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Edrahil

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Tout ce qui a été posté par Edrahil

  1. Parce que tu crois qu'on allait reparler de Jeff Lemire, de 100 Bullets... itou ?
  2. Oui vu. J'ai prêté le tome 1 à mon "chef" d'ailleurs, persuadé que l'humour de Fabcaro est calibré pour lui. Je verrai bien si j'ai vu juste.
  3. Edrahil

    le post à râler!

    Je ne travaille pas aujourd'hui et j'ai oublié ma Nintendo Switch au boulot. La barbe ! Pourquoi j'ai ma Switch avec moi au boulot c'est une autre histoire
  4. Emma G Wildford plutôt .
  5. Il manque plus qu'on tue en son nom et ça devient une religion 🧐 Edrahil cynique provocateur.
  6. L'avantage aussi avec les deck-building c'est qu'il y en a dans tous les formats : un Star Realms n'est pas un Clank !, qui lui-même n'est pas A few acres of snow. Plein de formats, de temps de jeu et de sensations différentes. Oui le deck-building c'est bien.
  7. C'est très bien teil ! Et ça m'a permis de découvrir l'existence de cet agenda. C'est pas comme si je ne traînais pas souvent sur TO . J'ai fait un vœu pour la peine
  8. Je ne reviendrai pas vers lui pour ma part.
  9. Ms Marvel T5/6/7 de G. W. Wilson Je continue ma lecture des Ms Marvel au gré de ces trois nouveaux tomes. Je pourrais exactement copier/coller ce que j’en avais dit précédemment sur ce fil : c’est toujours aussi bien, aussi plaisant à lire, aussi bien troussé… C’est un gros coup de cœur pour moi que cette Ms Marvel. We Never Learn T5/6/7/8 de Taichi Tsutsui Dans la série “les très bonnes découvertes”, je continue mon rattrapage des We never learn. Comme juste au-dessus avec les Ms Marvel, c’est toujours une super lecture. Avec ces tomes qui viennent enrichir et approfondir les relations des uns et des autres, l’auteur s'ingénie -comme les premiers tomes d’ailleurs- à mailler d’invraisemblables quiproquos les uns aux autres avec des situations de pures comédies, ce qui fait de ce We never learn une lecture de détente “quelle est vachement bien”. New-York Four de Brian Wood Il est de ces ouvrages dont on ne sait pas quoi penser. New York Four fait parti de ceux-là pour moi. Cette grosse bd nous relate l’entrée dans l’âge adulte de quatre jeunes filles qui vont à l’université et partagent un appartement et qui poursuivent chacune une trajectoire personnelle avec son lot de problèmes propres. Quand je l’ai eu fini, ma première réaction était la déception. C’est assez rare. J’ai eu du mal à m’attacher à chacun des personnages, j’avais toujours l’impression d’en être à une introduction, de ne jamais rentrer dedans, de ne pas parvenir à être impliqué par l’histoire. Et en définitive c’est ça qui pêche : il y a quelque chose de trop superficiel, trop rapide et pas assez creusé et développé par l’auteur sur ces persos et leurs problèmes. Et pourtant, quand j’y pense, je loue malgré tout le condensé de l’auteur et ses choix de narration. C’est un peu ce sentiment partagé qui me laisse circonspect pour mon avis de ce New York Four. Je n’y ai tout simplement pas trouvé mon compte je pense. C'est OK pour moi pour mardi. J'en suis. Si je ne suis pas connecté à 18h tapante, c'est que j'ai pris du retard au boulot et que j'arriverai incessamment sous peu.
  10. @Barbi Si mon emploi du temps professionnel ne connait pas de modification, je peux déjà donner un oui de principe. Je confirme le week-end prochain. Je considère que c'est du quasi sûr. @madcollector Viendez ! On y parle avant tout plaisir de lecture et partage dans ces apéros. Y a pas vraiment de chapelle, avec une séparation manga/BD/comics. J'aime toutes les interventions moi. Mais c'est vrai que tu parles beaucoup quand même 😁
  11. Ça se discute, ça se discute... Ça se dispute plutôt, non ? Pardon
  12. @Aerth Oui je sais. Il me reste Notre univers en expansion et Dernier rappel à lire de cet auteur que j'aime beaucoup. C'est après De mal en pis que tu m'avais conseillé ces tomes. Vous radotez Monsieur Aerth !
  13. En mode "My life", je commence par dire que ça fait un bon mois et demi que je surfe une vague de bonnes lectures imagées. Toutes mes lectures m'enchantent : que ce soient des découvertes, des conseils ou mon propre sillon que je suis. Et je pense que ça va continuer comme ça quand je regarde ce qui m'attend. Plus cool tu meurs d'Alex Robinson (one-shot) Un merci à @Aerth pour ce conseil. Plus cool tu meurs c’est l’histoire d’un quadra qui souhaite arrêter de fumer. Sa tentative d’arrêt passe par une séance d’hypnose : pas forcément convaincu par l’hypnose, il s’y essaie malgré tout. Au cours de la séance se passe un phénomène plus qu’étrange, il se retrouve “renvoyer” en 1985 au temps de son adolescence, l’été de sa première clope. Et je n’en dirai pas plus sur l’intrigue. Plus cool tu meurs a beaucoup de charme de part son thème du retour à l’adolescence ; il parle forcément à chacun. Les interrogations du héros pourraient être les nôtres et c’est ce qui en fait quelque chose de touchant dans les questionnements du héros. Le mécanisme de l’intrigue fait beaucoup penser à Code Quantum (la série). Le héros se voit envoyer à une époque précise pour y accomplir quelque chose de précis afin de réparer un parcours de vie. A ceci près qu’ici, contrairement à la série, le héros occupe son propre corps. Mon imprécision est volontaire : on découvrira en effet que ce bond dans le passé n’est pas nécessairement lié à son rapport à la cigarette et l’histoire s’apparente plus à une quête de soi, une réconciliation avec son passé. Takane et Hana de Yuki Shiwasu Une autre chouette découverte pour moi avec la série Takane et Hana. Ce manga est dans la plus pure tradition du manga mélangeant romance/comédie. Y a qu’à voir les couv’ de toute façon ! C’est l’histoire d’Hana, une lycéenne de 16 ans, qui se retrouve à prendre la place de sa sœur lors d’une rencontre arrangée. Elle est présentée à Takane (26 ans), l’héritier d’un grand capitaine d’industrie japonais, qui s’avère être d’une arrogance crasse, particulièrement infecte. Sans se laisser démonter, Hana lors de cette rencontre l’enverra bouler en mode “voilà une bonne chose de faite, ça c’est fait !” croyant s'en être définitivement débarassée. Pourtant, dès le lendemain, ce dernier reprend contact avec Hana et lui demande un rendez-vous… Et donc nous suivons au gré des tomes cette relation particulière où l’immaturité sentimentale ne se trouve pas là où on la croit. Tout le sel du manga repose dans les réparties d’Hana et la fougue qu’elle met à remettre à sa place Takane. La différence d’âge n’a rien de malaisante je vous rassure, on assiste à la mise en place d’un jeu de dupe entre les deux protagonistes : les sentiments sont présents mais pas définis clairement. Ce qui fait tout l’attrait du manga. Je conseille vivement à ceux qui aime ce genre. C’est une bonne pioche. Violent Love (one-shot) de Frank J. Barbiere et Victor Santos. Avec ce Violent Love on a affaire à une "romance criminelle" qui s’articule autour d’une vengeance. Pour vous la faire courte, je dirai que c’est une espèce de mélange entre les histoires polar de Brubaker et les histoires de gang/mafia à la Kick-Ass de Millar. La vengeance de l’héroïne de cette grosse BD passe par une vendetta qu’elle mène sur plusieurs années contre le boss d’un gang redoutable qui s’en est pris à sa famille. L'éditeur présente le bouquin comme une sorte de Bonnie & Clyde sur fond de braquages de banque au cœur de l'Amérique des 70's. La romance est beaucoup mise en avant dans les résumés ; personnellement, j'y ai surtout vu l'histoire d'une femme déterminée à se venger plus qu'autre chose. Un récit nerveux et efficace en tout cas. Je ne regrette pas de mettre laisser tenter par cette BD, une bien bonne lecture.
  14. Tu ne crois pas si bien dire ! J'ai dû me résoudre à mettre en place un fichier pour suivre mes achats, mes envies... Jusqu'à présent je faisais ça de tête ou à base de post-it, mais là, un peu "à cause" de vous (), un fichier est dévolu à ça. C'est dire !
  15. Le cinquième Beatles - L'histoire de Brian Epstein de V.J Tiwary/A. Robinson Une lecture issue d'un conseil des apéros lecture TO. Et je crois me rappeler que c'était de Bawon Samdi. L'histoire est simple : il nous est raconté comment Brian Epstein, manager des Beatles de 62 à 67, a su façonner et élever les Fab Four à l'image que nous nous en faisons aujourd'hui. Ce roman graphique est axé sur les coulisses de l'ascension des Beatles. Ce n'est pas un ouvrage sur le groupe mais un livre qui nous montre qui était Brian Epstein, un homme enthousiaste mais fragile, qui avait le tort d'être homosexuel à une époque où en Angleterre c'était encore illégal. Un roman graphique en forme de photographie d'une époque et d'un homme ordinaire qui a su faire rentrer un groupe dans le domaine de l'extraordinaire. Scarlet de B.M Bendi et A. Maleev Pareil ! Une lecture conseillée par Barbi. Scarlet , c'est l'histoire d'une jeune femme, qui, lassée d'un monde corrompu (notamment la police), réagit, et décide de passer à l'action en jouant les redresseurs de torts et initier une révolution des consciences. Pour moi ç'a été une super lecture (qui, dans les trèèèès grande ligne peu rappeler un V pour Vendetta). Une des particularités de ce comic c'est que l'héroïne s'adresse directement au lecteur. J'ai trouvé ça presque gadget en définitive. Y a déjà un peu ça chez Brubaker ; souvent dans les encarts de ses récits, qui sont nombreux, on a justement les pensées du personnage qui officie un peu à la manière d'une voix off qui nous guide et nous aide à comprendre et démêler les fils de l'intrigue. Avec Scarlet c'est quasi pareil, sauf qu'ici, c'est un peu comme le regard caméra au cinéma : elle s'adresse vraiment à nous. Mais ça reste une pu*** de bonne lecture ! Par-delà les étoiles (un one-shot) Résumé éditeur : "Hana rente en première année à l'université. Mais, hantée par le souvenir d'un amour impossible, la jeune femme a bien du mal à envisager son avenir... Pourtant, grâce à sa rencontre avec Izumi, président du club d'astronomie, mais aussi avec ses autres membres, en apprenant à les connaître, avec leurs fêlures et leurs défauts, Hana reprendra petit à petit confiance en la vie..." Dieu que j'ai trouvé ça mièvre et sans passion... Et pourtant ceux qui ont un peu cerné mes goûts qui ont tendance à me porter vers des histoires où les dimensions romance et/ou sentimentale sont importantes, ici ce Par-delà les étoiles m'a paru bien trop superficiel et sans profondeur. Trop facile et trop commun. Retour de flammes Tome 1 : Premier rendez-vous de Laurent Galandon Je vous mets le résumé éditeur qui a l'avantage de donner un très bon aperçu de ce qu'est cette BD : "Paris, sous l’Occupation, septembre 1941. Un incendie dans le cinéma Le Concordia détruit la pellicule d’un film de propagande nazi. Chargé de résoudre l’affaire, le commissaire français Engelbert Lange découvre sur les lieux qu’il est surveillé par la Gestapo. Car c’est la deuxième fois qu’un acte similaire est perpétré dans la capitale, les autorités allemandes prennent donc la chose très au sérieux : la piste terroriste est privilégiée. Son enquête va conduire Lange dans le monde du 7e Art. Il va découvrir l’intensité créatrice et le vent de liberté qui subsistent dans un Paris sous tension. Mais entre la pression de ses supérieurs et celle de l’occupant, il va surtout devoir rendre des comptes... et voir resurgir de vieux démons. À travers ce polar historique bien ficelé et dessiné par la prometteuse Alicia Grande, Laurent Galandon nous fait arpenter les rues d’un Paris occupé où le cinéma peut aussi bien servir à contester le pouvoir qu’à le maintenir. Une enquête en deux volumes." Après la lecture je confirme que l'ambiance, l'enquête, le cadre (...tout) m'ont séduit. C'est une très bonne pioche. Dans le résumé tout est dit. Vivement le tome 2. La vie de Norman T1 de Stan Silas. Conseillé par Gon sur le dernier apéro visio. La vie de Norman, c'est l'histoire d'un petit garçon nommé Norman (8 ans) qui nourrit une passion viscérale pour les films d'horreur et le meurtre. Sous ses atours tout choupinet, cette bd est gentiment cruelle, parodique et bien sûr humoristique. D'ailleurs ce qui m'a le plus plus ce sont justement tous ces moments de vie où les personnages discutent et échangent. C'est bien fendard ! On dirait les Peanuts version trash
  16. On dira ce qu'on veut : les livres c'est beau !
  17. Deux lectures très nineties ; des livres qui se finissent par une pub à la fin pour un abonnement un an à Casus belli pour 195F. Le décor est posé, nostalgie... La Forêt maudite de Chet Williamson. Un roman d'épouvante dans la lignée de S. King. Du drame, un psychopathe, des meurtres, beaucoup de petites histoires annexes à la principale, des sentiments, des histoires de familles, une police dépassée... Bref, un agrégat de beaucoup de choses. Et je ne vous ai pas parlé du cimetière indien ! Blague à part, j'ai pris un gros plaisir à sa lecture. Si au départ on ne sait pas trop où l'auteur veut nous embarquer, il parvient au fur et à mesure à lier tout ça pour en tirer une histoire globale, tout à la fois riche et superficielle, mais très divertissante. En plus le titre c'est "La Forêt Maudite", et ça prend du temps à justifier ce titre, nous laissant par là-même expectatifs devant les intentions de l'auteur. Au final, devant ce roman pour lequel j'aurai bien du mal à vous fournir un résumé concis et cohérent, je peux en revanche le conseiller à ceux qui aiment et ont aimé lire les King ado. Assassinat à Halruaa de Richard S. Meyers. Ici le concept de ces ouvrages c'est : une intrigue et une enquête "à la Agatha Christie" dans l'univers des Royaumes Oubliés (D&D). Résumé éditeur : "Pryx Covington s'est cru très malin quand il a emprunté un confortable manteau à un cadavre découvert par hasard. Hélas, un détail crucial lui a échappé. Car le mort était Darlington Lamm, un des plus grands aventuriers, magiciens et héros des Royaumes. D'abord ravi d'être traité comme un prince - puisque tout le monde le prend pour Lamm -, Pryx s'aperçoit vite qu'il y a un revers à la médaille. Primo, celui qui se fait passer pour un mage, à Halruaa, est puni de mort. Secundo, celui qui est soupçonné d'en avoir tué est aussi bon pour la potence. Pris entre deux feux, Pryx n'a plus qu'une solution : découvrir qui est l'assassin et le livrer à la justice !" Pas grand chose à en dire sinon que je l'ai largement préféré à "Meurtre au Cormyr" dans la même collection. Histoire mieux menée et plus passionnante sans que ce ne soit une lecture incroyable, c'est plus par nostalgie et amour des Royaumes Oubliés que de temps en temps je me replonge dans ce type de lectures. Elle fait le travail de me divertir et c'est déjà pas mal.
  18. Me voilà de retour de ma première journée de boulot en mode reprise d'activité. Ma plus grosse surprise aura été de trouver un boite mail tout à fait correcte... pas de celle qui donne envie de se mettre en position foetale en pleure. J'étais refait. Ca tient à peu de chose
  19. A toute fin utile c'est aujourd'hui que sort le Tome 3 de Gideon Falls en VF. Voilà voilà.
  20. La série complète en 5T de Fatale de Brubaker/Philips C’est après ma lecture des deux premiers Gideon Falls que je me suis relancé dans celle des Fatale. A cela deux raisons : je souhaitais vérifier s’il était judicieux de conseiller à quelqu’un qui a aimé Gideon Falls la lecture de Fatale, et aussi, tout simplement, l’envie de le relire. Fatale nous plonge dans l’habituel ambiance polar chère au duo Brubaker-Philips. Mais ce qui caractérisera ce Fatale sera la forte présence du fantastique à travers un mysticisme ésotérique très lovecraftien. “De nos jours, aux États-Unis. Lors des obsèques de son parrain, Nicolas Lash rencontre une mystérieuse jeune femme qui se fait appeler Jo. Intrigué par ses propos, surtout subjugué par sa beauté, il se laisse séduire. Or bien des hommes sont déjà tombés dans ses filets... Il ignore encore que celle qui le fascine tant traverse les années sans vieillir, cherchant à échapper à un monstrueux démon immortel.” Ça, c’est le résumé éditeur. On suit Joséphine à travers les époques qui tente d’échapper à une secte maléfique qui en a après son “pouvoir” (je n’en dis pas plus). Et dans le même temps, on suit le parcours de Joséphine qui cherche à rompre cette “malédiction” qui la frappe (idem. Je me tais pour ne pas dévoiler de quoi est fait son existence). Une lecture extrêmement plaisante par son ambiance et le mystère qui enveloppe les personnages. Un récit bien maîtrisé mais parfois alambiqué de Brubaker qui ne parvient pas sur la fin à nous donner toutes les réponses aux questions que nous pouvions nous poser. Ça reste une très bonne lecture pour moi. The Old Guard - T1 : A feu et à sang de Greg Rucka et Leandro Fernandez. The Old Guard c’est l’histoire de personnages "immortels" rompus à l’art du combat, qui louent leur service à ceux qui les connaissent et peuvent se les payer. Cette routine vient un jour à s’enrayer lorsqu’une nouvelle immortelle apparaît et risque d’être mise à jour comme telle : une immortelle. Notre modernité hyper connectée où l’information circule de plus en plus vite joue contre le secret de nos héros : tout se sait et tout peut se savoir. Et vite. C’est un comic d’action de facture classique, agréable à lire mais que j’ai trouvé par trop classique, avec un dessin et une mise en couleur qui fait très 80’s. Ça a son charme... Le truc le plus intéressant, mais qui reste trop léger, c’est peut-être le questionnement sur l’immortalité que l’auteur nous dresse ; celle-ci est vécue non pas comme quelque chose d’heureux mais comme une malédiction. A voir comment tout ça va s’étoffer avec le T2.
  21. @Olorin Oui je connais. La toy photography c'est une des passions de Joe Hume. C'est un dingue de pop culture aussi. Il officie beaucoup pour la chaine MCM.
  22. C'était un peu ça mon idée quand plus haut je soumettais l'idée d'un truc dans l'esprit "toy photography".
  23. Tu pourras arrêter quand elle s'en va. Ceux de Saladin Ahmed ne sont pas bons C'est vrai ?! Merd** ! Je me tâtais justement. Merci de ton conseil, je n'en ferai pas ma priorité du coup. D'après toi en deux mots, c'est quoi qui a été perdu avec cette passation de relais ?
  24. Tome 2/3/4 de Ms Marvel de G. Willow Wilson. Ma belle surprise Marvel. Sans révolutionner quoique ce soit, et sans rentrer dans une histoire d’une vaine complexité pour rien, ici avec ces Ms Marvel, on suit le quotidien d’une jeune fille de 16 ans qui s’est découverte des pouvoirs à travers de courts chapitres qui sont autant de petits histoires pour en former une plus grande. C’est hyper rachraîchissant à lire parce que la légèreté des histoires n’empêche pas le développement au long cours du personnage, des intrigues et des enjeux. Les dessinateurs employés sur la série apportent aussi ce petit je-ne-sais-quoi de rafraîchissant par leurs styles respectifs où on sent parfois la dimension cartoonesque et exagéré des expressions et réactions un peu à la façon des mangas qui collent parfaitement au personnage principale. Les situations que vit notre héroïne prêtent à ce genre d’illustrations qui confinent à la comédie et c’est bien agencé, léger, passionnant… Bref, je me retrouve raccord entre cette série comics, mes attentes et mes goûts personnels. Tome 1 et 2 de Gideon Falls de J. Lemire et A. Sorrentino. Bon ! Ben c’est à mon tour de venir dire sans originalité que ce Gideon Falls faut le lire. Si on aime le genre fantastique/horreur, ce comic sait nous donner ce qu’on est venu y chercher. Il a de bien beaux atours ce Gideon Falls. C’est autant une très bonne narration de Jeff Lemire qu’une très bonne mise en scène/image d’Andrea Sorrentino. A la fin des comics sont retranscrits des entretiens de Lemire et Sorrentino parlant du projet Gideon Falls. Sorrentino y explique que cette mise en scène, cette organisation particulière de certaines planches concourent par le dessin à nous raconter et nous faire ressentir “quelque chose” qui est de l’ordre du bizarre, du pas normal, de l’étrange. Si dans un premier temps lorsque nous y sommes confrontés, cette mise en image originale nous fait bien ressentir le caractère d’étrangeté ; le récit de Lemire vient au fur et à mesure accroître l’aura de mystère et le dessin de Sorrentino fait apparaître une autre façon de nous raconter l’histoire qui colle parfaitement à Lemire. C’est hyper complémentaire et enrichissant pour l’histoire générale. Par certains côtés, cela me rappelle les détails de mise en scène de Kubrick dans Shining, où, par exemple, dans la plupart des plans du film il y a la couleur rouge, ou encore, les appareils électriques fonctionnent sans être branchés à une prise. Des détails qui peuvent nous échapper à la vision du film mais que notre cerveau, lui, perçoit pour instiller ce caractère d’étrangeté qui finit par retentir comme quelque chose d’inquiétant. Cette parenthèse pour dire que le récit de Lemire/Sorrentino, opère pareillement à mon sens. Je l’ai ressenti comme ça en tout cas : la narration et le dessin jouant de concorde à la perfection pour creuser un peu plus encore le sillon fantastique/horreur du récit. Gideon Falls c’est un comic book qui fait ressentir cette joie enfantine de se faire raconter une histoire et de vouloir en connaître le dénouement, la suite…En cela, la dernière fois que j’ai été dans cette position c’était avec Killed or be killed de Brubaker.
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