Les bouquins avec que des mots dedans

[Edrahil]

@martus Merci pour ces retours toujours très intéressants.

[madcollector]

Le 29/02/2020 à 08:43, Cd_aaargh a dit :

Sans transition, dans les trucs où j'ai pas pu tout lire... Il y avait le cycle d'Alvin le Faiseur de Scott Orson Card. C'est une uchronie dans les États-Unis du XIXème où les gens peuvent avir un "talent" magique et c'était très chouette (ni trop sombre ni trop niais) !

Lu le premier tome depuis ton post... je me rappelle déjà plus de la fin. C'était sympa mais j'ai pas eu la claque d'Ender.

 

Me suis aussi fait la dernière nouvelle du cycle de Penric et Desdemona (de la toujours excellente Lois McMaster Bujold) : moins bon que les nouvelles précédentes (selon Bibi).

Là je suis dans les suites de A la Croisée des Mondes. C'est sympa, sans être wahou non plus. J'avais complètement oublié la fin de la trilogie originale.

 

En fait je suis ptet un poisson rouge.

[Cd_aaargh]

Au moins, tu n'as pas détesté !

Oui, c'était sympa, l'univers se met en place, tu peux toujours essayer la suite.

[madcollector]

Je viens de finir Will Save the Galaxy for Food, de Yathzee Croshaw, l'auteur de Mogworld.

 

J'avais trouvé Mogworld sympa, mais le mélange des genres (no spoiler) m'avait laissé un sentiment de truc bâtard mal construit.

Ici je me suis poilé, l'intrigue bien ficelée, bref je recommande vivement. J'ai vu qu'une suite est sortie, il va me la falloir.

 

Le pitch :
 

Révélation

 

Dans un futur proche, les Pilotes Spatiaux ont eu leur Age d'Or, mais il est fini. Plus de sauvages à délivrer de l'oppression, plus de princesse alien à marier. L'avènement de la téléportation les a relégués au rang de promène-touristes désargentés, ou de pirates. Notre narrateur a lui aussi sauvé une planète, mais peine à trouver du travail. Même ses aventures d’antan ne lui rapportent rien : cette sangsue de Jacques McKeown se les est attribuées dans ses romans best-sellers.

Et puis un jour, il est embauché pour remplacer au pied levé un autre pilote ayant fait faux bond. Il est alors pris dans une spirale d'emmerdes. Le job : promener le fils d'un mec très riche mais très louche. Le pilote original qu'il doit remplacer : l'auteur à succès Jacques McKeown. C'est là que tout part en sucette.

 

 

[Edrahil]

Deux lectures très nineties ; des livres qui se finissent par une pub à la fin pour un abonnement un an à Casus belli pour 195F. Le décor est posé, nostalgie...

 

   La Forêt maudite de Chet Williamson.

 

Un roman d'épouvante dans la lignée de S. King. Du drame, un psychopathe, des meurtres, beaucoup de petites histoires annexes à la principale, des sentiments, des histoires de familles, une police dépassée... Bref, un agrégat de beaucoup de choses. Et je ne vous ai pas parlé du cimetière indien ! 

Blague à part, j'ai pris un gros plaisir à sa lecture. Si au départ on ne sait pas trop où l'auteur veut nous embarquer, il parvient au fur et à mesure à lier tout ça pour en tirer une histoire globale, tout à la fois riche et superficielle, mais très divertissante. En plus le titre c'est "La Forêt Maudite", et ça prend du temps à justifier ce titre, nous laissant par là-même expectatifs devant les intentions de l'auteur.

Au final, devant ce roman pour lequel j'aurai bien du mal à vous fournir un résumé concis et cohérent, je peux en revanche le conseiller à ceux qui aiment et ont aimé lire les King ado.

 

   Assassinat à Halruaa de Richard S. Meyers.

 

Ici le concept de ces ouvrages c'est : une intrigue et une enquête "à la Agatha Christie" dans l'univers des Royaumes Oubliés (D&D). 

Résumé éditeur : "Pryx Covington s'est cru très malin quand il a emprunté un confortable manteau à un cadavre découvert par hasard. Hélas, un détail crucial lui a échappé. Car le mort était Darlington Lamm, un des plus grands aventuriers, magiciens et héros des Royaumes. D'abord ravi d'être traité comme un prince - puisque tout le monde le prend pour Lamm -, Pryx s'aperçoit vite qu'il y a un revers à la médaille. Primo, celui qui se fait passer pour un mage, à Halruaa, est puni de mort. Secundo, celui qui est soupçonné d'en avoir tué est aussi bon pour la potence. Pris entre deux feux, Pryx n'a plus qu'une solution : découvrir qui est l'assassin et le livrer à la justice !"

 

Pas grand chose à en dire sinon que je l'ai largement préféré à "Meurtre au Cormyr" dans la même collection. Histoire mieux menée et plus passionnante sans que ce ne soit une lecture incroyable, c'est plus par nostalgie et amour des Royaumes Oubliés que de temps en temps je me replonge dans ce type de lectures. Elle fait le travail de me divertir et c'est déjà pas mal.

[Pallantides]

Ce n'est pas Conan, mais ça ressort en ce moment chez Bragelonne dans la collection 10 ans - 10 romans - 10 euros.

Une bonne occasion de (re)découvrir Kull à moindre coût. Pour info, le contenu est identique au volume paru chez Brage' il y a quelques années.

 

Modifié le 11 juin 2020 par Pallantides

[martus]

Mes dernières lectures, 2 suites et une biographie :

 On commence par le T3 de la saga TRAQUEMORT de Somon R. Green.

Le Pitch : « Je te vois, Traquemort. Tu auras beau te débattre, la destinée te tient entre ses griffes. »
Et cette destinée a fait d'Owen Traquemort un proscrit dans un empire interstellaire où règne la tyrannie, l'injustice et la corruption. Mais la rébellion s'est levée dont il est aujourd'hui la figure emblématique. Les forces de la révolution sont en marche. L'heure est venue de frapper. Et le chemin se dessine qui conduit de la planète rebelle de Brumonde à la capitale Golgotha, noyau de l'Empire, où se terre l'impératrice Lionnepierre au cœur de son palais souterrain.
C'est un chemin de sang. Armes terrifiantes, pièges malicieux, trahisons et revirements, il ne sera rien épargné au Traquemort et ses compagnons pour aboutir à l'ultime affrontement contre la « Garce de fer ». Allumer le feu d'une révolte est une chose, gagner la guerre en est une autre. Voici la troisième époque de la geste Traquemort.
Mon Avis : ce volume qui s'appelle La Guerre porte très bien son nom : il relate 3 grosses batailles sur différentes planètes entre l'empire et la rebellion avec à chaque fois une partie  de nos protagonistes impliqués. Ce tome est plus sombre que les précédents (la guerre c'est moche) mais sait préserver ces touches d'humour. Il est également riche en révélation et sait nous teaser pour continuer la lecture de la saga. Un gros pavé passionnant, je ne suis pas déçu.

 

J'ai enchainé avec ça:

 

Le Pitch : Pudique et discret, Laurent Ruquier s'était, jusqu'à ce jour, très peu dévoilé. Pour la première fois ici, il prend la plume afin de se raconter. Sa passion de la radio en fil conducteur, il revisite son enfance, son incroyable carrière, et revient sur les étapes qui ont construit l'homme de radio et de télévision qu'il est devenu. Premiers pas, rencontres déterminantes, amitiés décisives, succès et échecs, Laurent Ruquier retrace son parcours personnel, multipliant, avec l'humour qu'on lui connaît, les anecdotes plus savoureuses les unes que les autres.
De sa jeunesse dans une famille modeste du Havre jusqu'aux coulisses du monde des médias, le livre intime d'un animateur indépendant, un homme des ondes populaire et sans langue de bois.
Montez le son, ça va commencer...

Mon Avis : J'ai eu une période ou j'aimais beaucoup Laurent Ruquier à la radio (Europe 1 et son arrivée sur RTL  avec les grosses têtes), pas trop à la télé. J'avoue que je me suis un peu lassé maintenant mais j'étais curieux de connaitre un peu mieux le personnage. La lecture est plaisante et les nombreuses références (étant de la même génération que lui) m'ont parlé et même fait l'effet madeleine de Proust (Pierre Doris,  les envolées lyriques Jacques MARTIN/Jean Yanne aux grosses têtes du temps de philippe bouvard,...)

Donc j'ai aimé et apprécié les nombreux  bons mots  des modèles de Laurent qui parsèment le livre . Ma préférée  est de Jacques RAMADE, même si elle date un peu  : " en URSS on confisque les biens, en France on garde les mauvais". Je trouve ça brillant.

 

Enfin j'ai terminé par  les soeurs Carmines, T2:

 

Le Pitch :

Trois semaines séparent Tristabelle Carmine du Grand Bal de la Reine. Trois semaines pour trouver la robe de ses rêves, un masque, une nouvelle paire d’escarpins... et aussi un moyen d’entrer au Palais. Car Tristabelle n’a pas été invitée. Mais ça, c’est un détail. Tout comme les voix dans sa tête ou cette minuscule série de meurtres qui semble lui coller aux talons.

En tout cas, elle ne compte pas rater la fête. Quitte à écumer les bas-fonds surnaturels de Grisaille, frayer avec des criminels, travailler dans une morgue ou rejoindre un culte. S’il le faut, elle ira même jusqu’à tuer demander de l’aide à sa petite sœur. Car Tristabelle Carmine est une jeune femme débrouillarde, saine et équilibrée. Ne laissez pas ses rivales ou ses admirateurs éconduits vous convaincre du contraire. Ils sont juste jaloux. Surtout les morts.

Mon Avis : que j'aime cette série, elle apporte son lot de fraicheur et  ça fait du bien. L'auteur développe son univers à la tim BURTON, avec Grisaille la cité aux 243 cimetières et ses jours de la semaine qui vont de Longhain à Samhain sans oublier Démence.

Après avoir suivi dans le tome 1 les aventures de Merryvere Carmine, une monte-en-l'air accablée par la poisse, nous rentrons dans la tête et les pensées de Tristabelle Carmine, l'ainée  dont la description suivante parle d'elle-même : "yeux bleu-glace et cheveux auburn – une combinaison aussi chaleureuse qu’un incendie, le soir de Noël, dans un orphelinat… Tic de l’é-lo-cu-tion. Possède son portrait (et quel portrait !) dans tous les manuels de psychologie, chapitre “Sociopathes fonctionnels”, Armes de prédilection : Ombrelle, violon, sarcasme,Aime : Tristabelle Carmine.N’aime pas : Le reste.

Et pourtant On ne peut s’empêcher d'apprécier ce personnage haut en couleur. Bref un must, je ne vais pas tarder à attaquer le tome 3, Dolorine à L'ecole, qui s'attachera à la cadette  (8 ans ) de la famille. Avec sa poupée psychopathe, M. Nyx qui veut foutre le feu partout et tuer tout le monde, ça promet.

Note : lorsque j'ai commandé ces livres à mon libraire, j'ai appris qu'ils étaient classés jeunesse. Ils adoptent cependant des thèmes très matures et parfois sombres.

[madcollector]

Le 25/05/2020 à 19:46, madcollector a dit :

Je viens de finir Will Save the Galaxy for Food, de Yathzee Croshaw, l'auteur de Mogworld.

 

Et là je termine Sacré Bleu de Christopher Moore.

 

Le pitch :

1890. Vincent Van Gogh est assassiné à Auvers-sur-Oise par un mystérieux dealer de bleu, « l’Homme-aux-Couleurs ». Toulouse-Lautrec mène l’enquête. Il enrôle son ami Lucien Lessard, peintre-boulanger de la butte Montmartre. Mais Lucien n’a qu’une obsession : brosser le portrait de Juliette, muse magnétique, qui vient de lui offrir un tube de bleu très rare …

 

Mon Avis :

J'adore Christopher Moore. J'avais adoré l'Agneau, un peu moins aimé un blues de Coyote.

Pour Sacré Bleu, j'appréhendais un peu le traitement de Montmartre au tournant du XXème siècle par un Américain. Mais le monsieur s'est clairement document, et l'atmosphère est superbe. Moore arrive à mélanger la dure vie des gens simples, celle des artistes, et son humour toujours piquant.

Allez-y, foncez, c'est drôle et intelligent

 

Quelques mots sur l'Agneau si vous ne l'avez pas lu. Petit résumé Fnac :

Citation

Mais où a donc bien pu passer Jésus-Christ entre douze et trente ans, entre le jour où il époustoufle les docteurs de la Loi à Jérusalem et celui où il réapparaît sur les bords du Jourdain ? Seul Biff, le meilleur pote du Messie, le sait et c'est précisément pour nous le raconter qu'on l'a ressuscité d'entre les morts.

En fait, l'histoire que Biff nous narre est en elle-même miraculeuse, pleine de voyages remarquables, de guérisons magiques, de Kung Fu, de gourous, de résurrections des corps, de démons et de filles aussi ravissantes que libérées.

Ce livre répond enfin à la question que tout le monde de pose : et si Jésus avait été moine Shaolin.

[Elrad]

Je l'ai pas fini, mais je l'apprécie beaucoup :

 

 

Le Pitch :

 

Inspiré du format d'un ouvrage sur la seconde guerre mondiale rassemblant des témoignages de différents acteurs, Max Brooks, fils du (à mon sens) génial Mel Brooks (La folle histoire de l'espace, la folle histoire du monde, Frankenstein junior, Dracula mort et fier de l'être, Vie de chien, etc.) propose un recueil de témoignages de gens qui auraient survécu  à la guerre contre...les Zombies.

 

Mon avis (jusqu'ici) :

 

Je l'ai commencé et jamais achevé il y a des années. Et le relire au moment de notre Covid-19 est assez épatant. Bien que nous soyons dans une fiction pure, les comportements décrits par l'auteur et les propos qu'il met dans la bouche de ses personnage pourraient bien faire penser à certaines choses que l'on a vues et dont on nous a matraqué l'esprit durant ces deux à trois mois de confinement. On regrettera que certains point-de-vue soient un peu faibles (surtout concernant les nations non-occidentales) et l'absence de certains pays (on ne lui demandait pas la lune, c'est certain). 

 

La lecture reste agréable surtout au début (les cause, la grande panique, etc.) mais certaines pages sont tout bonnement lourdes et inintéressantes. On sent que l'auteur est à l'aise avec certains passages parfois très hollywoodiens si je puis me permettre et des dialogues qui ne s'embarrassent pas d'une étiquette ou d'une prose pompeuse (les gros mots fusent parfois). Néanmoins, j'essaierai de le terminer cette fois. 

 

Sachez que je n'ai pas aimé du tout le film, que j'ai vu une jaquette PS4 pour un jeu basé sur ce bouquin (sans chercher plus loin, j'avoue) et que je trouve que ce genre de livre pourrait faire l'objet d'un WIKI où chacun imaginerait "son" témoignage au vu des endroits où il a vécu, etc. et comment il se verrait après avoir échappé aux morsures de sa belle-mère transformée en zombie... ou de son beau-père... ou de son pire ennemi... bref :-D 

 

Une bonne lecture en général et dépaysante mais qui souffre, invariablement vu le format, de certains essoufflements et de petites faiblesses.

 

EDIT : j'ai relu mon texte, corrigé les quelques fautes que j'y ai trouvées et changé certaines redondances. 

 

Modifié le 20 juin 2020 par Elrad

[Elrad]

 

Pitch : 

 

J'envoie du lourd, que j'ai jamais terminé (c'est une coutume, chez moi, je sais) mais après avoir bouffé près de dix tomes, j'en ai eu assez. Il s'agit d'un de ces très longs cycles fleuves et volumineux. Il conte l'histoire du brave garçon et de la brave fi-fille qui tombent amoureux, du vieux sorcier zinzin et du méchant papa-à-la-Dark-Vador qui veut tout niquer comme on dit. Alors il y a la rencontre entre Ken et Barbie (ici Richard Rahl et Kalan Amnell), les sbires du Dark vador local qui cherchent un vieux grimoire pourri qui a disparu depuis longtemps et le vieux sorcier omniscient qui sait comment tout va se passer et qui emmène les jeunes quasi-tourtereaux en balade dans cette partie du monde pour arrêter Darken Rahl (le Dark vador local).

 

Mon avis :

 

Malgré mon pitch un peu moqueur, j'avoue avoir et continuer de beaucoup aimer ce long fleuve d'heroic-fantasy. Néanmoins et sans-doute est-ce mon côté "nunuche", mais une chose que j'aime pas chez Goodkind et que je détestais déjà chez Martin avec Game of Thrones : c'est la violence psychologique et physique. Comprenez-moi, je ne dis pas qu'il faut tout édulcorer constamment comme on faisait avant, mais les séances de tortures physiques et psychiques parfois détaillées à l'extrême et la cruauté pure décrite sans ambages... bon disons que c'est pas mon truc et honnêtement, je ne pense pas que l'oeuvre en avait besoin. 

 

Le rythme est bon, on ne s'encombre pas trop de descriptions pesantes (j'ai jamais été fan, ce que j'imagine se traduit malheureusement mal en mots - défauts d'éducation et de visualisation des choses sans doute, en géométrie et en dessin ça s'est vu, bref). L'intrigue se laisse lire et on est emballé. Si j'ai lu plusieurs tomes, c'est que ça me plaisait tout autant d'en ouvrir un nouveau qu'un nouvel Harry Potter quand j'avais 12-13-14 ans (pardonnez, je commence à gâtouiller, ça c'est l'âge). Je me suis très vite attaché au personnage de Kalan et j'ai assez vite trouvé celui de Richard moins intéressant. 

 

Est-ce que je conseille ? Allez l'emprunter en bibliothèque et voyez si ce énième (grand) cycle de fantasy est fait pour vous. Personnellement, ça m'a bien plu et je relis cela avec plaisir comme une oeuvre à relire (alors qu'en y revenant, on se rend compte que le récit est peut-être moins ciselé par endroits qu'on aurait souhaité, enfin bref). Goodkind continue d'écrire et d'écrire encore, son univers est cohérent et bien construit, on devrait en tirer un bon jeu vidéo tiens. Une série télé a d'ailleurs été tirée des livres mais elle les déforme (comme à l'habitude dans les adaptations en général) et du coup je m'en tiens aux bouquins. 

 

En réalité, je suis partagé comme vous avez pu le lire : j'ai envie de vous dire : "foncez !" :-) Et en le relisant maintenant, après plusieurs années, je retrouve le charme de l'époque qui me faisait lire des heures durant tout en découvrant des choses que j'aime, à présent, moins. 

 

Bonne lecture :-)

Modifié le 20 juin 2020 par Elrad

[Elrad]

 

Le Pitch

 

Alors, ici pour mon troisième post, je parle d'un petit ouvrage déjà sorti en version anglaise dans les années 1980 et qui s'accompagne d'une suite appelée, en anglais The Te of Piglet (le Te de Porcinet). L'auteur, américain, a étudié le taoïsme tant en Occident, qu'en Orient et au détour d'une conversation, le nom de Winnie lui est sorti pour donner,  à un de ses amis, l'exemple d'un grand maître occidental. L'idée du bouquin était lancée : expliquer le taoïsme avec Winnie l'Ourson. c'est parti !

 

Mon avis

 

Je l'ai lu en français avant d'acheter pour une bouchée de pain l'intégrale des deux ouvrage : The Tao of Pooh et The Te of Piglet. Bien que je ne parle que du premier, je dirai un mot du second. Pour une fois, sur les trois ouvrages que j'ai présentés, en voici un que j'ai fini :-) J'ai beaucoup aimé. Non seulement les retrouvailles avec un de mes héros d'enfance préférés (oui, on riait de moi sur la cours d'école primaire quand je disais aimer Winnie...), mais aussi les leçons de vie ou les confirmations de leçons de vies qui y sont contenues. Il y a des images (ah flute, du coup ça rentre plus dans le topic, ça ) très jolies et surtout, l'auteur est en constant dialogue avec les personnages pour expliquer le taoïsme. On le voit discuter avec Porcinet ; enguirlander Winnie qui marche dans les mots que l'auteur écrit et fait des taches d'encre sur la page ; Coco Lapin et Maître Hibou qui tour à tour se plaignent et sermonnent, l'auteur qui se dit qu'il doit bouger de pièce pour pouvoir continuer à bosser, etc. C'est très vivant et très touchant et on boucle la lecture le sourire aux lèvres. Pourvu qu'on ait l'esprit dégagé et  à cela en lisant. Un membre de ma famille qui se trouve dans certains problèmes et à qui j'ai donné ce livre à  lire m'a répondu, des mois plus tard : "Je suis désolé, mais je n'ai pas l'esprit à ça". Bon. 

 

Un mot, oui un mot, sur le Te de Porcinet (TheTe of Piglet). A la différence du Tao de Winnie, ce second ouvrage est malheureusement trop rigide. On a encore des images mais plus rares (du coup il rentre mieux dans le topic ) et moins de dialogue entre l'auteur et les personnages. En fait, l'auteur laisse les personnages disserter (souvent dans le vide) et reprend la plume quand il semble lui-même fatigué de ces déviations. Le propos est plus collégial, moins dialogué, on s'endort facilement et finalement, le pauvre Porcinet passe un peu à la trappe. Winnie était au coeur du premier ouvrage et sa bonhommie lui permettait d'entrer en dialogue avec l'auteur de manière franche et directe, quitte à dire et faire des étourderies. Porcinet, forcément plus timide, commet de bourdes énormes mais trop peu souvent on le voit s'expliquer. Pour rester clair : le Tao de Winnie est un dialogue quasi-permanent. Le Te de Porcinet est une leçon émaillée de rares dialogues qui, hélas, ne font pas toujours progresser le récit. C'est dommage et je n'ai pas achevé ma lecture du Te de Porciner à cause de ça. 

 

Je ne veux pas dire qu'il faille réduire le taoïsme aux aventures de Winnie l'Ourson, mais quitte à avoir une façon de faire qui fait recette (le Tao de Winnie est mondialement connu et traduit à gauche et  à droite), autant la garder et si le personnage s'y prête moins, essayer de le rendre plus vivant, c'est pas ça qui le déformera par rapport à ce que son créateur en a fit dans les histoires originales.

 

Bonne lecture :-)

 

[Edrahil]

   Code Quantum - Prélude de Ashley McConnell

 

Un roman que j’avais lu en 1996 à sa sortie, que j‘ai souhaité relire. A l’époque j’avais lu tous les romans Code Quantum. J'adorais cette série. Je l’adore toujours d’ailleurs !
Pour situer ce dernier, l’histoire qui nous est contée est celle d’avant l’épisode pilote de la série. On y suit Sam Beckett dans ses recherches qui sont toutes à la fois des recherches scientifiques et des recherches de subventions pour aboutir au centre “Code Quantum”. On y retrouve avec plaisir les personnages de la série : Al, Gushi, Sam… Un plaisir de lecture qui s’adresse quand même à la frange la plus nostalgique et passionnée de Code Quantum.
De l’ensemble de la série de ces romans consacrés à Code Quantum, c’est le plus intéressant. Les autres sont dispensables parce qu’ils se contentent juste d’être des résumés de certains épisodes. Et même pas les plus marquants de la série en plus. Toutefois je conseillerai quand même le roman consacré au Pilote de la série qui était bien lui aussi.

 

   Tendre jeudi de John Steinbeck

 

Résumé éditeur : “Depuis la guerre, bien des choses ont changé rue de la Sardine. Ses amis s’inquiètent pour Doc, qui peine à terminer sa thèse et semble se replier sur lui-même. Quant à la tenancière du bordel, elle se demande si sa nouvelle recrue a bien le profil de l’emploi. C’est alors qu’une idée complètement loufoque se met à germer dans le cerveau des habitants du quartier. Qui sait si, à force de ruse et de générosité, ils ne parviendront pas à atteindre leur but ?”
Tout est dit avec ce résumé. Pour ceux qui l’ignorent Steinbeck ce n’est pas forcément de la littérature où on se marre (Les raisins de la colère, Des souris et des hommes, A l’est d’Eden pour les plus connus) et avec Tendre Jeudi il nous offre un roman où l’histoire est pleine de légèreté avec des personnages tous plus hauts en couleur les uns que les autres. Il parvient à nous plonger avec ces personnages dans une rue (la rue de la Sardine) qui sera le seul cadre du roman, nous mettant en dehors du temps et de tout. L’ambiance se fait presque onirique tellement les perso de ce roman semblent barrés, une vraie brochette d'hurluberlus. J’ai beaucoup aimé ceci dit.

 

L'Empire de l'Imaginaire - Gary Gygax et la naissance de Donjons et Dragons de Michael Witwer

 

La biographie de Gary Gygax tout simplement. L'auteur s'attache à montrer le cheminement qui aboutit un jour à la création de D&D à travers la personnalité fortement empreinte d'imaginaire de Gygax et son parcours chaotique fait de trahison, coup-bas...

 

[Olorin]

Ah code quantum...... Que de souvenirs ! 

[Edrahil]

   Kull le Roi Atlante de R.E. Howard.

 

Quoi dire d'autre que c'était très bien comme lecture. J'ai particulièrement aimé les tailles des histoires, souvent courtes, ou tout au moins n'excédant jamais la trentaine de pages. Ça les rendait bien nerveuses comme il faut, parvenant à maintenir les atmosphères de bout en bout du récit.

De la très bonne came que ce proto-Conan. 

 

    Quentin Tarantino : Un cinéma déchaîné (ouvrage collectif).

 

Lecture pour laquelle je suis partagé. Sans dire que je l'ai aimé, je ne peux pas dire que je l'ai détesté pour autant. Le point bloquant c'est le style. Les auteurs en fait. On a affaire à un ouvrage pluridisciplinaire de spécialistes qui y vont chacun de leur analyse sur la filmo de QT (des universitaires, des anciens des Cahiers du Cinéma, des anthropologues...) Et le problème c'est qu'ils apparaissent comme des présomptueux pisse-froids verbeux qui poussent l'analyse jusqu'à la branlette et qu'ils en deviennent ridicules et par là-même fascinants. Et insupportables aussi. Est-ce que vous voyez l'état d'esprit avec lequel on peut lire ce genre de livre ? C'est hyper-intellectualisé mais pour quoi faire en définitive (?) Les types coupent les cheveux en quatre sans aucune passion ; c'est un peu l'impression qu'ils font. La passion, l'enthousiasme, l’œil qui brille... rien de tout ça.

Lisez plutôt ceux-là si vous voulez de bons ouvrages sur le cinéma de Tarantino :

 

   Pulp Fiction de Jason Bailey (un passionné) et Quentin Tarantino d'Alberto Morsiani.

 

Des lectures agréables, pleine d'anecdotes et d'analyses juste comme il faut.

 

 

 

 

[madcollector]

il y a 41 minutes, Edrahil a dit :

des présomptueux pisse-froids verbeux qui poussent l'analyse jusqu'à la branlette

[Ariochson]

En ce moment, je dévore les 2 premiers tomes d'Incarnatis : de la magie pour initiés / de la réincarnation / un monde post moderne faisant suite à une gigantesque catastrophe naturelle (ou pas?) avec plusieurs castes bien marquées

 

 

J'avais découvert le concept lors du salon du fantastique l'année dernière... après un petit papotage avec l'auteur Marc Frachet je me suis laissé tenté  (et mis dans un tas de lecture depuis)

il s'agit de lecture "augmentée" : régulièrement (je dirai à vue de nez une quinzaine de fois par bouquin) il y a des QR code qui permettent d'accéder à des musiques d'ambiance, des illustrations, des audios (des archives orales expliquant certains termes, le discours d'un dirigeant, etc...)

==> ça apporte un petit plus sympa, sans être indispensable ou intrusif

Petit bémol : le tome 1 bénéficie d'une application qui permet de stocker les QR codes débloqués et de les utiliser hors connexion, le tome 2 n'en bénéfice pas et c'est dommage

(tout le tome 1 j'ai lu tranquillement en stockant les parties audio pour mes trajets en RER)

 

Le tome 3 arrive cet automne (suite à un ullule)...

 

J'aime beaucoup, c'est plaisant et "facile" à lire...

 

[Helyss]

J'ai un à priori pas très positif, mais je me suis laissé aller au concept du "bouquin des vacances" et j'ai pris ça. car si je connais le fluff (rabaché (quasi au mot près) à chaque édition) de loin, j'aimerais qd même y jeter un œil. Là encore, le packaging m'a eu.

J'en avait commencé un sur les Eldars (ma race "de coeur" depuis la créations des temples aspects et de 2-3 pages de concepts dans un white dwarf) mais je n'ai pas réussi à aller très loin. sais plus où il est, d'ailleurs.

Donc, on verra... Mais je ne vais certainement pas le finir. Pas assez de vacances, ma bonne dame*...

 

 

 

* C'est surtout que je fais autre chose. ^^

[madcollector]

il y a 29 minutes, Helyss a dit :

j'ai pris ça

J'ai lu le premier tome de sa saga Eisenhorn (avant ceux-là) parce qu'on me l'a survendu. Et puis parce que j'aime bien ses BD.

Mais le style austère m'a refroidi. Donc pas super envie de lire les suites.

 

Et puis le personnage principal est pas super attachant.

 

A ce propos je viens de finir Sir Apropos of Nothing, de Peter David (autre auteur de comics).

Alors d'habitude j'aime bien les héros un poil lâche et cyniques.

Mais là le perso est tout simplement détestable. Du coup, ben j'l'ai pas aimé. Et c'est dur de terminer un bouqin de +400 pages sur un type que t'aimes pas///

[Helyss]

il y a 23 minutes, madcollector a dit :

J'ai lu le premier tome de sa saga Eisenhorn (avant ceux-là) parce qu'on me l'a survendu. Et puis parce que j'aime bien ses BD.

Mais le style austère m'a refroidi. Donc pas super envie de lire les suites.

 

Ah ben merde... je pensais que c'était de la "géopolitique globale".

 

Je crois que le seul truc que j'ai d'Eisenhorn, kke part. c'est une fig en 75mm pour Inquisitor. me bottais bien pour son côté badass. ^^

Après vérif, c'est Covenant ! Qui est carrément plus badass. ceci illustre bien mes (mé)connaissances sur le sujet.

Pour ma défense, on faisait du battle, à l'époque, jusqu'à ce que les Bretonniens démontent le jeu... On jouait surtout sans réels objectifs. Et c'est pas bien. On a arrêté. Mais on était jeunes, toussa.

voila la bête :

[madcollector]

il y a 43 minutes, Helyss a dit :

Ah ben merde... je pensais que c'était de la "géopolitique globale".

oups j'ai dit une connerie, l'Inquisition et l'hérésie d'Horus c'est pas les mêmes séries

[Edrahil]

   PAN ! Toutes les armes cultes de la pop culture.

 

Ce qu'on peut appeler un beau livre. C'est un ouvrage qui référence la plupart des "armes cultes de la pop culture" : ça balaye vraiment dans tous les domaines. S'y trouve chroniquer autant le Walther PPK de James Bond, que le lasso d'Indiana Jones, que l’Épée de Légende de Link, ou le gant de Freddy Krueger, ou encore les Pack Proton de Ghostbusters, les Astérohache, plein de choses... Non vraiment ça ratisse large et chaque arme est accompagné de son article descriptif.

Un livre très agréable à lire et à feuilleter qui se voit aussi entrecouper d'articles mettant en valeur certains réalisateur et leur rapport aux armes dans leur filmographie (Cameron, Woo, Tarantino...) ; et à cela, vient encore se rajouter des articles de célèbres armuriers ou artisans travaillant pour les Studios Hollywoodiens. Je l'ai trouvé très complet et fort agréable à parcourir.

Un chouette bouquin comme souvent chez Huginn & Munnin que je conseille.

[martus]

Mes dernières lectures:

L'institut de Stephen king

Le pitch : Au coeur de la nuit, à Minneapolis, des intrus pénètrent la maison de Luke Ellis, jeune surdoué de 12 ans, tuent ses parents et le kidnappent.

Luke se réveille à l'Institut, dans une chambre presque semblable à la sienne, sauf qu'elle n'a pas de fenêtre. Dans le couloir, d'autres portes cachent d'autres enfants, dotés comme lui de pouvoirs psychiques. Que font-ils là ? Qu'attend-on d'eux ? Et pourquoi aucun de ces enfants ne cherche-t-il à s'enfuir ? Aussi angoissant que Charlie, d'une puissance d'évocation égale à Ça, L'Institut nous entraîne dans un monde totalitaire... qui ressemble étrangement au nôtre.

 

Mon Avis : ce livre est assez plaisant et plutôt rapide à Lire. On retrouve un thème récurrent de l'auteur, les enfants dotés de pouvoirs (Firestarter, Carrie, shining/Docteur Sleep,...), mais comme il maitrise le sujet et même si'il n'y a pas de réelle surprise, j'ai bien aimé.

 

 

 

 

Mémoires par Lady Trent, t2 : le tropique des serpents de Marie BRENNAN

Le pitch : Sous la plume raffinée et sans pitié de Marie Brennan, retrouvez les aventures d'Isabelle Trent, naturaliste mondialement connue qui a consacré sa vie à l'étude des dragons. "Bien que peu de gens soient assez âgés pour s'en souvenir, et encore moins assez impolis pour en parler, je fus autrefois vilipendée dans les feuilles à scandales. [...] C'est à cette époque de mon existence que je fus accusée de fornication, de haute trahison et d'être la plus mauvaise mère de tout le Scirland. C'est plus que la plupart des femmes peuvent réaliser en l'espace d'une vie et j'admets que j'éprouve une sorte de fierté perverse à y être parvenue. Ce livre est également, bien entendu, le récit de mon expédition en Erigie. Les avertissements de ma première préface s'appliquent toujours : si les descriptions d'actions violentes, de maladies, de mets étrangers au palais des habitants du Scirland, de religions étranges, de nudité en public ou de gaffes diplomatiques idiotes sont susceptibles de vous gêner, fermez ce livre et passez à quelque chose de plus plaisant. Mais je peux vous assurer que j'ai survécu à tous ces événements ; il est donc probable que vous survivrez à leur lecture."

 

Mon avis : alors cela m'est rarement arrivé mais je n'ai pas lu ce livre jusqu'au bout. J'avais lu le tome 1 que j'avais trouvé plaisant mais sans plus et depuis j'ai lu un cycle d'un autre auteur, le protectorat de l'ombrelle qui présente beaucoup de similitudes avec cette série : une lady de l'époque victorienne indépendante et au fort caractère pour héroïne qui doit combattre les préjugés de son statut et est confrontée aux créatures fantastiques (dragons pour l'une, vampires et loups-garous pour l'autre). Je ne pouvais m'empêcher de comparer les deux séries, rendant la lecture de ce livre laborieuse. Donc je ne pense pas reprendre ni poursuivre cette lecture, lui préférant le protectorat de l'ombrelle.

 

Justement,

 

Sans honte, le protectorat de l'ombrelle T3 de Gail Garriger

Le pitch : Après les événements survenus en Écosse, Alexia est retournée vivre chez ses parents. La reine Victoria l’a exclue du Cabinet fantôme, et Lord Akeldama, la seule personne qui pourrait expliquer sa condition délicate, a inopinément quitté la ville. Pour couronner le tout, Alexia découvre que les vampires de Londres ont juré sa mort. Tandis que Lord Maccon met toute son énergie à boire et que le Professeur Lyall tente désespérément de maintenir la cohésion au sein de la meute Woolsey, Alexia s’enfuit en Italie à la recherche des mystérieux Templiers. Ils devraient pouvoir l’aider, à moins qu’ils ne soient plus nuisibles que les vampires. Surtout armés de pesto… Un troisième tome rythmé et fort en révélations !

 

Mon avis : c'est avec plaisir que je poursuis les aventures de Lady Macon, surtout que le t2 nous laissait sur un cliffhanger insoutenable. Toujours aussi bon, ce livre à l'ambiance STEAMPUNK plus marquée et à l'humour omniprésent m'enchante toujours autant. Une petite pause avant d'attaquer  très vite la suite .

 

voilà merci de m'avoir lu 😄

[Pallantides]

REH en poche, ça continue...

 

Les Rois de la Nuit

 

Les Guerriers du Valhalla

 

[razorspoon]

EN ce moment -au lieu de peindre studieusement- je me suis lancé dans la lecture de la caollection Steampunk de chez bragelonne

 

 

c'est une très chouette collection, avec une présentation soignée pour du livre de poche. ça se lit vite et facilement (sauf peut être l'Arcadia de Fabrice Colin qui s'amuse à perdre le lecteur). Il y a de vrais perles (de décadence avec le Lucifer Box, de Mark Gatiss, de fraicheur avec Miss Cooper, la nièce de Sherlock Holmes, ou d'audace littéraire avec l'écriture à 4 mains des "confessions d'un automate mangeur d'opium") et plus j'en lis, plus je veux en lire.

 

Il me reste encore "l'homme électrique" à lire et je pourrais revenir du côté de chez Geralt de Riv.

[Ariochson]

Je profite du confinement (bibliothèque fermée donc...) et de la fin de ma lecture de la saga du trône de fer  (je ne sais pas ce que vaut la série, mais les bouquins, je ne saurais que vous les recommander, même si le fait que la fin ne soit pas encore écrite me fait rager...) pour déstocker les livres qui traînent depuis longtemps...

 

Et en particulier, le 2ème tome de Monts et merveilles de Mr @Popoff :

 

Acheté il y a plus d'un an lors du salon du fantastique, j'ai eu du mal à me lancer, mais après ça glisse tout seul  : un retour dans un univers alternatif de magie et dans ce tome de cow-boys/indiens qui fait très plaisir...

 

Et comme je viens de m'apercevoir que le volume 3 est dispo depuis septembre, y'a plus qu'à trouver un libraire qui fasse livraison pour avoir la suite  et ne pas attendre 1 an avant de la lire...