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Aerth

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Messages posté(e)s par Aerth

  1. Il y a 18 heures, Roolz a dit :

    mais pour moi il est quand même globalement moins à chier que

     

    Cette phrase peut aussi se terminer avec "Seventh son / Le Septième Fils", film de 2014. Je l'ai enchaîné hier après le Ken en me fadant les socles des figs en cours.

     

    Ben mon cochon, c'est mauvais !

    Révélation

    - Jeff Bridges en fait des caisses en reprenant son accent de "RIPD Brigade Fantôme" de 2013 (qui est également très lourdingue). Je ne sais pas s'il traversait une mauvaise passe (en même temps, vu sa filmo de l'époque, ça peut avoir un lien) mais j'ai commencé à douter que ce soit lui au milieu du film. Il cabotine à fond les manettes.

     

    - Le scénario est indigent, les rebondissements sont tout ce qu'il y a de plus convenu et rien, à aucun moment, ne relève le niveau. On est dans le "Surponcif" ou le poncif de tous les poncifs. Et il y a des scènes à la justification épineuse : "Appelons Jeff Bridges pour qu'il nous dise de cramer la d'jeule à l'ours géant qui s'échappe juste au moment où Jeff arrive". Ok, et si vous aviez cramé l'ours directe, ça marchait, non ? D'autant que l'huile était prête puisqu'il a suffit à Jeff de dire "versez l'huile" pour qu'elle coule en abondance.

     

    - Une Julianne Moore en roue libre, cheffe des méchants qui sont vraiment très méchants. Et pourquoi qu'ils sont méchants ? Pasqueeeeuh !! Vu qu'il y a des sorcières gentilles, ça ne doit pas être le critère qui rend méchant...

     

    - Les deux jeunes premiers ont un jeu d'acteur (et un charisme) de l'épaisseur d'une biscotte

     

    - Ils se payent Kit Harrington / Jon Snow pour le tuer rapidos, histoire de montrer que cet univers est sauvage et tout peut arriver. Résultat : une mort supplémentaire du côté "gentils avec des noms" (les paysans, ça compte pas) jusqu'à la fin du film.

     

    - Et je m'arrête là...

     

    C'est pas compliqué, je me suis dis que finalement, Rebel Moon était pas si mal que ça après ce film...

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  2. Je ne vais quand même pas mettre ça dans la rubrique cinéma. Déjà pasque c'est sur amazon prime.

    Et surtout parce que... ben... c'est l'adaptation live de Ken le Survivant (l'anime des années 90) : Ken le Survivant / Fist of the North Star, sorti en 1995. Et c'est tout sauf du Cinéma.

     

    J'ai du m'arrêter à la moitié pour des raisons complètement indépendantes de ma santé mentale mais ce que j'en ai vu est incroyable. Déjà parce que les effets spéciaux sont plus crédibles que le scénario et les jeux d'acteur réunis. Et ça, c'est un exploit vu le budget minimal du film. Ensuite parce que malgré les efforts presque palpables du réal pour tirer le truc vers le haut masquer la misère, on voit une application directe de la 3ème loi de Newton : les acteurs s'échinent à tirer dans l'autre sens.

     

    62b88bee1dde2-a-fist-of-the-north-stara-

     

    Hâte de finir cette... ce... de finir... enfin, de le voir en entier, quoi.

     

    Avis aux amateurs.

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  3. il y a 43 minutes, Roolz a dit :

    Toutefois, sachez qu’un auteur ne gagne sa vie (très mal pour la plupart) quasiment QUE sur les grands formats.

     

    Est-ce que quelqu'un connaît le rapport de pépettes touchées entre l'auteur et l'éditeur selon le format du livre ?

     

    Révélation

    Analyse en mode "je pense que" avec zéro élément factuel :

     

    Il y a un décalage appuyé entre les grands formats et les formats poche. Or cet écart n'est à priori pas justifié par le prix des matériaux (mais je suis preneur de l'info contraire). Si on représente le prix de vente d'un livre en graphique camembert, la part "fabrication" est à priori plus petite sur un grand format que sur un petit format (sauf si je dis de la merde, ce qui se peut).

     

    Le coût logistique doit varier dans l'autre sens moins de livres transportés à poids équivalent. On peut imaginer que, au pire, la somme des deux ait une proportion similaire dans les deux formats. Je pense que cette part est plus petite en grand format mais encore une fois, ça s'appuie sur du rien.

     

    Et la publicité (si on l'enlève de la rémunération éditeur) se fait principalement sur la sortie grand format. Donc une part de camembert sur le grand format et quasi-absente du format poche.

     

    Reste les différentes marges/rémunérations libraire, éditeur et auteur. Avec la loi Lang, la part libraire est fixe et j'imagine qu'elle est proportionnelle au prix de vente quel que soit le format, non ?

     

    Ma question, c'est : est-ce que les deux camemberts éditeur et auteur ont la même répartition, le même équilibre dans les deux formats ou pas et ce qu'elle que soit la taille de ces deux morceaux de camembert ?

     

    Bref, toute cette réflexion ne servait à rien pour la question...

     

    Si le % que touchent l'éditeur et l'auteur est le même quelque soit le format ou, mieux, que la part auteur est plus forte sur le grand format, je pourrais être plus enclin à prendre des grands formats. Ça reste quand même une contrainte pasque outre le prix, ça bouffe du linéaire d'étagère en plus. Mais ça serait un argument en faveur.

    Par contre, dans le cas inverse, ça me confirmerait malheureusement dans l'optique de préférer les poches (moins de place et transport facilité au-delà du "moins de brouzoufs").

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