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Xavier Fournier

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Tout ce qui a été posté par Xavier Fournier

  1. Je pense que je vais voir pour réunir les liens dans une thread de ressources. Comme ça ça permet d'une part de répondre à la discussion ici et de l'autre de garder une forme d'organisation. Vu que je commence à peine à poster, j'ai pas encore trouvé urgent de créer un sujet qui rassemble les ressources. Mais c'est dans un coin de ma tête.
  2. C'est pas un souci, mais lequel, le premier ou bien Jason Todd ?
  3. 4) Batman de nos jours (2011-...) Rassurés ? Bon ben j'ai quand même une quatrième couche pour vous car en 2011, DC Comics trouvant à nouveau que son univers est devenu trop complexe, va se lancer dans une refonte globale et relancer TOUTES ses séries, y compris celles-liés à Batman (confié pendant quelques années au scénariste Scott Snyder). En fait, l'essentiel de ce qui existait avant est conservé, la progression est fluide entre la version de Grant Morrison et celle de Snyder. Dans le nouvel univers, Batman est resté le même mais la continuité d'alliés proches (comme Superman par exemple) amène des changements périphériques. Scott Snyder va aussi produire une nouvelle origine modernisée de Batman, Année Zéro (avis tout à fait perso, elle tire en longueur et n'arrive pas à la cheville de l'origine version Miller/Mazzuchelli). Ceci-dit Batman est un personnage dont l'origine n'est pas mentionnée dans tous les épisodes. L'élément fixe, régulier, dans toutes les versions (même au ciné ou la TV), c'est ce petit garçon dont les parents se font abattre à la sortie du cinéma, dans Crime Alley. Snyder va aussi décider consciemment d'introduire de nouveaux bat-alliés comme Bluebird (Harper Row) ou Duke Thomas. Ces alliés sont le véritable marqueur chronologique de Batman en fait. Le Robin des années 40/50 avec son petit short n'a jamais travaillé avec le Batman post 2011. Et inversement si vous voyez le Batman du Golden Age en train de faire équipe avec Bluebird, ce n'est en théorie pas possible. En théorie car, ouf pour ceux qui ont peur de s'y perdre, l'avantage des crossovers cosmiques de DC façon Crisis, c'est qu'en ces occasions l'espace-temps se déchire et qu'il n'est pas rare de voir des personnages d'autres réalités/d'autres continuités débarquer. Et à partir de là, oui, tout est possible... D'ailleurs en dehors de la continuité centrale de Batman, vous avez aussi quelques futurs alternatifs possibles, comme le Batman: Dark Knight de Frank Miller ou le dessin animé Batman Beyond ("Batman la relève")... Ce qui fait que, oui, je reconnais, au premier abord ça parait plus complexe que le monde de Conan mais que dans le même temps si on s'y prend bien, on peut jongler avec différentes versions sans trop de problème. Cela semble interdire certaines rencontres mais en se servant bien de la continuité, on a au contraire beaucoup de marge...
  4. 3) Le Batman Post-Crisis (1986-2011) En 1985-1986, après avoir abusé des Terres parallèles (parce qu'il y en a en fait bien plus que deux), DC Comics décide d'organiser un gros évènement cosmique, Crisis, au terme duquel toutes ces réalités sont fusionnées en une seule, en se permettant un droit d'inventaire. C'est à dire que du coup au lieu d'exister sur des Terres différentes, la génération de la Justice Society et celle de la Justice League vivent sur le même monde, simplement le premier groupe a vécu dans la force de l'âge dans les années quarante tandis que l'autre est supposé être apparu "de nos jours". Mais deux Flash différents qui existent à quelques décennies d'existence c'est jouable... Par contre pas possible d'imaginer deux Bruce Wayne dont les parents seraient tués dans les mêmes circonstances, donc du coup les doublons sont éliminés et Batman est alors supposé être seulement un héros "récent" sans précurseur dans les années 40. A l'époque, cela revient à effacer tout ce qui est paru avant les années 60 (c'est à dire non seulement le Golden Age mais aussi le début maladroit du Batman du Silver Age). Par contre l'essentiel de ce qui a été publié à partir des années 60 est conservé dans la continuité. A l'époque Frank Miller et David Mazzuchelli produisent "Batman Year One" (Batman, Année Un en VF) qui raconte l'origine modernisée de Batman, sur un ton très "Taxi Driver". Quelques personnages associés à Terre 2 sont également "sauvés" dans d'autres épisodes, en leur inventant une toute nouvelle origine. Par exemple Huntress est conservée, mais dans cette version on explique qu'elle n'est pas du tout la fille de Batman et de Catwoman mais Helena Bertinelli, la fille d'un caid de la pègre qui a simplement adotée des méthodes proches de Batman. A ce stade il y en a certains parmi vous qui doivent déjà s'arracher les cheveux en mode "mais p*tain comment ca va être cotton de gérer la continuité de Batman avec ces versions". Sauf que... dans le milieu des années 2000, le scénariste Grant Morrison va reprendre l'écriture de Batman et établier qu'en gros... tout est valide. D'un seul coup Batman va de nouveau mentionner ses vieux alliés du Club of Heroes ou la toute première Batwoman. Et pour les missions les plus démodées ou tout simplement devenues êtres trop ridicules pour être crédibles avec le recul, Morrison va révéler qu'elles sont autant de scénarios imaginaires auquel Batman s'est soumis (dans quelque chose qui tient aussi bien de l'hypnose que de la réalité artificielle)... pour se préparer à tout, même à l'impossible.
  5. 2) Le Batman du Silver Age/Terre 1 (1955 à 1986) Dans le milieu des années 50, DC Comics commence à lancer de nouveaux personnages comme le Martian Manhunter et le deuxième Flash (Barry Allen, par opposition au premier, Jay Garrick). Au début cette évolution ne concerne pas directement Batman, si ce n'est que dans l'explosion de cette nouvelle génération, on va essayer de lui greffer plein de nouveaux super-alliés comme le Club of Heroes (composé de versions internationales de Batman, comme le Mousquetaire en France, le Knight en Grande-Bretagne, le Gaucho en Amérique-du-Sud). En 1955, on lui imagine aussi une première Batwoman (dans un costume rouge et jaune) qui aura rapidement son équivalent de Robin, la première Bat-Girl (rien à voir avec la version plus connue). Mais ces premières tentatives un peu grotesques vont vite être laissées de côté, au bénéfice de choses plus ambitieuses. Ainsi Batman va se retrouver à fonder une équipe avec les principaux nouveaux venus (Martian Manhunter, Flash, Green Lantern) mais aussi quelques collègues classiques (Superman, Wonder Woman, Aquaman): la Justice League of America (à ne pas confondre avec la Justice Society, donc). Rétroactivement obligé d'expliquer comment ses deux générations de héros peuvent exister, DC Comics va "révéler" que les héros du Golden Age vivent en fait sur une Terre parallèle, Terre 2, tandis que ceux du Silver Age vivent sur Terre 1. Ce qui fait que par conséquent les aventures publiées avant 1955 ne sont plus supposées avoir été vécues par le même Batman. La Justice League finissant par recontrer la Justice Society, le Batman de Terre 2 (plus vieux, donc) est montré comme ayant pris sa retraite, devenant le nouveau commissaire de Gotham de Terre 2, tandis que son Robin est devenu un super-héros adulte et que la fille de Bruce et de Catwoman, Huntress, reprend le fond de commerce familial. Donc en gros à partir de ce moment-là, on a deux mondes parallèles, chacun avec sa version de la "Bat-Famille"... A la jonction des années 50/60, Batman est donc un super-héros très "premier degré", plus vraiment un limier et certainement pas un personnage "noir". Cela transparait dans ses propres aventures solo, qui sont un peu clownesque. Les ventes ne suivent pas et DC Comics se demande même à un moment s'il ne vaut pas mieux supprimer le personnage. A ce moment-là on décide que si les ventes ne remontent pas d'ici six numéros, on arrêtera la série. C'est le responsable éditorial Julius Schwartz et le dessinateur Carmine Infantino qui inventent alors "l'opération de la dernière chance", ce qu'on appelle depuis le "New Look Batman" car c'est à ce moment-là qu'apparaît la zone jaune enchassant le logo sur la poitrine (opération qui va marcher sinon on ne serait pas là pour en parler). Bien sûr ce n'est pas qu'un changement de logo qui va changer l'affaire, la série s'oriente à nouveau vers l'action. A la fois grâce à ce nouveau ton mais aussi parce que la TV s'intéresse à Batman et qu'il faut rebooster la mythologie, diversifier les adversaires, on commence à rénover certains ennemis, c'est à ce moment-là que Catwoman, l'Epouvantail et le Sphinx montent véritablement en puissance. Poison Ivy, qui n'existait pas pendant le Golden Age, est aussi inventée à ce moment-là. Les gens de la série TV regrettant le manque de personnages féminins et ne voyant pas quoi faire avec la version 1955 de Batwoman et sa Bat-Girl, DC Comics leur créé alors pratiquement sur mesure une nouvelle Batgirl (sans trait d'union), alias Barbara Gordon. A mesure qu'on va avancer dans les années 70, les scénaristes vont refaire de Batman un perso plus tétu, moins sociable, ce qui parfois compliquera ses relations avec Robin, Batgirl ou d'autres. Au début des années 80, trouvant que la Justice League of America se contente de garder en place l'ordre établi, il en claque la porte et fonde un autre groupe, les Outsiders (où l'on trouve Katana, Black Lightning, Halo, Metamorpho, Geo-Force), qui sont un peu plus "à ses ordres".
  6. Vues les comparaisons que les uns et les autres font avec le "canon" de Conan, peut-être qu'il n'est pas inutile de faire un point sur la continuité (ce qui est "canon" ou pas selon les époques) de Batman, qui s'articule autour de plusieurs ères, qui sont des retombées de l'évolution de DC Comics. En gros, il n'y a pas une continuité canonique pour Batman mais plusieurs, qu'on peut parfois interconnecter... 1) Le Batman du Golden Age (1939-1955 environ) En 1939 apparaît donc Batman dans Detective Comics #27, bien que ce soit un Batman sans tous les add-on qui sont arrivés par la suite. Au début il n'a pas de Batmobile, ces Bat-Gadgets sont rudimentaires (il faudra attendre quelques mois avant l'arrivée du Batarang), la Batcave n'existe pas encore et il va falloir attendre quelques numéros avant qu'il croise Robin (le jeune Dick Grayson). De la même manière s'il rencontre le Joker, Two-Face ou le Pingouin et quelques personnages relativement méconnus de nos jours (par exemple le Docteur La Mort dont on parlait hier), certains bad guys super célébres aujourd'hui amorçent une carrière très secondaire. En gros il faut compter à peine une douzaine d'apparition de Catwoman. Le Riddler (le Sphinx en VF) va faire une carrière pratiquement confidentielle, tout comme le Scarecrow (L'Epouvantail), qui n'est qu'un universitaire malingre qui veut prouver que tout le monde à peur... des armes à feu. Dans ces premières années, en effet, il n'utilise aucun gaz, aucune manipulation mentale autre que brandir un revolver. Pendant cet Age d'Or des comics, Batman ne fait pas réellement partie d'une équipe de super-héros (plus tard l'histoire sera réécrite un peu pour en faire un membre régulier de la Justice Society of America). Par contre vers la fin de cette période il commence a combattre le crime très régulièrement en faisant équipe avec Superman, dans la série World's Finest Comics, où ils deviennent les meilleurs amis du monde (avec parfois Robin qui écrase une larme en se demandant si Batman ne le préfère pas ce nouvel ami).
  7. Accessoirement aujourd'hui 23 septembre c'est le Batman Day, une opération organisée mondialement par DC Comics. Si vous avez près de chez vous un comic-shop français participant à l'opération, il y a moyen de récupérer des masques (en carton, hein, pas la cagoule en latex) collector de Batman, basés sur les dessins de Jim Lee ou de Kubert. Il y a aussi un masque à l'effigie d'Harley Quinn (oui je sais Batgirl ou Batwoman aurait été plus logique mais le Batman Day tombe cette année pour le 25ème anniv d'Harley). Il y a aussi en VF une BD opposant Batounet à Harley http://www.urban-comics.com/save-the-date-batman-day-2017/
  8. Enfin "fins", je sais pas si cette réputation résistera à notre humour lourdingue :-)
  9. Et donc le principal intéressé, Batman, sur France Info
  10. Robin, le co-équipier de Batman, sur France Info
  11. Bon alors continuons dans les "bases" avec un autre personnage de la bat-mythologie que vous connaissez sans doute, Two-Face (ou "Double-Face") qui lui aussi est une idée de Bill Finger, apparu dans Detective Comics #66 (1942). Il s'agît à la base du procureur Harvey Kent. Et là vous me dites "whao l'autre il veut nous parler comics, il sait même pas que c'est Harvey DENT et non pas KENT, les Kent c'est Superman & cie". Oui mais non. En fait dans les premières années il se nommait bien Harvey KENT sans que personne chez DC ne se rende compte de la ressemblance avec Clark Kent. Et quand ils s'en sont aperçus, ils ont changé d'un coup le nom de Kent en Dent (de mémoire au début des fifties je crois), comme si cela avait toujours été le cas... Ce qui est dommage, cela aurait été marrant de voir Superman pour défendre son tonton Harvey . Mais bref, pour ce qui nous intéresse c'est que, comme je le disais, Bill Finger était fan de pulps. Et donc pour créer Two-Face il s'est intéressé à un personnnage de pulps qui va vous sembler "hachement" familier, j'ai nommé... Black Bat. Toute l'histoire de base du procureur a qui l'on balance une bouteille d'acide en plein visage est basée sur l'origine d'un certain Tony Quinn, un procureur qui évoluait dans des romans et qui, après avoir reçu la dite bouteille, devenait donc un type qui s'habillait en chauve-souris (en gros le même costume que Batman, sauf les oreilles sur la cagoule, absentes chez Black Bat). Black Bat a commencé de paraître à peu près en même temps que Batman, à la grande consternation des deux éditeurs, chacun se menaçant de poursuivre l'autre sans qu'on puisse vraiment dire que l'un avait copié sur l'autre (en tout cas sur le coup). Donc l'éditeur de pulps et l'éditeur de comics sont tombés sur un accord. Le gars des pulps s'engageait à ne jamais publier le Black Bat en comics, et les gens de DC juraient de ne pas faire de romans de Batman. Ca se ferait bien plus tard, au bout de nombreuses décennies. Mais jusque dans les années 50, le Black Bat resta un personnage très populaire, héros de nombreux romans. Et Bill Finger lui a donc "emprunté son origine pour justifier Two-Face/Harvey Kent/Dent, qui est donc un Black Bat qui aurait mal tourné. Two-Face hésite toujours entre le bien et le mal et fait mine de prendre ses décisions en tirant à pile ou face. En fait il s'agit d'une pièce truquée, et le plus souvent Harvey 'n'a aucune intention de faire le Bien.
  12. J'en ai d'autres du même ordre, mais on va pas tout balancer le même soir, faut pas déconner...
  13. Oui je suis l'un des consultants sur ce jeu. L'un de mes livres retrace (entre autres choses) l'arbre généalogique qui relie Batman et le Joker à Alexandre Dumas et à Victor Hugo. Mais avant d'aller m'égarer dans différents forums et vendre ma propre cam je vais plutôt stabiliser un peu ma présence ici. On verra après pour le reste ;-)
  14. Tiens pour la blague, une petite anecdote (qui j'en ai bien peur ne vous servira à rien pour le jeu mais qui est marrante je trouve) : le Commissaire James Gordon existait bien avant Batman. En fait Bill Finger, le scénariste initial de Batman, était super-fan de pulps (romans policiers bons marché imprimés sur un papier de si mauvaise qualité qu'on les qualifiait de "pulpe"), pour le tout premier épisode de Batman, dans Detective Comics #27 (1939), Finger s'est largement inspiré d'une aventure du justicier The Shadow et a glissé quelques autres allusions aux pulps... Dont le nom Jim Gordon, qui était l'identité secrète d'un justicier de pulps, le Whisperer ("le Murmureur"). Dans la vie de tous les jours ce Jim Gordon était donc déjà commissaire et pendant son temps libre il s'injectait des trucs (c'est peut-être à cause de ça que je pense à vous en parler juste après Doctor Death) pour rendre son visage malléable, pouvant prendre l'identité de n'importe qui. Et ainsi il traquait les coupables qui avaient échappé à la justice. Le seul truc c'est que le procédé lui compressait les cordes vocales, l'empêchant de causer autrement qu'en murmurant, d'où son surnom. Donc en gros dans Detective Comics #27, qui se déroule des années plus tard, Bill Finger utilise un Jim Gordon beaucoup plus vieux (qui a pris sa retraite en tant que Whisperer et n'est plus que commissaire). Le gag planqué, du coup, c'est que pendant que Bruce Wayne s'évertue à cacher à Gordon qu'il est Batman, Bruce ne réalise pas non plus qu'il est face à un "collègue" retiré des affaires. Comme je disais, cela ne vous servira à rien pour jouer, le Whisperer n'appartenant pas à DC le truc n'a jamais été expliqué officiellement. Mais ça vous permettra de briller en société quand le personnage de Gordon montrera le bout de son nez dans les parties ;-) Ou bien le type en face vous dira "ah tu vas aussi sur le forum de The Overlord" allez-savoir ;-)
  15. Houlà, c'est riche Batman. Donc forcément il y en a plein et je ne suis pas spécialement "monothéiste" sur ce coup là. Bon Batman forcément, parce que sans lui... Mais j'aime bien plein de persos dans leur version des années 50, méconnue mais super-riche. Par exemple y a tout une suite d'épisodes où Catwoman est guérie du Mal et tente de s'acheter une conduite, mais le système et la pègre lui permettent pas d'oublier son passé. C'est super complexe pour l'époque. Bill Finger, le scénariste d'origine, en avait un peu marre et voulait trouver quelques happy end à ses bad guys. Sauf que forcément DC voulait pas s'en priver donc du coup on arrive à un mouvement de balancier, les criminels semblent se racheter mais n'y arrivent pas. J'adore le run d'Englehart et Marshall Rogers (avec le Joker et ses "poissons rieurs", le Batman Year One de Miller et Mazzuchelli ou encore le run de Grant Morrison, qui mélange modernité et justement un retour des concepts des années 50.
  16. On m'a demandé de passer sur le forum pour vous donner des bat-infos sur les persos (bios et ce genre de trucs), donc si vous avez des questions...
  17. Hello Xav. En fait le Docteur la Mort (Doctor Death en VO) est tout simplement le premier super-vilain digne de ce nom que Batman a affronté dès Detective Comics #29... en 1939. Dans la version d'origine c'était plutôt l'archétype du savant fou, genre le type qui n'a rien d'autre à faire que créer des monstres pour s'occuper. Comme le dit kpitaine-crochet, c'est effectivement un personnage qui a été revu à l'occasion de l'Année Zéro, le scénariste Scott Snyder et le dessinateur Greg Capullo l'ont ramené dans la continuité actuelle en changeant un truc important, désormais ce cher docteur est du genre à tester ses propres substances sur lui-même d'abord, ce qui en fait quelqu'un de beaucoup plus dangereux, à la fois grotesque et mutable en permanence. C'est un bon "symbole" pour le jeu, qui utilise aussi bien des personnages très anciens que des menaces vraiment très récentes. Avec ce Docteur là, on a un peu les deux en un... J'aime bien l'idée que ça aille au delà des classiques Joker, Two-Face, Catwoman (tous très bien par ailleurs, hein) et que ce soit aussi l'occasion de jouer/découvrir des persos moins connus mais très légitimes. Parce que bon, quand vous avez sur votre CV "premier super-vilain affronté par Batman"... :-)
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