'aura de mystère viennent booster l'intérêt porté au manga. Je lui avais reproché sur ces débuts un aspect parfois ronronnant : c'est fini tout ça. J'apprécie grandement cette esprit de cavalcade qui règne de puis et où maintenant chaque tome fait avancer l'histoire à grande enjambée. Avouez que ce genre de sensation c'est quand même appréciable ? Nos jeunes héros sont systématiquement sortis de leur zone de confort, les obligeant par là-même à l'action et à la redéfinition de leur objectif. Du coup, pour nous lecteurs, c'est du pain béni et on ne s'y ennuie pas. My teen romantic comedy is wrong as i expected T1/2/3. Résumé Wikipédia : "Peu social, Hikigaya est un adolescent n'ayant jamais eu d'amis et portant un regard relativement négatif sur les autres lycéens. Pour changer sa vision du monde, son professeur le force à intégrer le Club des Volontaires tenu par une élève modèle nommée Yukinoshita. Avec son franc parler et sa rhétorique sarcastique, cette dernière saura tenir tête à Hikigaya sans pour autant réussir à modifier l'attitude de ce dernier. Malgré leurs avis divergents, ils essaieront ensemble de répondre aux attentes de leurs camarades qui n'hésiteront pas à leur demander de l'aide pour divers problèmes." J'ai bien du mal à me faire un avis après la lecture des trois premiers tomes de ce manga. A la fin du T2, une postface de l'auteur nous indique qu'à ce stade, il vient de poser -enfin- tous les personnages principaux. Ca peut être un peu long de sa part j'ai trouvé, mais passons. De mon côté, c'est plutôt avec avec la lecture du T3 que j'ai eu l'impression, qu'enfin, un, les persos étaient posés, et deux, on commençait à y voir un semblant d'intrigue. Parce que pour l'heure, c'était un chapelet de scénettes qui visaient à poser le décor, les protagonistes et leurs interactions. En fait ce manga s'évertue à se jouer des codes rabattus de la comédie romantique en désamorçant et se jouant des situations habituelles de ce genre. Pour l'heure, s'il n'est pas ce qu'il dit être et qu'il ne dit pas vraiment ce qu'il est, à la lecture je n'ai pas su comment le juger puisqu'il apparait comme sans "genre", presque un peu fade, à la manière d'un plat sans assaisonnement. Et pourtant c'est vers la fin du T3, que nous voyons poindre (peut-être ?) l'intrigue principale du manga, réhaussant notre intérêt. On voit se dessiner ce qui pourra charpenter la narration du manga par la suite. Mais tout n'est bien entendu que supposition de ma part... Je saurai avec la lecture des tomes suivants.
  20. My life : j'ai découvert la moutarde au marc de raisin ,-c'est hyper bon, parfumé, très délicat et va avec tout, aussi bien la viande que la salade. Vraiment superbe ! Votre vie peut reprendre son cours...
  21. Moi j'ai sous-traité ça à ma sœur. Je n'ai pas d'enfant mais j'ai deux neveux. Inconvénient notable : on ne les a pas tout le temps sous la main pour jouer. Est-ce un mal ? Peut-être ben qu'oui, peut-être ben qu'non
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