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Conan


Conan the Conqueror

  1. Jusqu'à present je m'étais limité à la peinture des figurines de mes jeux de société, ne voyant pas trop l'intérêt de peindre un truc pour ensuite simplement le poser sur une étagère, pour le plaisir des yeux... C'était sans compter sur la rencontre de Gulk the Skullcrasher, que j'ai croisé par hasard lors de mon dernier stage de peinture... Je suis juste tombé sous charme de cette fig énorme, j'ai maintenant qu'une envie : la peindre. Du coup le soir même je la commandais sur le site de Terrible Kids Stuffy, et après quelques jours d'attente, ça y est, elle est en ma possession ! Comme vous pouvez le voir le box art est juste dingue ! Du coup si ça vous intéresse je vais essayer de poster ici l'avancée du projet, qui risque de prendre un peu de temps mais je l'espère sera a la hauteur de mes attentes
  2. Sylvain Mochet

    Ketos Tête Seule

    Depuis l’album : Mythic Battles: Pantheon par Sylvain M./Helyan

    Ketos Tête Seule

    © Sylvain Mochet

  3. Sylvain Mochet

    Agamemnon

    Depuis l’album : Mythic Battles: Pantheon par Sylvain M./Helyan

    Agamemnon

    © Sylvain Mochet

  4. Depuis l’album : Mythic Battles: Pantheon par Sylvain M./Helyan

    Héros de la Guerre de Troie

    © Sylvain Mochet

  5. Sylvain Mochet

    Pâris

    Depuis l’album : Mythic Battles: Pantheon par Sylvain M./Helyan

    Pâris

    © Sylvain Mochet

  6. Sylvain Mochet

    Diomède

    Depuis l’album : Mythic Battles: Pantheon par Sylvain M./Helyan

    Diomède

    © Sylvain Mochet

  7. Sylvain Mochet

    Sphinx & Oedipe

    Depuis l’album : Mythic Battles: Pantheon par Sylvain M./Helyan

    Sphinx & Oedipe

    © Sylvain Mochet

  8. Sylvain Mochet

    Oedipe

    Depuis l’album : Mythic Battles: Pantheon par Sylvain M./Helyan

    Oedipe

    © Sylvain Mochet

  9. Sylvain Mochet

    Sphinx

    Depuis l’album : Mythic Battles: Pantheon par Sylvain M./Helyan

    Sphinx

    © Sylvain Mochet

  10. Sylvain Mochet

    Aphrodite

    Depuis l’album : Mythic Battles: Pantheon par Sylvain M./Helyan

    Aphrodite

    © Sylvain Mochet

  11. Sylvain Mochet

    Orion

    Depuis l’album : Mythic Battles: Pantheon par Sylvain M./Helyan

    Orion

    © Sylvain Mochet

  12. Sylvain Mochet

    Ketos

    Depuis l’album : Mythic Battles: Pantheon par Sylvain M./Helyan

    Ketos

    © Sylvain Mochet

  13. Dust

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  14. Dust

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  15. Dust

    orrus.jpeg

  16. Les Gammes de Peinture pour figurines. Sans la peinture, le monde de la figurine n’est pas grand-chose… Je me rappelle encore cette année 1985 pendant laquelle j’ai reçu ma première véritable initiation à l’univers de la peinture. A cette époque, les jeux de figurines étaient relativement mal perçus, et la majorité du matériel disponible en peinture venait de l’univers vénérable des modélistes. Peu de peintures vraiment adaptés à la figurine, donc, mais tout de même de quoi faire ses premières armes. Et pour les « spécialistes », les cracks de la peinture de salon, point de salut hors des galeries d’art et des medium alkydes… Que de changement en 40 ans ! Il semblerait en effet que les portes du paradis se soient ouvertes pour les hobbyistes de tout poil depuis le début de millénaire. Voyons ça d’un peu plus près. Les Acryliques : L’acrylique est maintenant le principal medium utilisé dans le domaine de la figurine, toutes disciplines confondues. D’usage simple, avec un temps séchage réduit et une miscibilité absolue entre toutes les marques et toutes les gammes disponibles sur le marché. Proposant ainsi le nuancier le plus large pour notre niche écologique, les peintures acryliques sont à juste titre le type de peinture le plus plébiscité par les peintres et joueurs. Les marques de référence : Citadel Colour/Games Workshop A tout seigneur, tout honneur ; les teintes en pot estampillées « Games Workshop » constituent une gamme iconique. Pour une majorité de hobbyistes, voire même pour l’intégralité des figurinistes, il s’agit de LA marque de référence. Réputation qui, d’ailleurs, est loin d’être usurpée. En effet, le medium est vraiment de bonne qualité. Les peintures sont riches en pigments, dont la finesse est exemplaire. Si je devais pinailler, je pourrais dire que par contre, la dilution est un peu faible, ce qui implique de retravailler obligatoirement la peinture avant application. Est-ce vraiment un point négatif, cependant ? Facilement disponibles, en boutiques ou sur internet, les peintures sont conditionnées à ce jour en pots « à capsule » de 12 à 24 ml, la gamme a connu, en une vingtaine d’années, de nombreuses évolutions. Elle se présente aujourd’hui classifié en « Base », « Layer », « Shade », « Dry » et « Technic » selon l’usage recommandé. Il existe maintenant une gamme « Contrast » de peintures monocouche à effet auto contrastant. La gamme compte aujourd’hui environ 270 références. Une boite à outil quasiment exhaustive en la matière. Autant dire qu’il y a de quoi faire… Alors, pour être franc, il y a des redondances dans les teintes et beaucoup de marketing autour du concept du « système de peinture Citadel Colour », mais la classification des peintures est un véritable outil de travail, simple à utiliser, un poil dirigiste, permettant de travailler les dégradés et les gammes de tons sans avoir une réelle maitrise du cercle chromatique. Revers de la médaille : il n’y a que très peu de teintes « pures » dans cette marque, voire aucune. Il n’y a pas vraiment de teintes primaires ou secondaires, chaque couleur étant obtenue par mélange. Ca ne saute pas aux yeux, mais la gamme compte beaucoup de teintes désaturées. Bilan, si les dégradés et contrastes s’enchainent sans y penser et avec pertinence, à l’usage, on juxtapose beaucoup de teintes contenant des opposés chromatiques. Le résultat sera efficace visuellement, mais sera toujours « un peu terne ». Les seuls véritables défauts des peintures Citadel sont leur prix et le conditionnement en pot, qui est probablement le pire sur le marché. Sur le prix, on est aujourd’hui à 3.60 euros pour un pot classique ; 6.30 pour un pot de24 ml Shade ou un 18 ml Contrast. Je sais bien que quand on aime, on ne compte pas, mais quand même… Sur le conditionnement, et bien, les peintures sèchent tout simplement trop vite, voir même sont parfois coagulées à l’achat… Des progrès sur l’étanchéité des pots ont été faits avec les conditionnements actuels, mais le défaut persiste toujours. Ce que j’aime avec cette marque : - Une gamme vaste. - La facilité d’accès et d’utilisation. - Le pouvoir couvrant, ce sont probablement les teintes les plus opaques du marché. - Idéale pour les figurines de jeu, mais également pour les figurines d’expo. - La qualité générale des peintures, autant pour le medium que pour les pigments et leur rendu mat/satiné. - Une gamme métallique de référence. - Des teintes de référence. - La gamme Contrast. - La disponibilité. Ce que j’aime moins : - Le prix ! - Le conditionnement en pots. - La gamme ne propose que des teintes désaturées. - Des redondances de teintes. Formula P3 Privateer Press : A l’origine développée avec la collaboration de Mike McVey, la gamme Formula P3 (Privateer Press Paints) est arrivée en France en 2006. En termes de nuancier, on est proche de l’ancienne gamme Citadel (celle de 2004) avec environ 60 teintes classiques, une dizaine de métalliques et une quinzaine d’encres et lavis. D’ailleurs, il est important de souligner que cette gamme propose des vraies encres, et du médium coloré comme chez Citadel Colour. Leur usage requiert plus de pratique et de délicatesse, mais elles sont, et de loin, nettement plus versatiles que les classiques lavis de la concurrence. La qualité est au rendez-vous en ce qui concerne les pigments et le medium. La gamme compte des primaires et secondaires, ainsi qu’une très belle gamme de teintes turquoise et des tons de bruns très intéressants pour gérer la saturation lors des mélanges. Tiens, d’ailleurs, c’est une des choses qui me plait le plus avec les Formula P3 : les mélanges. Effectivement, le nuancier réduit à l’essentiel conduit impérativement à devoir créer ses propres tonalités en cours de travail. Privateer Press propose d’ailleurs une fiche indicative permettant de gérer les mélanges en cohérence, lors de l’élaboration des dégradés. La sensation sur la palette est incomparable, et la satisfaction que l’on en retire en fin de travail également. Après séchage, la finition est satinée. Ça peut ne pas convenir à tout le monde. Le pouvoir couvrant est très correct, et la dilution des peinture à l’ouverture du pot plutôt importante. Au point que je les utilise régulièrement tel quel une fois le pot ouvert. L’opercule plastique et très étanche. Cependant, après des manipulations répétées, le matériau s’avère fragile et la languette se casse fréquemment. Au point que j’ai croisé plusieurs peintures qui reconditionnent systématiquement leurs peintures en biberons. Côté tarif, les pots ont une capacité de 18ml, et sont généreusement remplis – attention lors de la première ouverture, les débordements ne sont pas rares- pour un prix d’environ 4 euros. Par contre, niveau disponibilité, ça deviens parfois le parcours du combattant, la distribution en boutique étant assez chaotique et les revendeurs en ligne de faisant guère mieux. Malgré ses qualités évidements, la gamme P3 n’est pas exempte de reproche. C’est du côté des peintures métalliques que le bât blesse. Etrangement, elles ne sont pas du tout crédibles pour le TMP. Comparativement à d’autres fabricants, ces teintes sont pratiquement à éviter. Dommage. Ce que j’aime avec cette marque : - Une gamme réduite à l’essentiel. - L’opacité de teintes et leur dilution. - La facilité d’utilisation, le plaisir des mélanges. - Les encres. - Convient aux figurines de jeu et d’expo. - L’étanchéité du conditionnement. Ce que j’aime moins : - La disponibilité dans trop peu de points de vente. - Les métalliques. - Le rendu satiné qui ne conviendra pas à tous les usages. - L’élaboration des mélanges qui ne conviendra pas à tous les peintres. - Les bouchons fragiles. Prince August/Vallejo : Une gamme très ancienne, pour ne pas dire la plus ancienne. J’ai eu mes premiers contacts avec cette marque fin 80, début 90. Ici aussi, c’est du lourd, avec un gamme très étendue comptant plus de 400 références de teintes, réparties en gammes « Classique », « Games » et « Airbrush », et proposant également, et en plus, son lot de lavis, glacis, encres et peintures spéciales… Prince August s’aventure aussi dans les domaines des auxiliaires, des mediums à effet et de l’entretien du matériel de peinture. Vous avez besoin d’un matériel particulier ? Il y de très fortes chances de pouvoir le trouver ici. Paradoxalement, du seul point de vu de la peinture, trop de teintes tuent la teinte. En effet, si on peut tout trouver, la classification ne permet pas de s’y retrouver aussi aisément. Il va falloir tester un peu pour mettre le doigt sur LA couleur recherchée. Ce qui est vraiment un comble quand certaines références de la marque sont cité comme des incontournables de la peinture sur figurine (le rouge noir, l’ivoire, le jaune crème, l’uniforme anglais,… autant de nuances indispensable à une boite à peinture qui se respecte). A l’usage, les gammes Prince August sont plus délicates à utiliser que les autres peintures du commerce. Moins couvrantes, plus compliquée à fondre, moins adaptées à la peinture de masse, la peinture est ici globalement de moins bonne qualité, par rapport à la concurrence. Attention, moins bonne ne veut pas dire mauvaise. Mais je suis toujours perplexe en constatant, une fois la peinture sèche, les différences de rendu. De manière aléatoire, le rendu final sera brillant, satiné ou mat une fois la peinture totalement sèche. Si ce défaut n’est pas rédhibitoire, il est tout de même assez perturbant en cours de travail. Pour le conditionnement, on est ici sur du biberon de 17ml. Avec un bouchon à vis, l’étanchéité est parfaite et garantie une durée de vie conséquente à la peinture. Le dosage goutte à goutte est d’ailleurs très apprécié par de nombreux peintres. J’ajouterai qu’il s’agit également de la marque la plus simple à dénicher pour la somme modique d’environ 3 euros le pot. Pourquoi s’en priver ? Ce que j’aime avec cette marque : - La gamme la plus étendue. Vous cherchez une teinte, elle est ici. - De nombreux équivalents des teintes de la concurrence. - Le conditionnement. - Convient à tous les usages de peinture du jeu à l’expo. - Facilement disponible. - Le prix abordable. Ce que j’aime moins : - Le rendu surprise Mat/Satiné/Brillant. - Trop de références, pas assez de classement. - Plus délicates à travailler, moins performantes que d’autres marques. Les Outsiders : Green Stuff World : Venue d’Espagne, je connaissais surtout la marque au travers des accessoires de modélisme (rouleau texturant, scalpels, socles, gabarits, green stuff,…) et puis, je suis tombé sur un set de carnation. Comme je suis toujours en recherche dans le domaine de la peinture, je me suis lancé, et… quelle claque ! La gamme de peintures chez ce fabriquant est tout simplement hallucinante. Bon, on se détend et on analyse. Premier constat, le nuancier est gigantesque. Pratiquement aussi riche, sinon plus que chez Prince August, c’est dire. J’ai compté environ 500 références de peintures, et le nuancier continu de se développer. Ce qui m’a particulièrement frappé sont les correspondances des teintes, tant avec la concurrence qu’avec les gammes d’art. En effet, on retrouve facilement toutes les nuances de référence des ténors de la peinture, amis avec en plus les nuances spécifiques et pures propres aux peintures des galeries d’art. Inutile de préciser que j’ai été immédiatement conquis. Je me suis instantanément retrouvé avec les teintes particulières de ma palette, mais prête à l’usage dès la sortie du pot, sans réel besoin de retravailler la dilution et la fluidité avant application. Que de temps gagné lors de mes sessions de peinture ! Deuxième effet kiss kool, la sensation lors des mélanges est proche de celle des peintures d’art. Vraiment, le bonheur est sur la palette avec ces peintures. Sur le sujet, j’ajouterai aussi que la marque propose tout un tas de peintures spéciales et de médium à effet uniques. Effet givre, weatherings et oxydations, cristallisations, toiles d’araignée réaliste, peinture interférence, effet craquelé, neiges, boues,… tout, tout, tout est là. Même une toute récente série de peintures auto contrastante. La gamme est tellement complète que c’est à se demander comment j’ai pu passer à côté aussi longtemps. Sur la qualité, je ne suis pas déçu non plus. Le rendu final est plutôt Mat/Satiné. C’est passe partout et ça permet d’alterner avec d’autres marques lors d’une session de travail sans que le rendu final soit choquant. Le pouvoir couvrant est bon et la dilution idéale. Le médium est de bonne qualité, et les pigments ne se délitent pas lors de la dilution sur la palette. Mieux encore, les peintures me semblent « aéro ready ». C’est-à-dire que leur fluidité ne va pas les réserver à l’usage du pinceau et qu’un usage pour l’aérographe est tout à fait possible, avec assez peu travail pour rendre la peinture « propulsable ». Et cela sur l’ensemble du nuancier. Une seule gamme, deux usages : malin ! Pour le conditionnement, c’est du biberon de 17 ml. Classique ? Oui, mais Green Stuff World a ajouté une bille en métal dans chaque pot pour faciliter le mélange avant usage. Là encore, la marque se distingue sur un détail qui facilite la vie de tous les utilisateurs. Côté prix, on est à un peu moins de 3 euros le pot. A ce tarif et vu tous les avantages proposé par cette gamme de peinture, green Stuff World devrait être un leader écrasant sur le marché. Sauf que oui et non. La distribution à l’unité est plutôt confidentielle. Renseignement pris auprès de professionnels, la faute à une politique commerciale assez dure. Alors, on se les procure tout de même sans trop de mal, mais surtout en set de 4 à 8 références. Ces sets de teintes sont, au passage, très pertinents dans leurs usages spécifiques ; mais pour un particulier, acheter 6 pots pour réassortir le ton chair de base, même pour moi, ça relève de l’hérésie. Reste la possibilité de commander directement sur le site du fabricant. Ce que j’aime avec cette marque : - Un nuancier plus que parfait. - Des sets de peinture cohérents et thématiques. - La qualité globale des peintures. - Sensation proche des gammes d’art à l’utilisation. - Convient à tous les types d’usage, jeu et expo. - Une excellente alternative aux autres marques du commerce. - Le conditionnement avec la bille. Ce que j’aime moins : - La disponibilité en dent de scie. - L’aspect « peinture à mélange » et la dilution qui ne conviendra pas à tout le monde. - Quelques doublons malgré tout. Scale75 : Une marque plutôt récente, là aussi. D’origine espagnole, Scale75 s’est rapidement taillé une réputation, mérité, de qualité et d’originalité. Les peintures sont réparties en 4 gammes, un peu dans l’esprit Prince August, mais avec un nuancier réduit. La gamme « de base », appelée Scalecolor compte environ 70 teintes ; il y a une cinquantaine de références dans la gamme « Fantasy & Games » ; s’ajoute à cela 24 teintes métalliques et une quinzaine d’encres. Voilà pour l’essentiel. La philosophie de la marque s’oriente clairement vers un esprit « mélanges ». A noter que la marque propose également une gamme d’art en tube (48 références en tubes de 20 ml qui proposent de bien jolies teintes. Je ne les ai pas testé à ce jour, mais franchement, elles font envie) et une toute nouvelle gamme auto contraste dénommée « Instant colors », tendance actuelle oblige. En sortie de pot, la peinture pâte légèrement. Comme attendu, il va falloir travailler un peu sur la dilution avant application. A l’usage, je constate rapidement une différence de pouvoir couvrant entre la gamme ScaleColor et Fantasy & Games ; la première étant visuellement bien plus transparente à la pose que la seconde. D’un avis personnel, je préfère largement les Fantasy & Games. La tenue est bien meilleure lors de la dilution et je trouve le nuancier plus pertinent dans une optique « mélanges ». Attention, la gamme Scalecolor n’est pas mauvaise, loin de là. Seulement son usage est à réserver aux longs dégradés et à la peinture d’exposition. Rien de grave donc, si on admet que la conception de la peinture chez Scale75 est radicalement aux antipodes de celle d’un Citadel Colour. En effet, à la lecture des notices explicatives livrées dans les sets thématiques, on se rend vite compte que l’élaboration des mélanges, la préparation de jus et le travail dans le frais sont à la base de la logique picturale de la marque. Ça semble paradoxal pour la création de peintures dédiées à la figurine, mais je me trouve égoïstement dans ma zone de confort. Comment critiquer ce parti pris ? C’est d’ailleurs ce qui me fait le plus apprécier Scale75. La gamme des métalliques, appelée « Metal & Alchemy », est l’attrait principal de la marque. En plus de proposer la seule véritable alternative aux peintures métalliques Citadel, elle développe une manière d’élaborer le métal plutôt unique. Si les teintes d’or et d’acier sont plutôt communes, l’ajout des tonalités « alchimiques », avec de métalliques jaunes citron ou améthyste, donne un éclat particulier. C’est tout bête mais les textures des métaux gagnent en réalisme et en « vivent » réellement sous le pinceau de l’artiste. Sans conteste un must have dans toute boite de peinture qui se respecte. Les peintures Scale75 sont également conditionnées en biberons de 17ml. De nombreux retours font état de difficultés à mélanger la peinture dans son contenant. Je n’ai personnellement pas constaté de problème particulier à cette étape, comparativement aux autres marques proposant le même conditionnement. Suis-je un agitateur fou ? Ce défaut est-il exagéré par les utilisateurs ? La question restera ouverte. Le tarif à l’unité varie de 2,50 à 3 euros, suivant la gamme concernée. C’est la fourchette de prix raisonnable dans ce créneau. La disponibilité est raisonnable également. Je recommanderai l’achat d’un set de couleur pour démarrer avec ces peintures, histoire de pouvoir expérimenter les mélanges et le travail de dilution avec une réelle gamme de teinte. Ce que j’aime avec cette marque : - Les métalliques. - La cohérence du nuancier. - Les sets thématiques avec notice indicative. - Une gamme plutôt orientée expo. - Existe également en gamme d’art. Ce que j’aime moins : - La transparence de la gamme ScaleColor. - La texture des peintures. - Disponibilité au détail aléatoire. - Une gamme plutôt orienté expo. Les gammes d’Art LeFranc Bourgeois, Liquitex, Amsterdam ou encore Golden, Les marques disponibles sous l’appellation « acrylique d’art » ne manquent pas dans les rayons des galeries d’art et des magasins d’activité créatives. Pour être franc, j’ai une tendresse particulière pour ces peintures, car, je suis un peu tombé dedans quand j’étais petit. C’est le type de peinture dont la qualité des pigments n’est plus à démontrer. Fine ou extra fine, la richesse des teintes est toujours au rendez-vous. D’autre part, les peintures d’art proposent dans leurs gammes des teintes pures. On y trouve des primaires des secondaires et des tertiaires authentiques. Pas de gammes de tons ici, ni de mélanges « à usage spécifique ». si le confort visuel du rendu est de ce fait incomparable, le revers de la médaille est que l’usage de ces peintures implique une bonne connaissance du cercle chromatique et la nécessité systématique d’élaborer ses propres mélanges sur la palette. Passé ce cap, le résultat est sans égal par rapport aux peintures spécifiques pour figurines. A gamme de tons identique, une réalisation à l’acrylique en tube sera visuellement plus intense, plus vibrante et plus attractive. La comparaison de la saturation est sans appel. N’importe quel Rouge « imitation cadmium » sera toujours plus claquant que le plus vif des rouges Citadel Colour ou Formula P3. La varièté des teintes est là aussi impressionnante. Suivant les marques, on peut trouver jusqu’à une dizaine de variations pour chaque couleur. J’ai compté 7 rouges différents chez Amsterdam et une dizaine de bleus chez Liquitex. Chacun trouvera sans problème son ton préféré. Si le rendu de ces teintes est largement au-dessus de la moyenne des peintures pour figurines, il n’en va pas de même pour l’opacité. En effet, les peintures d’art ont un pouvoir couvrant faible. Même les références identifiée comme opaques son au minimum transparente. Si c’est particulièrement adapté pour le travail des dégradés par transparence, c’est un vrai point faible pour la pose des aplats. Il faudra, soit passer un certains nombres de couches de la même teinte, soit couper la teinte avec du blanc, soit carrément faire un aplat avec une teinte adapté à la figurine pour obtenir le meilleur de ces peintures lors du travail en dégradé. Autant dire qu’il y en pour des heures à chaque nouvelle figurine. Pour le conditionnement, les tubes vissés garantissent une tenue irréprochable dans le temps. J’en ai d’ailleurs certains que j’ai gardés depuis une dizaine d’années, et la peinture n’a pas été altérée. Qui peut en dire autant avec un pot de 12 ml acheté chez Games Workshop ? Autre avantage : le prix ! Probablement le plus bas du marché. Les tubes proposent un volume de 20 à 120 ml pour un tarif fluctuant en fonction des pigments, de leur finesse et du revendeur entre 1,50 et une dizaine d’euros. D’un part le volume de tube garanti pratiquement une vie d’usage, mais en plus, même à 14 euros, un tube de 60 ml en extra fine sera meilleur marché que dans l’enseigne précitée. Ce que j’aime avec cette marque : - Des teintes pures et des pigments de qualité. - Le meilleur conditionnement du marché. - Facilement disponible. - Orienté expo et concours. - Bon marché. Ce que j’aime moins : - Peu couvrante et d’usage délicat. - Impossible de peindre « en masse ».. - Nécessite un temps d’apprentissage et de mise en œuvre. Les peintures à l’huile Autre médium, autre univers. La peinture à l’huile est à l’opposé des acryliques. Le temps de séchage est en effet très lent, d’une part, et elle ne se dilue pas à l’eau, mais l’essence de térébenthine ou au white spirit. A noter qu’il existe également des médiums et solvant spécifiques vendu pour l’usage de ces peintures dans les galeries d’activités créatives. L’usage de l’huile est également contraire à celui de l’acrylique. Si les acryliques son posées couches après couches diluées, l’huile se travaille, en revanche, dans le frais. C’est là que son temps de séchage prend tout son intérêt. On peut repasser plusieurs heures plus tard pour retravailler les fondus ou corriger un dégradé dans le frais. Moyennant additifs, on peut même y revenir le lendemain ou le surlendemain. Si le rendu final est plutôt gratifiant, il faut se départir de tous les « reflexes acryliques ». il faut apprendre à faire dégorger les teintes, gérer le temps de séchage, ne plus peindre à l’aide de filtres (adieu mes glacis) et respecter la règle du « gras sur maigre ». En terme de gammes, on retrouve la même variété que pour les gammes d’art en acrylique (et sensiblement avec les mêmes marques) pour les qualités et défauts. A ceci près que le pouvoir couvrant des huile est tout même supérieur à celui de ses homologues acryliques. La finesse des peintures est cependant une variable à ne pas négliger. Plus qu’avec l’acrylique, la finesse des pigments aura un impact important sur le rendu final de la peinture. En termes de tarif et de conditionnement, on est là aussi au même niveau qu’avec les acryliques d’art. Ce que j’aime avec cette marque : - Des teintes pures. - Le meilleur conditionnement du marché. - Facile à se procurer. - Le temps de séchage. - Une technique de peinture spécifique. Ce que j’aime moins : - Le temps de séchage. - Une technique de peinture spécifique. - Ne convient pas vraiment à la peinture de jeu. Les enamels Le type de peinture révérée des maquettistes. La dilution s’opère à l’essence F, la térébenthine ou le white spirit. D’usage difficile, les enamel proposent cependant la meilleure gamme de métalliques en peinture. La fluidité est exemplaire et elles sont facilement utilisables en aéro. Un peu désuètes avec la figurine, l’enamel réservera de belles surprises aux plus expérimentés pour faire éclater la brillance du métal. En bref et pour finir : Voilà un panoramique bien fourni concernant les peintures à disposition pour nos figurines. Chaque marque possède son lot de qualités et de défaut qu’il faudra appréhender pour en tirer le meilleur et pour développer son propre style. On l’aura compris, suivant le but recherché, certaines peintures seront plus adaptées que d’autres. Pour peindre des armées entières, Citadel Colour sera la plus adaptée, malgré son prix ; pour les plus expérimenté, les peintures « à mélanges » et les gammes d’art sont à recommander ; et pour les plus petits budgets, on ne pourra que conseiller Prince August. Pour ma part, je ne saurai que conseiller de ne pas être trop sectaire en la matière, et de tester un peu tout en fonction de ses envies. Le tour d’horizon n’est pas exhaustif. Il existe encore pléthore de marque, comme Mig/Jimenez, Army Painter, Warcolor, AK, Reaper… que je n’ai pas testé par manque de temps, de finances ou tout simplement de feeling avec la marque. Je n’ai pas non plus abordé la question des auxiliaires –une bonne idée pour un autre sujet, tiens- Merci de m'avoir lu. cet article paraitra en téléchargement au format pdf sur le blog du Centurion.
  17. Bonjour , je vends une extension de Conan car j'ai tout les monstres sur différentes extensions et jeux . 30 € à rajouter les FDP La bise masquée Arnaud
  18. le Palawaien

    Nathok2

    Depuis l’album : Conan par Ed le Palawaiien

    Nathok dans son antre.

    © Ed

  19. Depuis l’album : Conan par Ed le Palawaiien

    Akivasha &Thog liée pour l’éternité.

    © Ed

  20. Depuis l’album : Mythic Battles: Pantheon par Sylvain M./Helyan

    Dionysos et ses jeunes satyres

    © Sylvain Mochet

  21. Sylvain Mochet

    Circé et ses Loups

    Depuis l’album : Mythic Battles: Pantheon par Sylvain M./Helyan

    Circé et ses Loups

    © Sylvain Mochet

  22. Sylvain Mochet

    Loup de Circé

    Depuis l’album : Mythic Battles: Pantheon par Sylvain M./Helyan

    Loup de Circé

    © Sylvain Mochet

  23. Sylvain Mochet

    Circé

    Depuis l’album : Mythic Battles: Pantheon par Sylvain M./Helyan

    Circé

    © Sylvain Mochet

  24. Depuis l’album : Mythic Battles: Pantheon par Sylvain M./Helyan

    Artémis et ses chiens

    © Sylvain Mochet

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