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c@ssidy

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Messages posté(e)s par c@ssidy

  1. Pour HP je dois faire partie du public dont parle Fred.

    Perso ça me laisse de marbre cet univers... mais j'avoue aussi que ma grande fille étant fan ça serait un (non)choix compliqué pour moi.

    Du coup, égoïstement, merci d'avoir refusé xD

     

    Je suis bien plus émoustillé par la possibilité de faire du R&C dans l'univers de Mad Max en revanche.

    Si monsieur Miller n'avait pas pondu l’excellent Fury Road, une volée d'insultes m'aurait échappé ;) 

     

    Et même si on ne partait pas de rien niveau infos sur BTM je trouve ce passage bien plus "éclairant" que la TT TV qui était trop brouillon à mon sens, pour ceux qui n'avaient pas déjà les clés du truc.

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  2. Je suis aussi étonné par ce blanc-seing laissé par les pledgeurs à Awaken Realms -_-

    Vu leurs retards à rallonge de toute façon  je ne regarde même plus leurs campagnes....

     

    Ils ont une com' très efficaces et visiblement une communauté qui leur fait entièrement confiance.

     

    Toujours en attente de Nemesis. 

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  3. Un bon gros pavé de @Fred Henry sur FB qui fleure bon la transparence (je colle aussi en texte brut pour celles et ceux qui n'ont pas FB ;) )

     

    Citation

    700 000 $

    - Pourquoi le seuil de financement de la campagne Conan Beyond The Monolith, sera-t-il aussi élevé ? -

    C’est de notoriété publique, le seuil de financement affiché à l’occasion des grosses campagnes KS ne correspond jamais aux besoins réels de financement du projet en question. Pour des raisons markéting, cette somme est systématiquement réduite à une portion congrue du montant qui véritablement permettrait de payer le développement, l’illustration, la sculpture, la fabrication, l’acheminement, et les différentes taxes et royautés nécessaires à la complétion du projet. Nous le savons d’autant mieux que nous sommes nous-même coutumiers de l’usage de cet artifice (sur Conan, le seuil affiché ne représentait pas le dixième de nos besoins réels. Sur Mythic Battles, il n’en représentait pas le quinzième. Sur Batman, il devait en représenter au mieux le quart…). Cela permet aux éditeurs (dont nous-même) de pouvoir s’enorgueillir d’un communiqué enthousiaste (« Awsome, Financé en moins de 5 minutes » ) du plus bel effet, alors que derrière le rideau, toute l’équipe croise les doigts en suant à grosse gouttes pour que le jeu parvienne enfin (idéalement avant la fin de la campagne) à atteindre son véritable point mort. Cela permet surtout de lancer la machine à Stretch Goals, en faisant croire aux pledgers que ceux-ci sont des cadeaux offerts grâce à la décroissance des prix unitaires de production (quand bien même cette décroissance ne commenceraient à être sensible qu’une fois le seuil annoncé franchi de dix ou vingt fois son montant). Le problème de ce subterfuge markéting, est qu’il encourage fortement les porteurs à s’engluer dans des projets non finançables, en se raccrochant à l’espoir tout hypothétique et rarement vérifié, d’un Pledge Manager qui se révèlerait aussi lucratif que la campagne s’est montrée poussive. Mais ce faisant, les éditeurs prennent le risque de se lancer dans une dangereuse cavalerie financière. En effet, ils récoltent l’argent des pledgers durant la campagne, en partant du principe que « ce qui est pris n’est plus à prendre ». Seulement, « ce qui est pris » est parfois loin d’être suffisant, et les éditeurs n’ont absolument aucune assurance que le PM permettra de combler l’écart de revenu. Aussi, à l’occasion du lancement de la gamme Beyond The Monolith, j’aimerais rompre avec cette pratique et fixer, peut-être pour la première fois, un seuil correspondant aux véritables besoins de financement du projet et de sa continuité.

    -Pourquoi fixer un seuil correspondant aux réels besoins de financement du projet ?-

    Parce que je vise le long terme. Parce que la campagne Conan BTM a pour ambition de lancer la gamme Beyond The Monolith. Elle dépasse la question de Conan lui-même. Aussi, afin de réussir ce lancement (c’est-à-dire d’installer le plus de «Core System» chez nos pledgers) nous avons choisi de jouer à son maximum la carte du prix (c’est notamment pour jouer cette carte que nous recyclons une grande partie de nos anciens moules). Nous faisons donc le pari que des prix compressés à leur maximum seront surcompensés par une proportion plus importante encore de pledgers. Nous jouerons donc réellement, pour la toute première fois, le jeu du « tout ou rien » prôné par la plateforme. A quoi bon en effet nous lancer dans un projet de cette envergure s’il ne recevait pas l’adhésion d’une partie suffisante de notre communauté et de celles de nos partenaires ? Donc, En fixant un seuil aussi haut, nous nous interdisons de prélever l’argent des pledgers tant que celui-ci ne sera pas suffisant pour nous assurer qu’outre la complétion du projet lui-même, nous serons aussi en mesure d’en assurer la pérennité (c’est à dire de dégager une marge suffisante pour investir dans la suite de BTM). De ce point de vue, le Pledge Manager ne doit être qu’un « plus », mais certainement pas une condition nécessaire.

    -Le constat d'une évolution des pratiques de pledge qui alimente le risque de cavalerie financière.-

    Au cours des cinq dernières années j’ai passé énormément de temps à observer et à discuter avec mes pairs de l’évolution des pratiques des pledgers. Toute une partie de ces évolutions n’est mesurable qu’au travers de données qui ne sont malheureusement visibles que des seuls porteurs de projet.
    La première tendance forte observée est l’explosion du taux de dépledge au fil des campagnes, lequel est un bon indicateur de la croissante Volatilité des pledgers. Nous arrivons aujourd’hui à de tels chiffres qu’il n’est plus rare, lorsqu’une campagne termine avec 10 000 pledgers, qu’en réalité ce sont 15 000 personnes qui y auront adhéré, dont 5 000 seront finalement revenus sur leur engagement. Ces variations demeurent relativement invisibles pour le public qui n’a accès qu’aux chiffres nets, mais sont une véritable angoisse pour les porteurs de projets qui se retrouvent face à des pledgers qui, de plus en plus, papillonnent d’une campagne à l’autre au gré d’une offre désormais pléthorique.
    La seconde tendance forte est celle du Late pledging, qui remet à plus tard le moment de la transaction. On constate d’ailleurs que nombre de late pledgers se retrouvent dans les dépledges de la campagne elle-même et font le choix de n’y revenir qu’ultérieurement. Le late pledge a un avantage aussi bien pour le backer (le décalage dans le temps du paiement) que pour le porteur (le taux de prélèvement sur le chiffre d’affaire des PM est généralement moindre que celui de KS), mais possède aussi un effet pernicieux majeur : l’absence de visibilité sur la réalité des comptes au moment ou sera prélevé l’argent du KS.
    Ces deux tendances fortes concourent à l’opacité croissante des résultats financiers réels des campagnes, en intensifiant drastiquement leur caractère virtuel (pendant la campagne) et spéculatif (entre la campagne et la clôture du PM). Or, ce caractère virtuel et spéculatif, est au principe même du risque de cavalerie financière. Pour autant, les pledgers sont difficilement blâmables : les seuils de financement facticement bas les encouragent dans leurs pratiques. En effet, les pledgers savent depuis longtemps maintenant que les Stretch Goals ne servent que de variables d’ajustement au rythme de la campagne (les gaps s’élargissent quand la campagne va bon train et se resserrent lorsqu’elle ralentit). Autrement dit et grosso modo, une fois le « seuil de financement » (sic) franchi, le plus ou moins grand nombre de backers n’a pour ainsi dire qu’un impact marginal sur l’offre globale finale. Ce qui implique, qu’il n’y a techniquement aucune espèce d’intérêt pour les backers à ne pas décaler au PM le moment de la transaction. Ainsi, pour reprendre un exemple que je connais bien, Batman 2018, que nous ayons récolté 3M$ ou 8M$ n’aurait strictement rien changé à la quantité de SG relâchés (tous étaient déjà prets et avaient déjà leur place dans la boite)… et donc à ce qu’auraient reçu les joueurs chez eux.
    Le problème posé par le décalage de la transaction au moment du PM est que les porteurs qui ont le courage d'interrompre une campagne sous-financée, plutôt que d’en récolter l’argent, est bien rare. A la place, on voit fleurir les PM à rallonge ou à réouvertures multiples, lesquels ne seront définitivement clos qu’une fois la véritable capacité de financement atteinte… dans l’espoir, tout hypothétique, qu’elle finira par l’être. Aussi, la solution la plus simple pour remédier à ce phénomène délétère me semble être le rétablissement du seuil de financement pour ce qu’il est censé être : le montant minimal permettant, sans risque pour le pledger, la bonne complétion du projet.

    - Mais alors pourquoi paradoxalement une campagne aussi courte ?-

    Parce qu’à l’instar de la campagne de Claustrophobia, nous n’utiliserons pas le subterfuge des Stretch Goals. La valeur pour le pledger sera étirée à son maximum dès le jour 1. N’importe quelle bonification supplémentaire serait nuisible au bon équilibre économique du projet. Donc, plutôt que d’extraire à dessein une partie de l’offre pour la réintégrer au cours de la campagne sous la forme de Stretch Goals, nous jugeons qu’il est plus sain que cette valeur soit d’entrée de jeu intégrée à l’offre. Ce qui implique qu’il est inutile de faire durer artificiellement une campagne qui privilégiera le prix au détriment du show (nous serons bientôt en mesure de vous fournir un exemple d’offre).

    -Le Deal avec les pledgers-

    Le deal avec les pledgers sera donc le suivant : Pendant cette courte campagne (probablement 5 jours, peut-être une semaine, (au-delà tout le monde s’ennuierait) ), nous vous proposerons, au titre du lancement, les prix les plus faibles que le marché puisse offrir. Dans le même ordre d’idée nous offrirons à ceux qui pledgeront pendant le KS un « cadeau » (notez la présence des guillemets"). En contrepartie de quoi, nous attendons des Backers qu’ils jouent leur part du jeu, en nous aidant à passer ce seuil au cours du KS. Evidemment, les Frais de ports seront solidement établis en amont, afin de vous éviter tout risque de mauvaise surprise.

    -N’est-ce pas trop de précautions ?-

    Je suis parfaitement conscient du caractère contreproductif, en terme de business, de toutes ces précautions. Mais le fait est, qu’à ce jours, je n’ai aucune idée de ce que l’expérience BTM peut donner en terme de résultats, et je ne veux faire courir aucun risque à ceux qui m’auront fait confiance. En effet aucun jeu 1 VS 1 ne figure dans la liste des 25 plus gros KS (j’ai extrait les jeux de cartes de la liste pour me concentrer sur les jeux de plateaux avec figurines). Seuls deux jeux 1 VS ALL y figurent (Conan et Batman 😉). Enfin, seuls quatre jeux Compétitifs-Multi-joueurs sont dans cette liste. Tous les autres (19/25 !!!) sont des jeux Coopératifs. Conclusion : Rien n’est donc encore gagné… mais au fond, n’est-ce pas ça qui rend le pari intéressant 😉 ?

    Merci encore de m’avoir lu (et merci de m’avoir, encore, lu)
    Fred Henry et l’équipe Monolith.

     

     

     

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    • Merci 6
  4. Il y a 14 heures, Edrahil a dit :

    Pour moi, "Demain c'est trop tard" est superbe.

     

    Tout à fait, j'aime beaucoup "légende rurale" aussi.

     

    Il y a 14 heures, Roolz a dit :

    Un bon titre dépressif en effet !

     

    Tout à fait :D

    Et ça m'a fait penser à "La fin de l'espèce" de Klub des loosers (rarement texte m'avait mis une claque comme ça)

    Après c'est clair qu'il vaut mieux être bien dans sa tête avant de lancer ça, et je passerai pas ça en soirée où en repas de famille xD ... explicit lyrics toussa toussa

     

     

     

     

    • J'aime 1
  5. Moi je ne "masterise" pas, je suis joueur exclusivement. J'ai peut être, donc, une approche différente du système, moins poussée.

    Et en tant que joueur, si le système me permet de vivre mes aventures sans que je le trouve trop "lourd" et que ça ne soit trop intrusif ça me va totalement.

    Jeter des brouettes de dés et consulter moult tables pour savoir si oui ou non ça passe, ça aurait tendance à casser mon délire.

    J'ai du bol (et de bon MJs) mais je ne me suis jamais senti prisonnier d'un système ou frustré de ne pas pouvoir réussir une action à cause des règles.

    Pour moi le système borne le truc pour pas que ça devienne nawak, mais si t'es cohérent avec ta façon de jouer et ton perso et ses capacités tout passe.

    En ça j'ai hâte de tester Mash'up qui me semble très bien de ce point de vue.

     

    DD5 j'ai surement déjà testé mais j'ai pas de souvenir particulier, donc pas de point négatif dans mon esprit... mais je suis pas chiant comme joueur (en tout cas au niveau des règles ou des systèmes :D)

     

    Ce qui est sûr c'est que là comme ça, ça me donne plutôt envie de jouer du goon dans les bas-fonds de Gotham ou du détective privé/police que du héros en collant qui tabasse tout... ou alors occasionnellement.

     

    • J'aime 3
  6. C'est vrai que souvent quand tu parles JDR c'est une réaction "classique" 

    "- hier j'ai fait un jeu de rôle avec des potes...

    - Ah ? et t'as gagné ?"

     

    ça doit être l'aspect "jeu"

    Et là tu sors les rames pour expliquer le concept du truc ^_^

     

    Mais dans les faits, certains de mes meilleurs souvenirs sont ce qui pourrait être considéré comme des défaites par des personnes extérieures à ce loisir xD

    la fin d'un scénar atroce pour le groupe mais trop bien vu et bluffant... le sacrifice d'un perso (évitable) mais que ça claque trop de se sacrifier pour le groupe à ce moment là... 

    • J'aime 3
  7. Vu aujourd'hui avec madame, nous avons beaucoup aimé tous les deux.

    Je voulais laisser passer l’effervescence de la sortie et surtout le voir en VOSTF car comme le laissait présager la bande annonce le film tient beaucoup à l'interprétation de Phoenix (:x) et à son ambiance et pas à des FX "boumpleintagueule"... donc VO obligatoire en ce qui me  concerne. Je suis presque certain que j'aurai moins aimé en VF (sans snobisme).

     

    Révélation

    Donc oui la grande force est l'interprétation de Phoenix et oui il propose quelque chose de différent et très ancré dans la réalité, à vrai dire ça aurait pu s'appeler "Jojo le gilet jaune" à la place de Joker ça aurait été pareil ;).

    Vu l'approche du réal, je trouve que l'insertion au chausse pied dans l'univers Batman n'est pas si maladroite que ça. Mais pour moi ça n'est pas LE Joker mais UN Joker et plutôt un film sur Gotham et son ambiance. Comment la ville créé des monstres.

    Comme le récit oscille habilement, je trouve, entre réalité et fausses réalités ou fantasmes il est difficile de savoir au final ce qu'on a vraiment vu.

    c'est une plongée dans un esprit malade, et comme on se place de son point de vue tout est forcement biaisé. Le film nous apporte sa version et le malaise vient de là, on éprouve de la sympathie, de l'empathie et on comprend quelque part pourquoi il fait ça... on l'excuserait presque. Et c'est aussi pour ça que les Wayne ont le mauvais rôle, c'est le point de vue d'Arthur.

    La scène finale à Arkham est vraiment géniale sur ce point, car on ne sait pas au final si ce n'est pas juste son récit, sa justification a posteriori, ou une invention totale et fantasmée de ses "origines" ou il réécrit l'histoire en jouant avec l'actualité et sa ville. Pour jouer une fois de plus avec la psychiatre qui est face à lui. "oui je vous fait peur mais c'est vous qui m'avez créé et rien de tout ceci n'est vraiment sérieux, vous ne pouvez pas comprendre et ne comprendrez jamais" en quelque sorte.

    Bref moi j'ai aimé.

     

     

     

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