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ANIMES du +/- grand est (on est pas sectaires)


Helyss

Messages recommandés

Prison school est juste fun. Gambling school est malsain...

 

Alice in borderlands aussi c'est bien WTF avec leurs jeux de tuerie (a la battle royale aussi...). 

 

Gantz, l'anime... c'est trash. Totalement WTF, sexe, violence, amoralité, faiblesse humaine. J'ai passé tout mon temps de visionnage a me dire c'est pas possible il doit y avoir un truc avant la fin. Et en fait non et la fin te laisse en plan avec tes questions. Comme souvent au final sur les œuvres japs. J'imagine que dans leur référrenciel ça ouvre a la réflexion sur la nature humaine... 

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il y a une heure, Leduendas a dit :

Gantz, l'anime... c'est trash. Totalement WTF, sexe, violence, amoralité, faiblesse humaine. J'ai passé tout mon temps de visionnage a me dire c'est pas possible il doit y avoir un truc avant la fin. Et en fait non et la fin te laisse en plan avec tes questions. Comme souvent au final sur les œuvres japs. J'imagine que dans leur référrenciel ça ouvre a la réflexion sur la nature humaine...

Paradoxalement, je suis intrigué... ^_^

Le trip "tout ça est purement gratuit", oui, c'est assez récurent. Je prend ça comme une démonstration extrême d'une révolte contre une culture sans concession, basée sur la retenue/intériorisation, le respect d'autrui et une forte soumission à la hiérarchie sociale. Une sorte de plaidoyer artistique ou philosophique.

ou c'est juste gratuit, mais pas avec les mêmes barrières morales qu'en occident.

 

Prison school, on parle du même ? Les gars enfermés dans une prison/bunker, barbelés, etc. au milieu de la cour et qui se complaisent dans la soumission avec des filles plus sadiques, perverses et violentes les unes que les autres ? ou totalement à l'ouest, aussi... Et qui infligent ce qu'elles reprochent aux gars...

On doit pas avoir le même curseur. ^_^

 

Alice, pas vu. mais les battle royal ne me dérangent pas plus que ça. c'est même grand public depuis hunger games. Certaines personnalités sont bien trash en anime, par contre.

 

 


Je viens de finir la S2 de Enen no Shouboutai. bien, j'aime bcp. même si je préfère les moments où ils ne bastonnent pas. j'aime bien les persos et j'ai envie de savoir le pkoi du comment. On est nettement moins enfantin que sur Hero Academia. Plus graphique, et plus violent, aussi. ça se rapprocherait assez d'un roman graphique, par moment. De longues poses, des plans un poil recherchés.

j'attends de voir si on va avoir kke chose d'un peu philo ou si le soufflé va juste faire "plop" à la S3. ça n'augure pas que du bon car on sent l'escalade...

 

Et aussi

Shoujo Shuumatsu Ryokou [2017]

Dans un monde où les civilisations ont totalement disparues, Chito et Yuri, deux survivantes, errent sans but à travers les ruines de l'Humanité.

En mode Chibi, très lent et contemplatif. Triste à mourir. Mais comment c'est bien !.. malgré quelques incohérences.

Je me serais passé de la fin, par contre.

 

J'espérais kke chose dans ce genre pour la version anime de Somali et l'esprit de la forêt. Pour le coup, on en est loin, dommage.

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Il y a 9 heures, SentMa a dit :

J'ai lu Gantz entièrement, perso j'ai beaucoup aimé. Même si après le délire prend des proportions délirantes.

 

C'est clairement bizarre, ça démarre étrangement et on ne sait pas trop où ça va mais il y a effectivement un je-ne-sais-quoi* qui fait que ça marche. Mais ça reste bizarre.

 

Last Hero Inuyashiki du même auteur est largement plus compréhensible (et ça m'a fait plus écho aussi).

 

Sa dernière série en cours, Gigant, est une espèce de  croisement entre les deux quelque part. Mais pas à mi-chemin. Mais entre les deux. C'est bizarre. Mais marrant. Et y'a de la loche aussi.

 

* en français dans le texte

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Il y a 2 heures, Aerth a dit :

Et y'a de la loche aussi.

 

XXL.  😍

C'est vrai que dans Gigant, on retrouve les monstres qui sortent de nulle part comme dans Gantz et le côté malgré moi  j'ai des pouvoirs et je vais faire le Bien avec de Last Hero.

 

Ce qui me destabilise ddans cette série, c'est que d'un coup t'as le 1/4 d'heure romantique qui vire à Jacquie et Michel 3 pages plus tard...

Du coup j'hésite à la classer seinen ou hentai. O.o

 

Par contre le trait est vraiment bon dans les 3 séries.

 

 

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  • 2 semaines après...

On arrive sur la fin de la saison hivernale. Des nouveaux trucs, des anciens qui se poursuivent.

Je suis loin d'avoir tout regardé, histoire de goût et faute de temps...

Une sélection de morceaux choisi (avec une note, pour la forme)

 

• L'Attaque des Titans ***

Bien obligé (mais j'ai pas mis d'affiche)...

Je m'étais refait les précédentes saisons juste avant et y avais trouvé un intérêt croissant et une certaine logique qui était très floue en première vision.

J'ai réussi à éviter les spoils jusqu'ici.

Dernière saison surprenante, pas qu'en bien. Le traitement graphique souffre un peu. L'histoire se déroule et apporte son lot de surprises et de justifications, surtout. Reste 1 Ep, j'attends de voir où cela nous mène. Cette dernière saison a le mérite de poser le sujet principal de la série : l'absurdité de la guerre. Elle semble s'éloigner de ce qui aurait pu être une fin annoncée et facile mais la ficelle est un peu grosse.

 

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• Horimiya *****

(Comédie - Romance - School Life - Shônen - Slice of Life) S1-13 Ep

Rencontre entre 2 lycéens (H&F) bien différents à l'école et en dehors et qui cultivent leur jardin secret. On est sur un schéma qui prend le style à contrepied. Bonne qualité, plaisant et avec des personnalités et une histoire attachantes. C'est une redit d'une courte série de 2012 (me semble) que je garde sous le coude. j'ai été rapide, mais c'est largement l'une de mes préférées du moment.

 

• Mushoku Tensei Isekai Ittara Honki Dasu *****

(Action - Aventure - Comédie - Drame - Ecchi - Fantasy – Romance) 11 Ep et la suite cet été (?)…

Classique réincarnation dans un monde Med-fan, mais… c'est très bien fait. Un de mes must de cette saison.

On suit l'histoire à travers les pensées du héros, un bon gros hikikomori (au propre comme au figuré) un chouille pervers. C'est présent sans que ce soit trop récurent, et traité de façon souvent adulte. D'ailleurs, le héros conserve toute sa conscience qui lui permet d'avoir un point de vue décalé sur les divers évènements et rencontres qui ne vont pas manquer de pimenter cette nouvelle existence depuis le berceau.

C'est franchement bien fait et d'une réelle qualité graphique malgré des traits qui pourraient paraitre parfois grossiers. "Générique" tout en fondu, etc. De magnifiques paysages bucoliques pour ce début de série et d'autres grandioses par la suite. On a un point de vue un peu détaché de l'histoire qui puise dans la classique famille D&D d'aventuriers retirés…

 

• Kumo desu ga, Nani ka ? ***

(Action - Aventure - Comédie - Drame - Fantasy – Surnaturel) S1-24 Ep, on en est à la moitié.

Classique, toujours. Réincarnation, toujours. Un monde Med-fan, toujours. Toute une classe, cette fois.

Deux points de vue. Celui d'une des élèves qui a eu la malchance de s'incarner dans une araignée au fin fond d'un donjon de la mort qui tue. Celui des autres, humains pour la plupart. Tous s'acclimatent comme ils peuvent et gèrent la situation en levelant et apprenant de nouvelles capacités façon JV.

Pas mal de traitement 3D, mais relativement bien fait pour que ce ne soit pas dérangeant. Ça se regarde en mode pop-corn. On sent qu'il pourrait y avoir des twists à venir. Pas mal d'ellipses temporelles qui font qu'on ne se rend pas compte que les protagonistes sont là depuis des années.

J'ai bien aimé le début, un peu moins, maintenant.

 

• Tensei shitara Slime Datta Ken ****

(Action - Aventure - Comédie - Drame - Fantasy - Seinen) S2-12 Ep

J'ai failli l'oublier...

J'avoue que je ne partais pas confiant et que l'ensemble tournait un peu trop gentillet sur la fin de la S1. Attention, c'est bien, mais faut aimer et c'est tout public...

Je n'ai donc pas embrayé tout de suite, mais 1 ou 2 trucs m'ont bien surpris et on a clairement passé la seconde. Ca restera très certainement pas très violent, mais ils ont su réveiller l'intérêt.

 

• Jaku-Chara Tomozaki-kun ****

(Comédie - Drame - Romance - School Life - Slice of Life) S1-12 Ep

Quand un Gamer Otaku, et accessoirement champion (anonyme) de Super Smash Bros Ultimate, qui considère la vie comme un jeu de merde sans règles où un perso lambda comme lui n'a aucune chance se fait challenger/coacher par quelqu'un qu'il considère tout en haut des "normies"…

Bref, la rencontre de deux univers pas si différents et interconnectés où rien n'est réellement tout rose et le but, pas forcément celui qu'on vise.

Beaucoup de lieux communs, de facilités, mais c'est bien fait et plutôt agréable. Je pensais me retrouver en terrain connu, mais c'est aussi phantasmé qu'un Pretty Woman peut l'être.

 

• Log Horizon : Entaku Houkai **

(Aventure - Comédie - Drame - Fantasy - Romance - Science-fiction) S3-12 Ep (et pas d'affiche non plus)

La suite, par un nouveau studio. Ça se ressent au niveau du trait. On a un peu perdu les personnages (ce qui faisait leur identité) et le côté se basant sur les biais des MMO des premières saisons. C'est à la fois toujours aussi lent, mais trop rapide. Une saison que j'attendais depuis des années, et je suis assez déçu. Ça se regarde, mais il manque quelque chose. Je n'arrive pas à voir où on va.

 

• Jujutsu Kaisen ***

(Action - Aventure - Drame - Fantastique - Mystère - Psychologique - School Life – Shônen) S1-24 Ep

J'en ai déjà parlé. Classique lutte d'écoles d'exorcistes contre des démons aussi divers que variés (un poil gore/yokaï mais pas tentaculaires). Des fights badass et une intrigue générale qui suit son cours et ne sera certainement pas dénouée à la fin de la saison… Le générique d'intro vaut le détour.

 

• Enen no Shouboutai : Ni no Shou ****

(Action - Comédie - Drame - Science-fiction - Shônen – Surnaturel) S2-24 Ep

A mi-chemin entre le précédent ci-dessus et un Hero Academia. J'aime : l'histoire qui suit sont cours, les personnages, le traitement graphique de certaines scènes, les persos justes suggérés parfois… Et le véhicule d'intervention !

Rien de bien profond, pas mal de fights, j'attends la suite.

 


Dans la catégorie j'ai juste regardé 1-2 Ep et ça parait pas mal du tout

 

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• Wonder Egg Priority

Alice (au pays des merveilles) revisitée... (oui, je sais, ça va, ça va...)

ça parle de trauma et d'amitié. un peu de fight. c'est assez bizarre pour que ça m'intéresse. Et c'est bien dessiné.

 

• Urasekai Picnic

Pareil ici... c'est bien dessiné.

Sinon, rien à voir. 2 filles se rendent dans une dimension parallèle en empruntant des portes. le phénomène est largement connu semble t'il.

pourrait intéresser les gens qui pratiquent du MashUp.

 

• ReZero S2-2

Je vais suivre et essayer de supporter le héros. j'attends la fin pour binjer car les Ep de cette série finissent en général sur un Climax désagréable.

 


Dans la catégorie rattrapage (perso) ou "vous devriez essayez au moins 1-2 Ep" ou "ça mériterai plus de lignes mais il se fait tard"

 

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• Shoujo Shuumatsu Ryokou *****

J'en ai parlé il y a kkes posts. vraiment bien, mais faut aimer. c'est de 2017-18, je crois. Chibi et fin du monde. préparez les mouchoirs...

 

• Akudama Drive *****

Idem, j'en ai parlé. Un bon scénar Cyberpunk qui part un peu en c... Je ne spoilerai pas, mais ne serait-ce que le début, ça vaut le coup.

 

• Ling Long : Incarnation ***

Là aussi j'en ai parlé. kkes Ep de plus sont tombés.

 

• Burn the Witch ***

Tiré de la BD (qui a l'air pas mal du tout), dessin sobre et clair. Juste 3 Ep. Bizarrement, à ce que j'en sais, ça devait être un film sortant en 2021...

 

• 100-man no Inochi no Ue ni Ore wa Tatteiru **

Sais plus si j'en ai parlé. Il pourrait être au dessus, mais j'ai un peu oublié les tenants et aboutissants. Une histoire assez classique d'incarnations et leveling en Med-fan avec missions à remplir. ça se regarde. c'est pas tout à fait pareil que d'habitude, mais on est en terrain connu. ça appelle la suite.

 

• Sayonara Zetsubou Sensei ****

ça date de 2007. très graphique et un poil déjanté. Un prof pessimiste et suicidaire est sauvé par une élève* qui est son opposé. Il doit gérer les "cas" de sa classe. c'est rapide, confus et plutôt agréable.

(* genre, la sœur "débile" de Kill la Kill)

 

• Quan Zhi Gao Shou S2 ***

C'est moins bien que la S1 mais ça se regarde. Beaucoup plus rapide, surtout. moins de placement de produit, aussi. c'est peut-être un des moins facile à trouver, mais la S1 est vraiment pas mal. aussi bien qu'un Log Horizon, en plus rapide et moderne.

 


Dans la catégorie plus si affinités

 

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• Tenchi Souzou Design-bu *

On suit l'équipe d'anges chargée par leur client (Dieu) de peupler la terre avec des animaux. Cahier des charges, phases de test, mise en service, pourquoi il n'y a pas de licornes ni de pégases, etc. etc. En mode pop-corn. Le dessin est très moyen.

 

• Kemono Jihen ***

Une histoire de demi-humains qui me rappelle un peu ce qui est abordé dans Golden Sky Stories, mais en un peu plus violent. On est sur des esprits japonais qui vivent comme ils peuvent parmi les humains, avec leur lois, luttes, etc. Tanuki, Kitsunes et autres Ghouls au menu. design plutôt enfantin, mais c'est un leurre. Il n'y a que peu de pitié et c'est souvent glauque... J'adore une des Kitsune qui ne doit pas voler à plus de 2 en Inté et mon doubleur préféré s'occupe du Tanuki.

 


Et en info de dernière minute, je viens de voir que les premiers Ep de la  S2 B the Beginning viennent de sortir. S1 peut-être toujours dispo sur Nflx et qui m'avait bien plus. Ça date, et c'est de l'enquête paranormale avec un clone de Gordon Freeman (Half-life).

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  • 1 mois après...

Pas mal de retard qui s'accumule ces derniers temps, mais moins de trucs intéressants cette saison... Encore que, quand je regarde la liste à postériori.

Donc ce que j'ai retenu, vite fait et de mémoire, j'ai souvent juste regardé 1-2 Ep ou les 5-6 premiers, et certains que je garde sous le coude :

 

Mars Red : politico-militariste aux alentours de 1920 au japon. Le sujet principal étant la lutte contre le vampirisme ou vampirisme de masse (façon zombie). Dessin intéressant, époque et sujet originaux malgré un aspect melting pot déjà-vu. quelques character design où ils ne se sont pas foulé. Mais ça reste intéressant.

Super Cub : Un gros coup de cœur sur les premiers Ep de cette série tout en retenue (pour l'instant). Le quotidien tranquille d'une fille isolée et anonyme (qui a dit triste ?). Jusqu'au jour ou elle achète un vieux scooter. Des dessins magnifiques et beaucoup de langueur dans cet anime et chez le perso principal. J'imagine tout à fait l'anime comme s'intéressant aux relations d'un groupe de filles autour d'une passion commune : ici, le scooter.

Kyuukyoku Shinka Shita Full Dive RPG... Classique immersion en JV med-fan ultra-réaliste, mais ça dérape... la trad du titre étant : L'ultime RPG est encore plus foireux que la réalité !

Tokyo Revengers : Un peu dans le contexte de Erased (Nflx). Un gars acquiert la capacité de s'incarner 12 ans en arrière. à l'époque où il trainait +/- dans un gang. Il espère sauver son amour de l'époque qui vient de décéder. abolition des paradoxes temporels, dans ces premiers Ep.

Hige wo Soru... Une lycéenne fugue de chez elle depuis un moment et vend ses charmes pour survivre. On attaque l'histoire au moment où le perso principal (presque trentenaire, je dirais) tombe sur elle, la recueille, et essaye de la sortir de cet engrenage. En parallèle, lui est à fond sur une collègue qui l'a jeté et une autre qui lui court après. Assez classique, mais j'aime bien. j'attends le moment où ça va forcément se terminer sous les feux des gyrophares.

• Un Spin-off de Moi réincarné en Slime en mode tranche de vie dans la ville (avant la saison 2, donc). pourquoi pas...

Kumo desu ga qui déroule ses Ep. effectivement, il y a des twists. ça se regarde toujours aussi facilement.

86 : Pas trop regardé pour l'instant, mais j'aime bien le pitch. Une société décomposée en districts (façon hunger games) dont le central regroupe l'élite a formé des commandants d'unité qui communiquent avec des drones pour lutter contre une invasion d'arachnides (façon starship troopers). Sauf que seule l'armée sait que ces drones ne sont pas autopilotés, mais pilotés par les habitants (au statut déshumanisés) du 86e district. Donc CQFD, ils n'envoient pas d'humains au front. On suit les rapports à distance entre la nouvelle commandante d'une de ces unités et ses hommes qui luttent pour leur survie en haïssant le pouvoir central.

Ijiranaide,Nagatoro-san : Pour le plaisir coupable. parce que ça ne casse pas trois pattes à un canard, non plus. Un lycéen de première, dessinateur introverti, se fait pourrir la vie par une élève de seconde. évidemment, il y a anguille sous roche. j'aime bcp le côté psychotique de la fille.

 

Dans la catégorie, pas regardé, mais ça viendra.

Hero academia 5 : plus pour ma fille. moins fan car trop enfantin après avoir regardé Enen no shouboutai qui s'en approche bcp.

Vivy fluorite... :  le dessin et l'animation ont l'air intéressants. Une histoire d'androids, il semblerait.

Fumetsu no anata e : le pitch me tease bien. C'est à l'épreuve de la réalité que je saurai ce que je suis... Voilà pourquoi mon voyage commence." Un être immortel a été envoyé sur Terre. Il rencontre d'abord un loup puis un jeune garçon vivant seul au milieu d'un paysage enneigé. Ainsi commence le voyage de l'Immortel, un voyage fait d'expériences et de rencontres dans un monde implacable...

 

J'ai fait une session de rattrapage sur un truc dont j'ai oublié le nom. triangle amoureux scolaire sur fond de création de JV. récursivité et autodérision du genre. bcp de fan service. j'ai bien aimé les relations entre persos. je reviendrai là-dessus (quand j'aurai retrouvé le nom, déjà), parce que ça ne partait pas gagnant.

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Il y a 7 heures, Helyss a dit :

J'ai fait une session de rattrapage sur un truc dont j'ai oublié le nom. triangle amoureux scolaire sur fond de création de JV. récursivité et autodérision du genre. bcp de fan service. j'ai bien aimé les relations entre persos. je reviendrai là-dessus (quand j'aurai retrouvé le nom, déjà), parce que ça ne partait pas gagnant.

 

Ca me fait penser à Saenai Heroine no Sodatekata ? Que j'ai justement prévu de regarder après Wotaku ni Koi wa Muzukashii (aussi appelé Wotakoi : L'amour c'est compliqué pour un otaku).

 

Je reviendrai faire un retour des animés que j'ai vus.

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il y a 32 minutes, Edrahil a dit :

 

Ca me fait penser à Saenai Heroine no Sodatekata ? Que j'ai justement prévu de regarder après Wotaku ni Koi wa Muzukashii (aussi appelé Wotakoi : L'amour c'est compliqué pour un otaku).

 

Voualaaa, c'est exactement ça !

GG

Pour avoir vu les deux, dans le même ordre , Saenai... est supérieur en tous points. mais étant plus frais en mémoire, ça peut jouer.

Disons que j'y ai surtout trouvé l'humour et l'autodérision que je pensais voir dans Wotaku... (qui reste plus factuel, et un chouille condescendant, de mémoire) avec cette sorte de mise en abyme qui emporte l'ensemble bien au delà du second degré.

Ici, la condition d'otaku sert juste de prétexte* (on est dans la frange productive de la population) à un chassé croisé amoureux assez classique mais toujours au second degré, avec pas mal de subtilités et des répliques qui m'ont bien fait marrer. Pas mal de fan service, aussi, c'est assumé, et ils en jouent, à outrance. des scènes entières de dialogues se passent sous la table.

Je m'attendais à une sorte de harem assez classique. Évidemment, c'est le cas, mais ça va bien au delà. Chaque personnage (principal) est développé et bien mis en valeur sous la surface. très très agréablement surpris.

Pour la totale et un tout cohérent, il faut compter la S1, 1-2 Ep de transition (1 joue pour l'arc principal), la S2 et le Film.

Important le Film ! De +/- 2h, à voir absolument pour ficeler l'ensemble.

 

* Pas que, parce qu'il y a aussi une critique sévère du milieu créatif et de tout ce qui gravite autour.

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Ça faisait longtemps,

Récemment, j’ai regardé « Rent a Girlfriend » (Kanojo, okarishimasu),  le titre ne cache rien.

Un étudiant, Kazuya Kinoshita, un garçon qui n’a pas grand chose pour lui, vient de se faire larguer par sa petite amie après être sortie avec ensemble pendant 1 mois. De déception, il décide de louer une petite amie, Chizuru Mizuhara qui a tout de la fille parfaite et qui joue tellement bien son jeu, que Kazuya oublie qu’il s’agissait d’une location, lorsque le rendez-vous se termine. Il s’en trouve très frustré et la reloue. Lors de ce second rendez-vous, une série d’événements mènent Kazuya à présenter Chizuru à sa famille comme étant réellement sa petite amie. Il veut donc maintenir l’illusion à sa famille qu’il file le parfait amour.

La première saison fait 12 épisodes, une seconde est en cours de production.

 

À la base, je ne suis pas fan des séries où les gros mensonges sont présents, mais le premier épisode ne semblait pas trop aller dans ce sens, ce qui m’a poussé à regarder la suite. Finalement, la suite a été plus compliquée à regarder pour moi, le héro s’enfermant dans une surenchère de mensonges et de malentendus, propres au genre, ou dans des scènes de révélations qui pourraient mettre fin à la série à tout moment.

Je suis vachement mitigé, entre le désir de connaitre la suite, et la détestation des mensonges qui me rendait le suivi de la série un peu difficile… Mais, si vous aimez ces situations, eh bien n’hésitez pas ! La série vaut quand même le coup.

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Il y a 22 heures, Shika a dit :

La série vaut quand même le coup.

 

ça fait un moment que je l'ai regardé. je vois tout à fait le genre de trucs horripilants dont tu veux parler. tout de même envie de voir la suite. si je me souviens bien, j'ai plutôt apprécié, malgré cette sensation de poil à gratter. c'est rien comparé à Re-Zero, Celui-là, je n'arrive même pas à regarder la suite tellement j'ai envie de tabasser la majorité des protagonistes... ^^

 

Sinon,

Je viens de regarder les Ep 3-6 de 86. C'est vraiment bien, j'aime bcp. difficile d'en dire bcp sans spoiler. Si ce n'est que je m'étais planté (regardé vite fait les premiers), ce ne sont pas des Arachnides en face, mais aussi des drones pondus par l'usine automatisée d'un ennemi vaincu et qui devrait arriver à cours d'ici à deux ans. Est-ce que tout se déroulera comme un plan sans accroc ? Je ne crois pas.

 

Et deux autres que j'avais zappé.

Vivy - Fluorite Eye's song : Des trucs qui me dérangent un peu dans celui-ci et ça sent sérieusement l'enfumage à un instant donné (vers la fin généralement). Mais c'est plutôt bien. Le pitch global : un soulèvement des machines dans 100 ans, l'IA centrale a décidé d'éradiquer l'humanité. Après des premières séries problématiques, les IA ont été codées pour une seule et unique tâche. Mais un chercheur (?) réussi à renvoyer une IA en arrière pour seconder un modèle bien précis d’androïde de divertissement (qui travaille chez Mickey), le premier d'une série, et empêcher cette guerre (c'est ce sur quoi j'ai de sérieux doutes). On va suivre le tandem avec de grandes ellipses au fil des années sur des situations bien précises qui conduiraient à la guerre, façon Asimov. On est sur un mélange de Fondation* et des Robots (en moins complexe, hein) sur fond de Terminator. Des cas résolus en 2 Ep qui me rappellent un peu le déroulé du cap'tain Flam ou de "Nouvelles", justement.

Révélation

 

 

Quand je rapproche ça d'Asimov, c'est que c'est une suite d'études de cas au fil des ans : 1er mariage humain-machine, droit des machines, suicide d'un androïde, gémellité, etc.

En théorie, la ligne temporelle aurait déjà dévié dés le début, donc pour l'instant j'accepte leur postulat pour voir la suite. Je pense qu'en re-regardant les premiers Ep ensuite, ça va faire sens. Quelques animes trompent le spectateur sur cette notion de temporalité, ces temps-ci, en présentant des scènes comme simultanées ou successives, alors qu'il n'en est rien.

* le chercheur est peut-être un psychohistorien, d'ailleurs, il n'y aurait aucun saut dans le passé. ce qui est déjà plus logique... en quelque sorte. ^^

Mais on sait aussi où la psychohistoire mène... Me referais bien les Fondation, tiens.

 

Un dernier que j'avais oublié

Mashiro no Oto : ou la vie étudiante d'un joueur de Shamisen obsédé par le "son" de son grand-père. Tout tourne autour du Shamisen, et certaines compo sont intéressantes. Classique dans les relations entre personnages qui tendent vers un but commun pas gagné d'avance, pour ce style d'anime. Des énormités et facilités pour le chara design, mais ça passe. c'est léger et se regarde facilement. Je suis ébloui par la virtuosité (relative) de certains débutants, on dirait que jouer d'un instrument est à la portée de tout le monde, et en peu de temps... bref.

 

Je reviens sur Super Cub. Faut aimer le contemplatif, la retenue, les silences et les petites choses agréables. l'héroïne est aussi expressive que la chenille de Minuscule. Mais elle arrive à sourire... ok, à la Terminator. Franchement attachante. Ne vous attendez pas à du grand spectacle, les succès sont à l'aune d'une vie ordinaire, voir moins, comme faire une vidange ou aller au Supermarché. Franchement, j'adore.

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Au final, pas des trucs que j'attendais mais une sacrée quantité d'animes intéressants.

 

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Vu la première saison de Star Trek : Lower Decks sur Prime.

J'ai bien aimé le cadre trekkies léger mais très respectueux de la mythologie Star Trek et de sa longue continuité historique. Star Trek : Lower Decks prend pour matière première de ses histoires toutes ces petites gens qui bossent aux ponts inférieurs des gros vaisseaux mais qu'on ne voit jamais habituellement. Ce sont les petites mains, les machinistes, les aspirants ceci, les aspirants cela...

Le ton de cet animé : je le définirais à mi-chemin entre M.A.S.H, l'esprit des Police Academy et Parker Lewis ne perd jamais. On suit des perso débrouillards, un brin fainéants (pour certains), en marge du système auquel ils appartiennent. Mais ce sont des rebelles de l'intérieur qui aiment le système dans lequel il vivent. Ce qui fait la force de cet animé quand on est habitués à des animés comme American Dad, Les Griffin, Bojack Horseman (...) c'est vraiment le cadre SF et la culture Star Trek. Ca nous sort du cadre "vie quotidienne".

On ne s'esclaffe pas de rire en la regardant mais on passe un bon moment, elle dégage de bonnes vibes de sympathie. Le visage d'un personnage appelé Mariner étant très expressif -je trouve-, cela amène une touche humoristique perpétuelle à la narration.

 

Iroduku  : Le Monde en couleur / Irozuku Sekai no Ashita kara (1 saison complète) sur Prime.

En gros nous sommes en 2078, une jeune fille nommée Hitomi est incapable de percevoir les couleurs : elle voit tout en noir et blanc. Cet état lui pesant sur le moral, elle vit sa vie de façon complètement éteinte. Issue d'une famille réputée pour les talents de ses mages, Hitomi, pour ce qu'il en est de sa vie et de sa condition, elle finit par se détourner de la magie et la considérer avec méfiance.

Lasse de voir sa petite fille, un brin déprimée en permanence, sa grand-mère l'expédie un soir de nouvelle Lune 60 ans dans le passé afin qu'elle la retrouve plus jeune et qu'elle puisse l'aider à comprendre cette malédiction de voir la vie en noir et blanc. Hitomi se retrouve ainsi à vivre sa vie de lycéenne avec sa grand-mère jeune et sa bande d'amis et doit chercher à comprendre pourquoi ne voyant pas les couleurs, elle parvient malgré tout à percevoir les couleurs des œuvres qu'un des amis de sa grand-mère  dessinent. Accessoirement aussi elle doit préparé un sort qui devra la ramener à son époque.

Alors j'ai bien aimé, mais c'est pas ouf. C'est très contemplatif, ça semble essayer d'être larmoyant mais n'y parvient pas ; je suis resté à suivre cette histoire qui est très creuse pour de mémoire 13 épisodes je crois. On dirait que c'est plein de choses mais sans réussir à en être aucune : pas tout à fait comédie romantique, pas tout à fait animé de magical girl, pas tout à fait tranche de vie... D'où l'aspect moyen au final. Bien mais pas top j'ai envie de dire.

 

Love X Dilemma /  Domestic na kanojo / Domestic Girlfriend saison 1 sur Prime.

Comme j'adore le manga autant me faire l'animé. J'ai beaucoup aimé bien que l'animé perde au passage l'aspect "coquin" et l'atmosphère "bandulatoire" du manga. Mais c'est chose normale : l'imprégnation ne s'opère pas de la même manière puisque j'ai un point de comparaison.


@Shika C'est amusant que tu parles de Rent-a-Girlfriend et en fasse un CR, je vais certainement me mettre au manga (le troisième tome est ou va bientôt sortir). Ce que tu remontes en terme de sensation revient souvent, du coup j'ai hâte de juger par moi-même.

Arrête de me chauffer Nagatoro !, autre série manga pour laquelle je pense me lancer, suscite aussi quelques discussions selon comment chacun la prend et la considère ; en effet, le point central de l'histoire étant le harcèlement scolaire, certains passages semblent mettre mal à l'aise certains lecteurs. Il est aussi présenté comme une sorte de Quand Takagi me taquine version ++ ; on passe de la simple taquinerie au vrai harcèlement ici. Faudra voir le discours qui est développé derrière par l'auteur et ce qu'il va faire de ses personnages ; dans A silent voice y a tout un parcours de vie qui en découlait logiquement , façon chemin de la rédemption et du rachat.

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  • 5 mois après...

Fini cette semaine la première saison de Star Wars Rebels. Très agréablement surpris je dois dire. Tellement content de retrouver l'ambiance et l'univers SW. J'ai retrouvé la richesse folklorique que j'avais aimée auparavant et qui s'est quelque peu perdue avec la dernière trilogie. Qu'il est bon de retrouver ses marques et voir de nouveaux personnages côtoyer d'anciens et emblématiques personnages. Ça participe à rendre encore plus vivant l'ensemble. 

J'ai vraiment eu l'impression d'être dans une continuité ; ça ne m'a pas paru artificiel et ça ne donne pas non plus la sensation d'une intrigue rentrée au chausse-pied dans un arc narratif déjà fini. L'histoire se déroule entre l'épisode III et l'épisode IV, et au fur et à mesure de cette première saison pas exempte de défauts, on sent le potentiel pour la suite. Sur cette première saison, on ne s'ennuie pas : beaucoup de frénésie, d'action, de courses-poursuites... Et c'est au long cours de la saison, que par petites touches, on sent que cela s'épaissit et que ça présage du bon pour la suite. J'espère ne pas me tromper.

Bilan : coup de cœur inattendu.

 

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il y a 32 minutes, madcollector a dit :

Et c'est la moins bonne saison !

La suite c'est 100% plaisir

Oui je sais ;).  Tu en parlais dans le fil " les bouquins avec que des mots dedans" et l'envie de m'y essayer est venue de toi et de ce que t'en rapportais. Fallait pas trop pousser d'en autre côté, chuis une cible facile :D.

 

  • Bisounours 1
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  • 7 mois après...

Une découverte totalement inopinée que j'ai du mal à classer et en cours de diffusion mais une vrai bonne surprise :

Summer Time Rendering

Lorsqu'il apprend que Ushio, son amie d'enfance, est décédée, Shimpei décide de retourner sur son île natale, Hitogashima. Là-bas, il se rend vite compte que quelque chose ne tourne pas rond... S'il s'agissait d'une mort accidentelle, pourquoi une autopsie a-t-elle été réalisée ? Qu'a bien pu voir Mio, la petite sœur d'Ushio ? Mais avant de pouvoir répondre à ses questions, Shimpei et Mio sont assassinés par un double de cette dernière...
Et voilà que Shimpei se réveille à nouveau sur le bateau qui le conduit à Hitogashima pour assister à l'enterrement d'Ushio...

 

Un peu d'enquête, un peu de time warp, du surnaturel et une ambiance insulaire du pacifique. L'ensemble est plutôt agréable et rappelle bcp d'autres séries ou animes par certains côtés. Un moment que je n'avais pas vu de série en 25 Ep.

 

• S2 du héros au bouclier en cours. Assez critiquée pour sa lenteur, et un peu inférieure à la S1, mais j'aime toujours autant. un de mes Isekai préféré, donc je conseille si vous avez loupé.

 

Sinon, pas grand chose d'immémorable cette saison... mais j'en oublie.

Pour ceusses intéressés, Crunchyroll & Wakanim ayant fusionnés, le catalogue devient assez conséquent sans être exhaustif. Mais il manque toujours les Animes chinois qui proposent quelques perles (faut chercher mais ils s’améliorent vite).

Et ça en parlait plus haut, la S2 de Rent a Girlfriend est prévue pour cet été.

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  • 4 mois après...

Mes derniers visionnages de séries animées.

 

A Classroom of the Elite

Kiyotaka Ayanokôji intègre le prestigieux lycée de haut niveau de Tokyo où, une fois le diplôme en poche, quasiment 100 % des élèves trouvent un travail ou sont reçus à l’université. Pas de chance, il se retrouve dans la 2de D où finissent tous les élèves à problèmes ! Mais au bout d’un mois, Kiyotaka et ses camarades de classe découvrent l’envers du décor et le terrible système sur lequel repose le fonctionnement de cette école…

 

Vraiment beaucoup aimé ces deux premières saisons. Le cadre et l’intrigue principale de ce lycée particulier sont intrigants. Mais plus intrigants encore sont tous ces personnages avec leur passé, leur mystère, leur faux-semblants. Chacun semble dire à l’autre pour chaque piège tendu et monté avec une certaine fourberie : “à malin, malin et demi”. Ce lycée est organisé à la manière d’un système de castes ; on découvre les rivalités, jalousies, complots des classes inférieures (au sens propre, pour le coup) à l’égard des classes supérieures. Mais aussi, à l’intérieur de chaque classe, même s’il y a un esprit de corps, les rivalités demeurent. Tout au long de la série on observe donc ce petit monde pourri par les ambitions s’étriper joyeusement à base de coups fourrés. Très prenant.

 

My Stepmom’s Daughter is my Ex :

Lorsqu’ils étaient au collège, Mizuto Irido et Yume Ayai ont commencé à sortir ensemble. Très amoureux au début, ils ont fini par rompre après un malentendu qui n’a jamais été résolu. Quelque temps plus tard, ils se retrouvent d'une manière surprenante, juste avant leur entrée au lycée. En effet, ils ont chacun l’un de leur parent qui s’est mis en couple avec l’autre, devenant ainsi frères et sœurs par alliance ! Une règle est toutefois instaurée : Le premier qui commence à avoir une attirance pour l'autre perdra ! Mais que reste-t-il de leurs sentiments passés ? Et arriveront-ils à les contrôler dans leur nouveau quotidien ?

 

Également beaucoup aimé cette série. A réserver aux inconditionnels et habitués des com rom toutefois. De toute façon avec un titre pareil… Toujours est-il qu’on a avec cette série ce qu’on pense avoir rien qu’en lisant le titre. Il tient ses promesses. Ça peut rappeler Love X Dilemma, mais en plus choupi et moins “coquin”. On assiste donc à un jeu du chat et de la souris malicieux entre nos deux protagonistes où chacun cherche à mettre en défaut l’autre avec en toile de fond une réflexion à l’égard des sentiments ressentis pour l’autre. J’ai beaucoup aimé.

 

Parallel World Pharmacy :

Le professeur Yakutani est spécialisé en pharmacologie moléculaire et ses travaux sont internationalement reconnus. C'est un forcené du travail qui, alors qu'il se permettait de dormir quelques dizaines de minutes en attendant le résultat d'une expérience, se réveille dans le corps du jeune Falma de Médicis, dans un monde qu'il ne connaît pas. Aidé par Lotte, une domestique, Falma va devoir retrouver ses connaissances et donner le change face à sa famille.

 

Bonne pioche encore. L’histoire de ce type doué dans son métier qui se retrouve dans un monde imaginaire (façon Haut Moyen-Âge) régi par une guilde de pharmaciens et où la magie existe, s’avère fort distrayante. Il a les connaissances de notre époque ; donc rien qu’avec la notion d’asepsie du lavage des mains, il peut obtenir de bon résultat sur les maladies. Il a une particularité qui lui est propre : s’il est capable de se rappeler la structure moléculaire exact d'un médicament de notre époque (par exemple le paracétamol), il a la possibilité de créer par magie les ingrédients nécessaires à la confection de ce dernier. A chaque problème qui se présentera à lui, il réagira avec la logique d’un homme du XXIème siècle mais avec les moyens de son époque. C’était très distrayant. J’ai passé un bon moment.

 

Lycoris Recoil :

Si vous souhaitez avoir l’esprit tranquille, faites appel à Lycoris, une organisation secrète luttant contre le crime composée d'agents féminins. Avec son air insouciant, Chisato est énergique et la plus douée. Takina quant à elle semble plus mystérieuse et réservée, mais elle garde toujours la tête froide. Lorsqu’elles ne sont pas en mission, elles s’occupent d’un café qui propose des douceurs, s’adonnent au shopping et font même de la garde d’enfants ! Suivez le quotidien de ce drôle de duo.

 

Super série. C’est une sorte de mélange entre Nikita (le film), Drôles de Dames (la série TV) et Danger Girls (le comic). Ce sont de jeunes orphelines qui sont intégrées à une organisation secrète qui lutte contre le crime et le terrorisme dans la région de Tokyo. Avec leur air innocent, toujours accoutrées de leur tenue de lycéenne, elles se noient dans la foule et passent inaperçues pour accomplir leur mission de sûreté. Sur-entraînées, elles sont redoutables d’efficacité. C’est une bonne petite série d’action où les personnages sont cool et bien vivants et où l’on ressent vraiment les interactions entre chacun d’eux.

 

Shikimori n’est pas juste mignonne :

Izumi est un lycéen maladroit et malchanceux. Pourtant, c’est ce qui fait son charme et lui a permis de sortir avec Shikimori. Cette camarade de classe est très jolie, elle a un beau sourire et semble toujours heureuse en compagnie d’Izumi. Pourtant, le garçon ne peut s’empêcher de complexer ! Il fait tout pour continuer de la séduire, même si ses actions ne l’aident pas vraiment dans sa tâche…

 

Je dois confier que sur les premiers épisodes j’ai trouvé ça niais au possible. Le titre, déjà, aurait dû me mettre sur la piste… Le personnage masculin principal est à tarter tellement il peut être agaçant dans ses actions, sa maladresse… ce qui fait qu’il est lui. Et puis je ne sais pas, à force de laisser ce bonbon fondre sous ma langue j’ai fini par arriver à une deuxième couche daubique, et là pour une raison que je ne m’explique pas, j’ai commencé à apprécier cette série. Je me suis habitué à ce ton niais, à apprécier les réactions des personnages… je suis rentré dedans et j’ai été gagné par un certain plaisir.  A réserver aux spécialistes du genre.

 

Aharen-san wa Hakarenai :

Raidô est assis juste à côté d'Aharen en classe. Est-ce dû à sa petite taille ou au fait qu’elle s’exprime peu, la jeune fille semble distante. En réalité, Aharen veut se faire des amis, mais elle a juste du mal à évaluer la bonne distance sociale entre les gens. Contre toute attente, l’imagination débordante de Raidô va finalement aider à les rapprocher…

 

J’ai eu grand plaisir à suivre le rapprochement entre ces deux personnages et l’éveil à la vie en société du personnage Aharen. Toute petite et discrète, cette dernière ne sait pas jauger de la bonne distance sociale à adopter avec les gens : très rapidement elle peut se montrer très/trop familière et ça la conduit à commettre des impairs et connaître des déconvenues. Du coup, elle a eu tendance à se renfermer un peu sur elle. Nous suivons donc l’amitié naissante et son évolution entre Raidô et Aharen. J’ai trouvé Aharen très touchante : son physique (: elle est toute petite), sa voix fluette, sa doublure font qu’elle porte en elle une certaine fragilité touchante. La série est drôle et nous prend un peu à contre-pied sur ses derniers épisodes en changeant de ton et de visée. J’ai beaucoup aimé. 

 

In the Land of Leadale :

À cause d’un terrible accident, Keina Kagami a été placée sous assistance respiratoire. Son seul espace de liberté est le VRMMORPG Leadale. Un jour, l’appareil qui la maintient en vie cesse de fonctionner et Keina s'éteint.

Mais lorsqu'elle se réveille, elle se retrouve dans le monde de Leadale, 200 ans dans le futur. Elle incarne désormais la demi-elfe Cayna et possède des compétences et des statuts oubliés. Elle se rapproche alors des autres habitants de ce monde, notamment des enfants qu’elle avait créés en même temps que son personnage.

 

Commencée et pas encore finie. J’attends que tout soit bien mis en place pour m’en faire une idée. L'habitude m’a montré que les premiers épisodes ne sont pas le reflet du plaisir ressenti par la suite.



 

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  • 1 mois après...

Pas mal vu de séries animées ces temps-ci.

 

Le 22/10/2022 à 10:16, Edrahil a dit :

In the Land of Leadale :

À cause d’un terrible accident, Keina Kagami a été placée sous assistance respiratoire. Son seul espace de liberté est le VRMMORPG Leadale. Un jour, l’appareil qui la maintient en vie cesse de fonctionner et Keina s'éteint.

Mais lorsqu'elle se réveille, elle se retrouve dans le monde de Leadale, 200 ans dans le futur. Elle incarne désormais la demi-elfe Cayna et possède des compétences et des statuts oubliés. Elle se rapproche alors des autres habitants de ce monde, notamment des enfants qu’elle avait créés en même temps que son personnage.

 

Commencée et pas encore finie. J’attends que tout soit bien mis en place pour m’en faire une idée. L'habitude m’a montré que les premiers épisodes ne sont pas le reflet du plaisir ressenti par la suite.

 

Bon. Ben le moyennasse du début était bien à l’image de ce que la série avait à offrir par la suite. Cela frôle le nul selon mes attentes. Je n’ai pas ressenti d’enjeux ; quand il peut y en avoir sur certaines scènes, le personnage principal désamorce toutes situations tellement elle est forte. Ça déroule gentiment jusqu’à la fin s’en qu’on sache même ce qu’était l’intrigue principale… et on revient donc à mon questionnement de l’enjeu. Non vraiment il m’a fortement déçu ce In the Land of Leadale.

 

Remake Our Life !
Kyôya Hashiba réalise des jeux vidéo sans vraiment rencontrer le succès, mais lorsque sa société fait faillite, il retourne vivre dans la maison familiale. Tandis qu’il s’endort en se demandant ce qu'il aurait pu faire s'il avait choisi une autre voie, il se réveille dix ans plus tôt, quand il était sur le point d'entrer à l'université ! Cette fois, il fait un choix différent en s’engageant dans une voie plus artistique. Désormais en colocation avec trois autres étudiants, il se jure de réussir à bien reconstruire sa nouvelle vie…

 

Globalement je l’aurais bien apprécié. Classiquement il vient mettre un héros principal dans la position de se questionner sur ses choix de vie, son épanouissement passé, présent et futur (puisqu’il vient d’un certain futur (le sien)) et à se remettre en question. Tout ceci l’amène logiquement à modifier ses choix et son comportement à l’égard de son entourage. La connaissance de son avenir le pousse à agir différemment, générant par là-même des conséquences sur son futur.

On suit donc via l’animé un jeune homme à la recherche du bonheur où chaque décision peut générer un chamboulement ; il est écartelé entre le changement pour soi tout en s'évertuant à préserver le statu quo pour ceux qui avaient réussi. Mission impossible quoi.
Je lui reprocherais de ne pas être pleinement typé “SF” (à défaut de savoir comment le qualifier), comédie, romance ou autre. Il est un peu tout ça, c’est pourquoi en définitive je le trouve moyen partout bon nul part.

 

Horimiya
Hori Kyôko est la coqueluche de sa classe, une lycéenne jolie et populaire aux excellents résultats. Mais le soir venu, elle doit tenir la maison à la place de ses parents qui travaillent et s'occuper de son petit frère, Sôta. Un jour pas comme un autre, Sôta se fait mal dehors. Un garçon inconnu qui prend sur lui de le ramener chez sa famille, mais quand Kyôko leur ouvre la porte, c'est interloqué qu'il prononce son nom avec un soupçon d'hésitation. Elle se rend alors compte que la personne qui vient de ramener son frère n'est autre qu'un camarade de classe…

 

Ici on est dans le cahier des charges classique de la comrom. Quand c’est bien fait et que l’animé sait exploiter correctement son idée de départ, on obtient un animé fun à regarder (quand on apprécie le genre bien sûr). Et ce Horimiya sait très bien déployer son idée de départ et la conduire tout au long de l’animé via les tropes habituels du genre. Pour moi c’était du tout bon et j’ai adoré.

 

Higehiro
Yoshida, 26 ans et salarié dans une grande entreprise, a passé sa soirée à noyer son chagrin après une rupture sentimentale tout particulièrement difficile. En rentrant chez lui, il recueille une lycéenne ayant fugué, Sayu, qu’il héberge pour la nuit.

 

De tous les animés que je peux voir, celui-ci peut se targuer de s’élever au rang de “coup de coeur”. Parce que ça en a été clairement un. 
C’est une très belle relation humaine qui nous est dépeinte : on assiste au long cours de l’histoire à une relation d’attachement à forte charge émotionnelle. L’un et l’autre voit leur vie bouleverser par les effets de cette cohabitation : à l’instar d’une psychanalyse qui rejaillit toujours indirectement sur l’entourage du patient, cette cohabitation amène avec elle son lot de questionnements intimes qui font qu’au final, ils en ressortiront différents.
C’est clairement une relation émotionnelle qui se noue à défaut de savoir comment la qualifier différemment. Elle m’a fait penser à Lost in Translation de Sofia Coppola par certains aspects. En effet, on sent, on ressent, on voit ce lien qui s’est tissé entre les deux personnages, mais il est difficile de le qualifier. De le qualifier clairement avec certitude tout au moins.
Un très bel animé.

 

Presque mariés, loin d’être amoureux
Dans une classe de lycée, un projet est lancé pour éduquer les élèves aux bonnes pratiques du mariage. C’est ainsi que Jirô Yakuin, célibataire, se retrouve pseudo-marié à une fille de sa classe assez extravagante, Akari Watanabe. Tout les oppose, mais peu importe : ils pensent chacun que cette expérience va leur permettre de se rapprocher de leur crush respectif. En attendant, ils doivent tout faire pour jouer le couple idéal !"

 

L'idée de départ est un peu ripou et fleure bon la vision très traditionnelle de la vie de couple et du mariage. Mais bon, au vu du titre de la série animée on se doute bien que ce n’est pas une thèse de sociologie qui va nous être présentée mais plutôt une idée prétexte. Et pour le coup, le dessin-animé fonce sans se poser de questions et délivre situations comiques, grimaces, outrances et tout ce que les mangas de ce genre peuvent offrir et réussit à être bien fendard et neuneu à la fois. J’ai vraiment bien accroché ; c’est toujours un bon moment de visionnage.

 

Tsuki ga kirei
Les années collège dans la ville de Kawagoe ! Kôtarô travaille dans une librairie et il aimerait devenir écrivain. Akane est une jeune fille pleine d’énergie qui adore courir. Ils se retrouvent tous les deux dans la même classe et doivent s’occuper des équipements d’un festival de sport. Une relation naît doucement, malgré leurs caractères opposés, notamment à travers les nombreux échanges qu’ils ont sur LINE, un logiciel de discussion.

 

Un bien joli animé que ce Tsuki ga kirei. C’est joliment naïf mais cela sait reposer sur des vérités concernant l’incertitude des sentiments, les hésitations, les maladresses… C’est très limpide et dépouillé dans son intrigue et l’animé sait nous dresser la relation naissante de ces deux jeunes collégiens sans jamais verser dans des situations agaçantes qui révèleraient le jeune âge de nos deux jeunes héros. Il m’a vraiment charmé cet animé.

 

Koikimo
Ryô Amakusa, un homme célibataire et bon à marier, cherche à séduire Ichika, la meilleure amie de sa jeune sœur. Mais bien que la jeune fille repousse fermement ses avances, Ryô est persuadé qu’il a trouvé la femme de sa vie…

 

Un premier épisode un peu malaisant du fait de la différence d’âge mais surtout un malaise provoqué par le comportement limite du personnage principal masculin qui entre insistance, drague-lourde et balourdise nous met un peu mal à l'aise et dans la "gênance''. Mais heureusement par la suite, on comprend qu’on sera sur un traitement très “japonais” avec force exagérations, style grimacier et débridé qui sont plutôt bien réussis. Il ressemble d’ailleurs beaucoup à la série manga Takane & Hana qui repose aussi sur la différence d’âge, un homme sûr de lui et orgueilleux qui s’amourache d’une lycéenne. Ça n’est jamais graveleux et zarb’ (bien heureusement !) et c’est l’occasion de voir de beaux échanges et autres scud.
J’ai beaucoup aimé.

 

Recovery of an MMO Junkie
Moriko Morioka a 30 ans, elle est célibataire. Elle est surtout ce qu’on appelle une « NEET » (Not in Education, Employment or Training). Complètement déconnectée du monde réel, elle a trouvé refuge dans le monde d’un jeu vidéo en ligne, le seul endroit où elle se sent bien ! Là, elle commence une nouvelle vie sous les traits d’un séduisant jeune homme nommé Hayashi…

 

Semi-déception pour ma part. L’idée plutôt bonne m’a semblé être lourdement mise en place. En effet, l’animé repose sur une mise en abyme vie virtuelle/vie réelle. On y suit l’héroïne tisser des liens dans son jeu avec un personnage féminin qui est joué par un homme dans la vie réelle. Et inévitablement tomber amoureuse de la personne derrière le personnage. Il y a de multiples situations en miroir : virtuel/réel, perso femme joué par un homme/perso homme joué par une femme, avatar/personnalité réelle (…) et de ces situations naissent moultes quiproquos qui sont mal rendus de mon point de vue. Je suis resté un peu à côté de tout ça et n'ai jamais vu et ressenti la veine romantique se déployer comme l’intrigue la laissait présager.

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il y a 53 minutes, Edrahil a dit :

Non vraiment il m’a fortement déçu ce In the Land of Leadale.

Sincèrement, le coup du "je me réveille dans un jeu vidéo/monde parallèle heroic/fan" j'ai arrêté tellement c'est TOUJOURS la même chose sans la moindre surprise...

 

De mémoire, il n'y a bien qu'Overlord, lord of nazarick qui a trouvé grâce a mes yeux.

Et Slime, malheureusement, lui tape rapidement dans le grobillisme.

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  • 1 mois après...

Mes derniers visionnage de séries animées.

 

Amaama to Inazuma : l’histoire d’un veuf (professeur de lycée de son état) qui essaie d’élever tant bien que mal sa fille, et qui finit par trouver du réconfort et tisser un lien approfondi avec celle-ci à travers des cours de cuisine qu’il prend dans un restaurant dans lequel travaille une de ses élèves (fille de la gérante du restaurant). 
Se tissent alors des liens d’amitié entre eux. Nous suivons à chaque épisode un moment de vie de ce petit monde qui va tourner autour de la confection d’une recette.
Animé très simple et pure dans son idée poursuivie, sa grande réussite reste la manière dont est croquée Tsumugi -la petite fille-. Son attitude, ses réactions et son énergie toute enfantine sonnent juste et c’est vraiment la grande réussite de l’histoire.
Un agréable moment de passer à regarder cet animé.

 

Girlfriend, Girlfriend : moi qui n’aime pas les harem parce qu’on a toujours un héros velléitaire, imbécile et inconstant, incapable de décider, et que dans ces animés les filles/femmes semblent représenter un cheptel en totale acceptation de cette situation, avec Girlfriend, Girlfriend j’ai été servi :/
Ici on est clairement en présence d’un ménage à trois accepté et voulu. Je n’en ai pigé ni la logique, ni la représentation du sentiment amoureux. Une partie de moi est restée complètement étrangère à l’histoire déployée et une autre a su reconnaître l’aspect grobillesque de l’humour situationnel très japanime si j'ose dire. Finalement, l’hystérie de l’animé a su m’embarquer dans son délire, et je dois dire avoir plutôt passé un bon moment, même si le thème et l'idée sont bof.

 

Ooya-san wa shishunk ! et Joshi Kausei : deux animés aux épisodes très courts (2-3 min).
Le premier narre l’histoire d’un homme qui loue un appart dans une pension qui appartient à une collégienne. Cela donne lieu à des sketchs sur ce quotidien particulier entre tâches ménagères et vie de collégienne.
Le deuxième relate les gaffes de trois amies qui vont au lycée. Tout simplement.
Les deux animés sont très courts, vite vus, peut-être vite oubliés aussi (certainement), mais c’est le format qui veut ça ; toutefois c’est un bon moment. Y a plus de générique que d’animé 🙂

 

Cinderella Nine : “Quand Tsubasa Arihara entre au lycée municipal Rigahama, elle découvre qu'il n'y a pas de club de baseball ! Elle prend alors l'initiative de monter une équipe féminine. Ses recrues ? Des filles qui n'ont jamais touché une batte de leur vie, d'autres qui avait pratiqué ce sport mais ayant arrêté, ou d'autres encore aimant relever de grands défis ! Ce drôle de club va être confronté aux méandres de la jeunesse, entre disputes et encouragements. C'est ainsi que commence le plus chaud des étés que ce lycée a jamais connu…
Je ne pourrai pas dire mieux et plus que le résumé de cette série animée. Ça aura été un petit coup de cœur pour ma part. Un chouette animé sportif qui sait prendre son temps pour mettre en place son histoire, ses enjeux et son cadre. C’est ce qui m’aura peut-être le plus surpris : cette façon de ne pas aller à toute vitesse et pourtant donner cette impression que ça avance quand même vite. Par exemple : l’équipe en elle-même, met du temps à être constituée ; on ressent toutes les difficultés et la progression de ce club particulier.
J’ai passé un excellent visionnage et ai pu découvrir et mieux comprendre certaines subtilités du baseball. Autre point positif : certaines musiques collent bien à l’action et relèvent bien le tout.

 

L’étranger de la plage : déception et un peu vide j’ai trouvé. 
L’histoire d’un jeune écrivain homosexuel qui s’est retiré dans une pension isolée pour y vivre une vie tranquille et qui un jour est rattrapé par le jeu de l’amour et du hasard l’obligeant à requestionner son choix de vivre cacher pour vivre heureux. Ben c'était très moyennasse.

 

Asobi Asobase - Workshop of fun : on suit trois camarades de classe qui ont monté un Club de Joueurs dans leur collège et qui aiment se lancer des défis autour de jeux simples.
Un animé qui aura su remplir le contrat de me faire bien marrer ; chaque épisode est organisé autour de 3-4 petits arcs narratifs présentant le délire du moment de nos collégiennes. C’est bien fendard ; les réactions de nos jeunes héroïnes, avec force exagérations et grimaces, accentuent l’aspect cartoonesque et hystérique qui passe crème et ajoute de la drôlerie à la drôlerie.

 

Are you lost ? : ici à la suite d’un accident d’avion, quatre amies échouées sur une île déserte doivent mettre en place des stratégies de survie en attendant un hypothétique sauvetage. J’ai passé un excellent moment à suivre cette courte série (12 x 12 min). Dans l'esprit, cela m’a beaucoup rappelé Man Vs Wild et Bear Grylls puisque parmi les quatre adolescentes, une s’y connait particulièrement bien en matière de survie et débrouillardise (son père explorateur aventurier lui a inculqué tout ce qu’il faut savoir dans ce type de situation extrême). La vie est bien faite. quand même :).


 

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  • 2 semaines après...

Osamake : Romcom where the childhood friend won’t lose
Lycéen, Sueharu Maru a craqué sur la belle Shirokusa Kachi, une fille brillante qui a tout pour elle. Mais pour l’adolescent, elle est hors de portée et ça le déprime ! Sa meilleure amie d’enfance, Kuroha Shida, tente de le réconforter. Il faut dire qu’elle est mignonne, joyeuse et qu’elle aime s'occuper des autres.

 

Une énième série animée avec une indécision sentimentale à la clef et les errements sentimentaux qui vont avec. Je l'ai suivi sans déplaisir. Mais au terme, je me pose la question de savoir si mon plaisir au visionnage était vraiment présent ? Je ne saurais dire. Un comble. Je suppose que dans ces cas-là on dit : “j’ai aimé mais sans plus” ; mais j’ai quand même envie de dire que j’ai passé un “bon moment”. Je pense que la faute vient des motivations pas très claires, assumées et changeantes des personnages principaux.

 

Love of Kill
La tranquille chasseuse de primes Chateau et le mystérieux et puissant tueur à gages Ryang-ha s’affrontent et deviennent ennemis après ce combat. Du moins, ils auraient dû, mais pour une raison étrange, Ryang-ha s’attache à Chateau et commence à la suivre partout.
Petit à petit, Chateau coopère avec Ryang-ha qui l'entraîne dans la lutte contre les organisations qui le traquent. Une bataille également liée à son passé…

 

Une première saison qui en appelle clairement une seconde. Le passé des deux protagonistes principaux est distillé tout au long des douze premiers épisodes tant et si bien que tout n’apparaît être en place qu’au dernier épisode de cette première saison. Le plus intéressant dans cette série aura été la difficulté à juger des motivations et du comportement du personnage masculin. Le monsieur est trouble et ambigu dans ses motivations. A juger donc pleinement sur une deuxième saison.

 

Presque mariés, loin d’être amoureux
Dans une classe de lycée, un projet est lancé pour éduquer les élèves aux bonnes pratiques du mariage. C’est ainsi que Jirô Yakuin, célibataire, se retrouve pseudo-marié à une fille de sa classe assez extravagante, Akari Watanabe. Tout les oppose, mais peu importe : ils pensent chacun que cette expérience va leur permettre de se rapprocher de leur crush respectif. En attendant, ils doivent tout faire pour jouer le couple idéal !

 

Ce que je pouvais en dire sur les premiers épisodes visionnés : L'idée de départ est un peu ripou et fleure bon la vision très traditionnelle de la vie de couple et du mariage. Mais bon, au vu du titre de la série animée on se doute bien que ce n’est pas une thèse de sociologie qui va nous être présentée mais plutôt une idée prétexte. Et pour le coup, le dessin-animé fonce sans se poser de questions et délivre situations comiques, grimaces, outrances et tout ce que les mangas de ce genre peuvent offrir et réussit à être bien fendard et neuneu à la fois. J’ai vraiment bien accroché ; c’est toujours un bon moment de visionnage.

 

Le bilan de cette première saison qui vient de s’achever, sera pour moi une chouette comrom, qui, certes sait délivrer le cahier des charges de ce type d’animé, mais sait également le restituer de façon originale dans le ton (c'est à dire avec ses propres travers) pour me le rendre intéressant. Il sait pour le coup illustrer les hésitations et les émois de nos jeunes héros tout en étant naïf et mignon dans son approche avec une touche de polissonnerie pas des plus fines mais “utiles” dans le développement de l’histoire. C’est d’ailleurs même une des composantes de l’animé clairement assumée : à intervalle régulier y a du fan service qui sert de ponctuation à la narration de l'ensemble.

Je dois dire qu'il m'aura bien plus.

 

Bocchi the rock !

Hitori "Bocchi-chan" (la petite solitaire) Goto est une lycéenne introvertie qui ne vit que pour sa guitare. Chaque jour, elle ne fait rien d'autre que de gratter son instrument, toute seule à la maison. Cependant, sa vie change lorsqu’elle rencontre un jour Nijika Ijichi qui cherche une guitariste pour son groupe appelé "Kessoku Band".

 

En fait, comme le résumé ne l’indique pas, cet animé traite principalement de l’anxiété sociale (trouble dont souffre la jeune Hitori). Nous suivons son désir de s’ouvrir aux autres et son souhait d’être moins en souffrance lors de ses interactions sociales. Pour ce faire, elle intègre un groupe de rock et fait l’apprentissage de l’amitié et autres joyeusetés de la vie.

L’animé a le bon goût de prendre son temps sur les progrès de la jeune héroïne : son amélioration est lente, pleine d’hésitations et les progrès sont douloureux et fragiles, lui demandant de grand effort. À la fin des 12 épisodes, nous l’avons vue certes progresser dans son émancipation de sa timidité, mais on est aussi pleinement conscients que c’est la politique des petits pas qui est en oeuvre dans cette histoire.

Autre point positif, lors de certaines séquences musicales, quelques plans et cadrages cools rendent ces séquences bien dynamiques.

J’ai beaucoup aimé cette série.

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Le 19/10/2020 à 20:28, madcollector a dit :

J'adore Genndy Tartakovsky (Samurai Jack, Clone Wars)

 

J'ai donc bien évidemment commencé à regarder son Primal.

 

On est dans la ligne direct de la dernière saison de Samurai Jack : du storyboarding de ouf, des couleurs somptueuses...

Niveau character design on est sur du pur Tartakovsky. Ca me fait beaucoup penser à sa mini série Cage chez Marvel.

 

J'ai enfin vu la saison 2 et j'ai ramassé encore plus fort qu'à la vision de la première ! Qui pourtant, m'avait déjà bien éclaté (dans tous les sens du terme).

Et si jamais vous hésitez encore, c'est le père Dahan qui en parle le mieux sur Tutube :

 

Primal : la minute Yannick Dahan

 

 

 

 

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