Edrahil

Pour moi la grande réussite de cette série c'est son ampleur. Une ampleur qui passe par la pléthore de personnages récurrents plus ou moins éloignés de la famille Lawless. Et une ampleur de la narration qui s'étale, pour les personnages et pour nous lecteurs, sur des décennies pour les premiers, et sur plusieurs années pour nous lecteurs. Et le tout en maintenant la qualité des intrigues que permettent les multiples ramifications entre les persos à travers le temps et les relations qui se tissent entre eux. Un vrai univers avec son lore en fait. Je suis toujours étonné avec cette lecture de découvrir qu'un type qui se trouvait dans un bar à discuter avec le héros peut se retrouver plusieurs tomes plus tard avec toute son importance. Tout peut avoir son importance. Y a aucun figurant, mais plutôt des individus amenés un jour à jouer un rôle précis. Criminal c'est vraiment un univers en soi. Un univers sombre certes, mais un univers quand même. Et Brubaker y sait y faire le bougre ! L'est fort.

@Helyss Merci pour ce retour complet. J'ai longtemps lorgné sur ce Genshin Impact pour remplacer l'expérience de jeu de Zelda : BotW. Je n'ai que faire des accusations d'inspirations qui semblent provenir tout droit de Zelda. Je n'ai aucune culture vidéoludique et c'est avec le Zelda sur Switch que je suis revenu dans le jeu vidéo, -et tout ça depuis ma NES. Du moment que le plaisir est là, la variation sur le même type de jeux ne me gêne personnellement pas. La Switch est la dernière console à voir arriver Genshin Impact en plus ; entre temps, j'ai fureté ailleurs, et suis tombé sur Immortal Fenyx Rissing qui correspond bien à ce que je recherche. Voire même plus. Il a l'avantage de ne pas être dématérialisé et de ne pas reposer sur un modèle économique qui ne me branche pas. Et ce même Immortal Fenyx Rising souffre des mêmes critiques et comparaisons avec BotW. Il a en effet de fortes similitudes avec son "modèle d'inspiration". Moi je m'en fous, de toute façon à partir du moment où il y a un monde ouvert je me retrouve vite dans ce que tu dis : Sauf qu'ici ce ne sera pas avec Genshin Impact.

A parler son des 90's, je réécoute pas mal les Spin Doctors en ce moment et notamment ce morceau : Je trouve ce single supérieur à Two Princes (des mêmes) qui a tout écrasé, et qui a occulté ce fabuleux Jimmy Olsen's Blues dont on se rappelle moins. Pour moi c'est un petit chef d'oeuvre de coolitude à la sauce "son très nineties".

Dernièrement j'ai pu lire : All New Wolverine T3 - T4 Tome 3, bien dans la continuité mais légère déception pour ma part avec ce T4 qui se décentre de Laura et Gabby (les personnages principaux de All New Wolverine) pour se porter sur une intrigue plus large à base de virus intergalactique ; ça ouvre le champ à une galerie de personnages et des enjeux moyennasses qui ne m'ont pas plus embarqués que ça. Je reproche qu'il y a dans ce T4 quelque chose de très basique et routinier. J'avais l'impression d'avoir déjà fait cette lecture plein de fois. Trop de petites choses pas développées, trop de persos, et justement, parce qu'il y trop de personnages, cela renforce l'aspect pas développé. Je lui reproche finalement son côté "marvelerie" : des people, des guest mais l'intrigue demeure un enchevêtrements d'idées mises bout à bout comme les perles à un collier et ce n'est pas passionnant ni palpitant. Cet embrouillamini de péripéties donne un aspect illusoire que je déplore sur ce quatrième tome. C'est dommage. Valerian et Laureline T19/20/21 de Christin et Mézières. Avec la lecture de ces trois derniers tomes, j'aurai relu l'intégrale des Valerian et Laureline. C'est de la franco-belge classique qui narre les aventures de V&L, deux agents spatio-temporels, qui arpentent l'univers à travers le temps et l'espace et qui se retrouvent impliqués dans des conflits ou situations qui permettent aux auteurs de dresser des parallèles socio-économiques, sociétaux ou autres avec notre époque. Au fil du temps et des albums V&L se retrouvent confrontés à une sorte de "paradoxe" temporel où la Terre a disparu de l'Univers, et ces trois derniers albums concluent ce long arc narratif en même temps que la série. Another T4 Dernier tome de la série que ce T4. Un manga qu'il aurait été mieux de lire d'une traite je pense, en enchainant les tomes. Je lui reproche sa difficile exposition de l'intrigue de manière claire et intelligible. On est toujours à la limite de "chuis pas sûr d'avoir tout bien compris" tellement le manga cherche trop à poser une ambiance horrifique avant de revenir de façon parfois elliptique à son intrigue. En cela je pense que l'animé (que je n'ai pas vu) qui en a été tiré, peut être mieux car si tout se distille simultanément au fur et à mesure on gagne par là en densité de l'intrigue principale et en consistance des enjeux. Une postface indique qu'à la base le manga devait tenir en 2T ; ils l'ont étiré sur 4, ce délaiement s'en ressent et rejoint ce que j'en pensais déjà à la lecture. Bloom into you T7 Avec ce T7 de Bloom into you, nous sommes en présence de l'avant-dernier tome de la série qui s'achève le mois prochain avec le huitième. C'est une œuvre d'une infinie délicatesse qui vient tout au long de ses tomes questionner les sentiments d'attachement et d'affection. A travers les deux jeunes filles dont on suit le cheminement intérieur, il nous est présenté en opposition deux questionnements : qu'est-ce qu'aimer ? et qu'est-ce qu'être aimé ? Chacune incarnant le pendant d'une de ces deux questions. A lire ça, je reconnais volontiers que ça peut faire très cucul la praline, mais tout le sel de cette lecture demeure justement dans la mise en dessin, en dialogue et en situation de cette infinité de combinaisons possibles qu'offrent les interrogations sentimentales. Si vous n'avez aucune appétence pour les drames/comédies romantiques, passez votre chemin, c'est sûr, vous n'y trouverez aucun intérêt.

L'est taquin !

+ sans permis. Parce que bizarrement, c'est jamais très loin derrière dans le tiercé gagnant. Et même pas sur le pare-brise un Post-it avec marqué dessus un "Désolé mec".

Je me lève, j'ouvre mes volets. Je regarde en bas et je vois ma voiture sur le parking bougée de sa place d'un mètre vingt. "Ah zut j'ai mal serré le frein à main" je me dis. Je descends de suite et constate que celle-ci s'est faite embugner bien comme il faut pendant la nuit sur l'aile avant droite. De beau dégât. La loose totale ! Surtout en cette période 😑 Je vais partir faire un tour tout à l'heure, pour des courses, voir s'il n'y a pas de défauts mécaniques et autres défaut de structure. Fait vraiment ch*** ! Ben finalement c'est pire que ce que je croyais, y une grosse déformation de structure et de symétrie, les portières droites ne s'ouvrent plus, je lui trouve des raideurs à la conduite et je sens qu'un diagnostic professionnel poussé va être encore pire... C'est sûr ce n'est plus la même bagnole 😟

Pas loin d'être dans le même cas que toi ici aussi. Et pour le coup, hier, j'ai anticipé ma commande de BD mensuelle pour être tranquille : j'avais remarqué beaucoup de rupture de réapprro au dernier confinement sur certains titres. Bref, comme toi, je suis ravi et enchanté de ces perspectives 😑

J'avais coiffeur demain soir. Voilà voilà...

Percevan T2 : Le Tombeau des Glaces et Percevan T3 : L'Epée de Ganaël de Léturgie/Fauche. Petit détour par la bibliothèque du neveu pour poursuivre la découverte de la série des Percevan qui est redoutable d'efficacité dans sa simplicité des histoires. Le plaisir est là à chaque tome, avec en sus ce charme un peu suranné et nostalgique propre aux bd qui nous viennent des années 80. Le Château des Etoiles T2 : La Conquête de l'Espace d'Alex Alice. Suite directe du premier tome, je dois bien avouer que c'est pour moi un coup de cœur que ce Château des Etoiles avec son cadre rétro-futuriste, ses dessins type aquarelle et sa narration nerveuse et palpitante. Avec cette série, je retrouve une certaine forme de joie enfantine que de se faire raconter une histoire. Avec le premier tome, je pouvais dire que de part les dessins et le style de narration, cela me rappelait les dessin-animés des eighties que nous avons tous pu regarder. En lisant Le Château des Etoiles on devine que celui-ci est bourré de références digérées et restituées ; cela rappelle plein de choses à la lecture sans que pour autant on ne puisse dire vraiment quelle serait la référence principale. En cela, c'est vraiment sa grande réussite. All New Wolverine T2 : Le Coffre de Tom Taylor. Je dois bien reconnaitre avoir un certain faible pour les héroïnes au caractère bien troussé, fortes et indépendantes : Jessica Jones, Kate Bishop, Laura Kinney, Felicia Hardy, Jane Foster, Kamala Khan... Pour autant je me suis longtemps méfié de la "féminisation" des héros classiques par Marvel craignant un opportunisme maladroit dans l'ère du temps de la part de la Maison des Idées. J'avais peur que tout soit traité avec des gros sabots bien bien relou. Mais le temps passant, j'ai pu constater que les retours de ces séries étaient tous très bons et que des scénaristes de talents avaient su insuffler de l'intérêt et un discours novateurs et modernes en dehors de toutes caricatures de féminisme mal venues. Bref, j'étais méfiant. Avec All new Wolverine j'ai tout ce que j'aime : une histoire qui tient en haleine, de bons dialogues, de l'humour, du fond... Tom Taylor assure bien comme il faut. Preacher - Intégrale T5 d'Ennis/Dillon. Ben voilà ! Il ne m'en reste plus qu'un. Le tome 6 et dernier de cette intégrale. Si je veux faire un parallèle avec Le Château des Etoiles pour lequel je disais plus haut que l'on retrouvait la joie enfantine que de se faire raconter une histoire le soir dans son lit, avec Preacher on s'installe tranquille dans son canapé ou son fauteuil favori pour se faire un instant Preacher, parce que de la même manière que les enfants aiment les histoires... ben les adultes sont pareils. Quand Preacher m'a hameçonné, j'avais hâte de me retrouver chez moi tranquille et poursuivre ma lecture. Preacher reste quand même une lecture particulière : y a matière à lire et cette œuvre-somme s'apprivoise et charme au fur et à mesure de sa lecture. Quand on l'a cerné et qu'on est habité par son histoire, ses personnages, Preacher demeure indéniablement un classique qui n'a rien perdu de son intérêt en 2020. Hâte de lire ce tome 6. Saga T4 et T5 de Vaughan/Staples. Que dire de plus sinon que c'est toujours aussi bien, toujours aussi nouveau à chaque tome et que cet univers de space fantasy décrit y est vraiment très réussi et dépaysant. La Quête d'Ewilan T1 - D'un monde à l'autre de Lylian/Bottero/Baldetti. Comme Percevan et Le Château des Etoiles, La Quête d'Ewilan est issu de la bibliothèque du neveu. Je suis passé faire mon petit marché. J'avais lu la trilogie de Pierre Bottero en romans il y a quelques années que j'avais trouvé fort sympathique et distrayant. J'étais curieux de voir sa mise en bd, c'est chose faite avec ce premier tome. Résumé éditeur : "La vie de Camille, adolescente surdouée, bascule quand elle pénètre par accident dans l’univers de Gwendalavir avec son ami Salim. Là, des créatures menaçantes, les Ts’liches, la reconnaissent sous le nom d’Ewilan et tentent de la tuer. Originaire de ce monde, elle est l’héritière d’un don prodigieux, le Dessin, qui peut s’avérer une arme décisive dans la lutte de son peuple pour reconquérir pouvoir, liberté et dignité." Je trouve cette œuvre vraiment top pour le jeune public pour découvrir le genre fantasy et le merveilleux. L'histoire se faisant à auteur de nos jeunes héros, c'est une bd et une histoire qui marche bien sur le jeune public. Moi compris d'ailleurs.

@razorspoon Alors Bahamas je ne connais pas et Galerapagos n'est pas à moi. Mais si tu veux, Galerapagos c'est une sorte de coopératif jusqu'à un certain point. Nous incarnons des survivants sur une île qui tentent de survivre et de quitter l'île qui deviendra sinon leur tombeau. Pour ce faire, on collabore en cherchant de la nourriture et de l'eau, on construit communément des radeaux... sauf que venue l'heure de quitter l'île, si t'es quatre et qu'il n'y a que deux radeaux de construits, ben faudra "s'arranger" . Ou alors y a tout ce qu'il faut en nombre de radeaux mais peut-être pas assez de nourriture... Bref c'est à ce moment-là que tout rebondit. Et que les couteaux sont de sortis. C'est un jeu bien sympa qui se joue minimum à trois, mais les potes qui l'ont me disent que c'est mieux à partir de quatre ; ce que je ressens aussi. Trois serait peut-être trop juste en terme d'interaction de groupe. Dernière chose, on y a jouait directement avec l'extension qui apporte des personnages (=des rôles pour chacun des joueurs) ce qui est un gros plus, en plus de cartes qui vont te scripter chaque tour de la partie par des évènements qui vont bien. Voilà ce que je peux t'en dire.

Hier aprèm à 4, on s'est faits un 2 Galerapagos et un Andor. Je ne connaissais pas Galerapagos. Découverte pour moi donc. On a enchainé deux parties remettant le couvert une fois que tout le monde maitrisait les mécaniques et l'esprit du jeu. Je l'ai bien aimé pour son côté "entrée en matière plus" : ce n'est pas le petit jeu de mise en bouche trop rapide, c'est le chaînon avant le jeu moyen. Le jeu parfait pour se dérider et connaitre les personnes autour de la table. Je ne vous fais aucun résumé de quoi que ce soit concernant le jeu : y en a plein sur la toile. Toutefois le dénouement du jeu m'a beaucoup fait penser à la fin du film Sexcrimes pour ceux qui connaissent : la fin s'amorce et se dénoue, nous menant à croire une chose ; mais dans le générique de fin, l'intrigue continue de rebondir et ricocher sans fin pour donner tout autre chose que ce à quoi nous pouvions nous attendre dix secondes plus tôt. Vas-y que je te tue, -Ah ! mais j'ai une plaque de tôle pour me protéger, la balle ricoche et tue le joueur de gauche, -Hé ! mais j'ai rien demandé moi !... Andor, lui, je le connaissais. Je l'avais toujours joué à moins de 4. Je lui reproche d'être en fait très froid et calculatoire. Pour le souffle épique de l'aventure, faut pas choisir Andor. C'est pas l'école américaine c'est sûr. Cette fois-ci, à quatre de part les interactions des joueurs, cela m'a semblé moins laborieux qu'habituellement. C'était très cool mais je cours pas après. Et aucune photo des parties pour agrémenter, parce que coupure de courant pendant celles-ci.

@Helyss Nous on a arrêté les Twister au boulot entre collègues entre midi et deux à cause du Covid. Ca c'est des vraies mesures !

Je ne connaissais pas, mais en voyant beaucoup de vidéos, j'ai bien compris le principe de ce type de jeux, -que tu décris bien d'ailleurs, merci. Comme ça ne correspond pas tout à fait à mon type de jeu (comprendre façon de jouer), je vais temporiser l'achat. Je sais que je vais me le prendre tellement j'ai plus qu'aimer l'univers, la DA, l'histoire de Zelda : Breath of th Wild, mais j'ai compris que ce Hyrule Warriors ne sera pas ce jeu contemplatif et d'aventure qu'a été BotW. Ce sont deux jeux et approches différents. HW semble beaucoup trop frénétique pour moi. Un peu trop button-mash comme tu dis. Mais j'ai tellement aimé, que pour retrouver et pouvoir retourner arpenter cet univers 100 ans plus tôt pour y revoir ses persos itou, je me prendrai plus tard Hyrule Warriors : L'Ere du Fléau. Pour l'heure je zieute plutôt Immortals Fenyx Rising annoncé le 3 décembre sur Switch, sorte de mix entre Zelda : BotW et Assassin's Creed Odyssey dans un monde ouvert typé mythologie grecque. Malgré toute les critiques qu'il recueille pour l'heure, il me branche bien.

Les amateurs de comics que nous sommes sauront apprécier ((moi j'ai bien ri) même si ici il est question du MCU) :

Je suis très heureux pour toi que tu es trouvé cette solution. Moi-même j'ai hâte de gagner en place et de mettre en valeur mes livres et mes jeux dans un nouveau chez moi. Je mesure parfaitement ton contentement pour le coup.

@Barbi Pas encore de date. Et il se murmure que ce sont des acheteurs dans l'immobilier qui rachèteraient le bloc d'immeuble me laissant, dans un premier temps, comme je suis actuellement. Mais cela n'est pas rassurant et n'augure rien de bon de mon point de vue.

J'ai appris y a peu que mes propriétaires aller vendre mon appartement. J'accuse le coup. Pas glop ! Je me dis que c'est l'élément déclencheur qui va me pousser à investir ailleurs. Mais ce qui me gonfle au-delà de tout depuis quelques temps, c'est qu'il y a toujours une visite de quelqu'un pour quelque chose : diagnostic amiante, diagnostique énergétique, visite machin chose, visite bidule trucmuche, visite de l'agent immobilier pour ceci, pour cela, des acheteurs... J'ai déjà l'impression de ne plus être chez moi et d'habiter un appartement témoin. Ca commence gentiment à me courir.

Bienvenue dans le Dôme du Tonnerre !

Comme j'ai pu déjà en parler sur le dernier Apéro BD, un retour plus rapide que de coutume concernant mes dernières lectures. Ce sont pour l'essentiel des suites de séries avec un tome qui en pousse un autre : Preacher T3 et 4 de G. Ennis et S. Dillon. Toujours aussi excellent. Je vais me chercher le T5 mardi prochain qui m'attend chez mon libraire. Hâte de continuer. We never learn T12 et 13. Je pouvais émettre un léger doute sur la continuité de l'intrigue de ce manga sur mes dernières lectures de celui-ci : je le trouvais toujours très bon mais je sentais poindre un aspect ronronnant au niveau de son histoire principale. Et bien c'est deux tomes viennent donner ce qu'il faut de différence pour redéfinir ce qu'est ce manga à l'orée de son quinzième tome (approchant) et ne pas placer son lecteur dans quelque chose de trop attendu. Une bonne chose. Captain Marvel T2 : La chute d'une étoile de K. Thompson. Du très bon pour moi qui adore ce que fait habituellement Kelly Thompson la scénariste. C'est toujours des histoires qui savent mêler problèmes personnels des héros et problèmes super-héroïques, le tout avec ce qui faut d'humour léger ancré dans des dialogues qui sont biens à lire. A la suite de l'avant-dernier Apéro BD, Barbi avait mis en avant des œuvres qui pouvait plaire tant au jeune public qu'aux adultes. C'était Percevan, Captain Biceps et Le Château des Etoiles. Un détour par la bibliothèque du neveu et quelques achats plus tard : Captain Biceps T1 et 2 de Zep et Tebo. Lu et adoré le détournement parodique de ce dans quoi nous "trempons" en permanence avec nos lectures de super-héros. C'est bourré de bonnes idées bien fendards. Approuvé ! Le Château des Etoiles T1 : La Conquête de l'Espace d'Alex Alice. Résumé éditeur : "1869. Au nom de Sa Majesté, la conquête des étoiles commence... Et si la conquête des étoiles avait un siècle d'avance ? 1868. À bord de son ballon de haute altitude, la mère de Séraphin disparaît mystérieusement à la frontière de l'espace. Un an plus tard, une lettre anonyme révèle que son carnet de bord a été retrouvé... Séraphin et son père, échappant de justesse à un enlèvement, suivent la piste du carnet jusque dans les contreforts des Alpes. C'est là, à l'ombre d'un château de conte de fées, que le roi Ludwig de Bavière a entrepris la construction d'un engin spatial de cuivre et de bois qui s'apprête à changer le cours de l'Histoire. Mêlant aventure à la Jules Verne, romantisme et humour, ce livre s'adresse aux rêveurs de toutes les générations et démontre, s'il le fallait, qu'il n'y a pas d'âge pour le merveilleux." J'ai été plutôt emballé par cette découverte très ancrée, il est vrai, Jules Verne, avec ce décalage science de l''époque, découverte et réalité historique. On est happé par l'histoire et l'aventure ; cela m'a beaucoup rappelé les dessin animés des eighties que l'on regardait, je ne sais pas trop pourquoi. Mais c'était très bien. Non relecture du post dans vos faces ! Chuis comme ça chuis un fou ! Edrahil.

Monsieur est du cru 1980. Une très bonne année. Assurément. Edrahil dans le même tonneau.

@William_Nuts En tout cas, merci pour la com' et les réponses que tu as su apporter. J'apprécie la clarté de la com' et le mail qui a été adressé aux participants de la précommande (dont j'ai pu faire parti) par Nuts ! Publishing. C'est carré et très pro j'ai trouvé. Merci à vous.

Perso, j'arrive juste du boulot. Et je découvre tout ça. Mais en définitive, tu te trompes pas trop, je s'rai là. Je trouve la fréquence mensuelle plutôt bien adaptée pour ma part. Cela permet de digérer les discussions, fouiner les recommandations/conseils, faire parfois des achats, puis lire... La cadence mensuelle laisse la liberté en même temps qu'elle rythme de façon rapprochée pile comme il faut.

Ouais les Slaves c'est de l'énergie pure en musique ! Y a un peu plus de quinze jours j'ai découvert par hasard un collectif que je ne connaissais pas : Brass Against. Je m'en suis goinfré pendant quinze jours tellement j'en ai été enchanté, téléchargeant l'album. Dans la bagnole du bonheur pour aller au boulot. Brass Against c'est un groupe qui a hybridé l'esprit des Big Band avec leur section cuivres et leurs arrangements propres, avec des chansons typées rap/metal (pour faire rapido). Z'ont beaucoup repris les Rage Against the Machine et ont beaucoup collaboré avec une chanteuse : Sophia Urista. Je l'ai d'ailleurs découverte sur la reprise de Sabotage des Beastie Boys qui m'a fait arriver à Brassa Against. D'une diction impeccable, elle est bourrée d'énergie et assure vraiment rendant les prestations du groupe enthousiasmantes. L'énergie des morceaux joués, se conjugue à l'énergie de la chanteuse pour donner un dialogue instruments/voix formidable et vivifiant. Tant et si bien que l'énergie rock passe par les instruments jazz et ça donne un mélange détonant. Il suffit de voir l'enthousiasme qui se dégage des captations vidéo réalisées en studio des morceaux joués pour en être convaincu. Vous avez tout le loisir de vous laisser tenter par leur reprise de Killing in the Name des mêmes RATM. Pas forcément fan des reprises la plupart du temps, ici je dois bien dire que les prestations vocales de la chanteuse qui assure, et la légère démarcation de la reprise version jazz, apportent ce qu'il faut d'intérêt pour m'avoir charmé totalement.

J'en rajoute après YoshiRyu. Y a eu des actus cet aprèm de la part de Nintendo. Pour ceux que ça intéresse, y a des nouvelles vidéos sur Youtube et de l'info commentée sur la toile à propos de ce Hyrule Warriors.