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Rawhide Kid

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Tout ce qui a été posté par Rawhide Kid

  1. Comme le #1000 du titre se situe juste après, je me suis dit pourquoi pas reprendre du Batounet ici. De plus, j'aime plutôt ce qu'écrit Tomasi et j'aime très beaucoup le dessin de Mahnke. Bah c'était pas bon du tout. Or donc, Batman voit ceux qui l'ont fait être la cible d'un mystérieux adversaire. On a donc Batman qui combat un gros monstre et qui se balade autour du monde en reprenant contact avec ceux qui l'ont entraîné (plus ou moins). D'où le titre "Mythology". Le principal problème, c'est l'histoire qui se traîne sur 6 numéros là où 2 auraient été suffisant. Je pense que si ça avait été un Annual, cette histoire aurait pu être d'un très bon niveau. Mais la dilution lui est fatale, rendant la chute de l'histoire insupportable. Lorsque Manhke est encré par Mendoza, c'est vraiment bien. Mais ce dernier est remplacé par d'autres et c'est vraiment pas terrible du tout. Donc très déçu par cette histoire.
  2. Si vous achetiez votre dose de Batounet en kiosques, ce ne sera plus possible: Chères lectrices, chers lecteurs,Suite à l’évolution de la distribution de la presse et aux derniers développements concernant la situation financière de Presstalis, nous vous confirmons que nos magazines ne seront plus distribués par cette société et, de fait, ne seront plus disponibles en kiosques comme ils l’ont été depuis février 2012.Parce que, pour certains d’entre nous, le parcours de lecteur a débuté dans les bureaux de tabac et autres maisons de la presse, nous avons eu à cœur de maintenir notre offre magazine le plus longtemps possible dans ces points de ventes. Ça n’est aujourd’hui plus possible, malheureusement.Cette crise ne signe cependant pas la fin des magazines Urban Comics. Nous sommes actuellement à la recherche d’une nouvelle solution de distribution. Aussi, nous vous tiendrons au courant de la manière dont vous pourrez bientôt nous retrouver dans les pages de Batman Bimestriel #6.À très bientôt !L’équipe Urban Comics
  3. Je veux bien concéder que ce n'est pas le pus pertinent si on veut lire du Batman.
  4. 400 pages, c'est déjà beaucoup trop ! Il y a Pavillon Noir pour ça ! Règles et présentation du monde et 3 ou 4 scénarios, 160 pages et c'est bien suffisant. Après, je ne dis jamais non à un écran ni à une campagne d'environ le même volume. Mais même pour cette dernière, je préférerais qu'elle n'arrive que un an plus tard. C'est ce qu'il y a de plus déprimant avec ce genre de financement: 5 bouquins en une fois puis plus rien. Sinon, pourquoi sortir SimulacreS de sa tombe alors que BBE a Chroniques Oubliées, ça casse un peu l'intérêt d'avoir un système générique maison.
  5. Sans vouloir faire un procès d'intention car pour l'instant on n'en sait pas grand chose, j'ai un peu peur que le jeu soit sur-produit. C'est majoritairement la raison pour laquelle les livraisons sont explosées. Et voir deux éditeurs pour ce qui était à la base un "petit" JdR de 64 pages, ça ne me rassure pas sur ce point. Capitaine Vaudou a marqué les esprits aussi parce qu'il était court, donc jouable rapidement, sans se farcir des pages et des pages de background qui ne sera utilisé que partiellement. La concision, c'est bien aussi.
  6. "Salut Grant ! Ça te dirait d'écrire une histoire de Batman pour Legends of the Dark Knight ?" Autant dire que Morrison a surtout entendu "Legends" et "Dark" en ce début des années 90 connues pour leur subtilité en matière de grim&gritty. Et si on ajoute Klaus Janson aux dessins, l'air n'est pas particulièrement sain dans cette histoire. Mélanger Batman et le surnaturel m'a toujours paru hors de propos* et on est ici en plein dedans. Le méchant est clairement un croque-mitaine et tout l'enrobage religieux en ajoute une bonne couche. J'ai toujours beaucoup de mal à croire que l'élément surnaturel ne pose pas plus de problème que ça à Batman, le voyant plus comme un Holmes à cape où le surnaturel est toujours démystifié que comme un Fox Mulder. L'histoire plonge clairement et sciemment dans le glauque et ce dès les premières pages où un mec torturé est informé que sa femme et sa fille sont désormais des "stars de cinéma". La grande classe. On est mis du côté des gangsters que le méchant tue et Batman n'en a que faire s'ils y restent puisque ce sont eux aussi des méchants. Enfin le méchant de l'histoire est un tueur d'enfants mais il est très très fortement suggéré qu'il ne se contente pas de les tuer. On a le droit à un "piège mortel" digne de l'époque d'Adam West qui fait un peu bizarre dans tout ça, surtout qu'il est résolu de façon plus qu'expéditive. Malgré tout cela, ça reste du Grant Morrison donc c'est bien écrit: son Gotham est dans la droite ligne de Year One, ses gangsters --même ceux qui apparaissent pour deux pages-- sont intéressants, son petit twist sur l'histoire de Batman picote bien comme il faut et globalement, tout se tient très bien. *ce qui donnait à la Batwoman de Greg Rucka une teinte particulière et bien distincte
  7. Elseworlds: Batman Vol.1: Pour quelques figurines de plus. Batman à travers les genres, les styles et époques ! Comme toute compilation, il y a des histoires plus ou moins bonnes que ce soit au niveau des scénarios et/ou des dessins. Pour que ce soit plus lisible, on va y aller histoire par histoire. Batman: Holy Terror met Batman dans un monde où les USA n'existent pas mais sont dans le Commonwealth. La religion occupe une position de pouvoir prépondérante et Bruce Wayne s'apprête à rentrer dans les ordres. Mais le jour d'avant, Gordon lui révèle que ses parents n'ont pas été tués par hasard mais que le gouvernement y a quelque chose à y voir ! Il n'en faut pas plus pour que Bruce mette son costume et aille demander des comptes. On y croisera aussi une version de la Justice League. Tout ça est très correct mais reste assez standard, que ce soit par le scénario ou le dessin. Mais pour commencer, ça passe bien. Batman: The Blue, The Grey and the Bat nous amène lors de la Guerre de Sécession avec le Lieutenant-Colonel Bruce Wayne au service de Lincoln. Bruce est déjà Batman et c'est connu de son boss. Bruce part en mission pour savoir qui prend l'or destiné à l'armée et on y croisera Robin (un indien), des Dark Knights (d'anciens esclaves), ainsi qu'une ligue de moralité conduite par une jeune femme et sa tante. Ça a un petit côté Zorro (peut-être aussi Lone Ranger si je connaissais la série) et s'il n'avait un petit twist sympathique, ça serait assez anecdotique. Robin 3000 est centré sur Robin (oui, je sais, c'est incroyable), Batman n'étant là qu'au début. Contrairement aux autres histoires, celle-ci est composée par deux comics et est donc plus longue. Nous sommes donc dans le futur où une race extra-terrestre a mis en esclavage l'humanité. Naturellement, il y a une résistance dont Batman est le leader. On voyage de planète en planète grâce à des vaisseaux et l'hypervitesse, il y a des robots et des extra-terrestres. J'ai deux problèmes: le dessin et la fin. En début et fin, le dessin est vraiment bon mais au milieu il y a une une nette baisse de qualité. Pourtant, le dessinateur est le même. Ce sont donc les encreurs qui ne sont pas homogènes ainsi que la colorisation. C'est vraiment étrange. Pour la fin, elle est abrupte et ne résous pas les problématiques soulevées. Batman/Dark Joker: The Wild est une histoire de fantasy avec un Joker sorcier et un Batman démon du Bien. Le tout est un peu confus et si je suis assez fan de Kelley Jones aux dessins --et il y a de beaux moments--, il y a quelques planches un peu légères. Malgré cela, ça se lit avec plaisir même si c'est un peu long pour que ça raconte. Batman/Houdini: The Devil's Workshop. Une rencontre avec Houdini, ce n'était pas la première chose qui me venait à l'esprit en lisant du Batman. Mais c'est ce qui fait le sel des Elseworlds. Sur de jolis dessins peints, on a une histoire relativement simple qui offrira un petit twist pour épicer le tout. L'ambiance fait le plus gros du boulot, avec du spiritisme et un "Joker" particulièrement sale, en cela bien aidé par les dessins. Batman: Castle of the Bat reprend l'idée de Frankenstein en faisant de Bruce le créateur du monstre. Ici également, le dessin peint contribue grandement à l'ambiance de l'histoire même si je l'apprécie moins que celui d'Houdini. Voir Alfred en servant bossu est amusant mais l'histoire tire un peu en longueur au final. Batman: In Darkest Knight combine Batman et Green Lantern. Au moment clef du Year One de Frank Miller, au lieu d'une chauve-souris, c'est Abin Sur qui se présente à Bruce pour qu'il prenne la relève. La première apparition de Bruce en BatLantern se fera lors de l'attaque du Red Hood et le Joker ne sera pas créé. Mais les Gardiens demanderont à Bruce de s'occuper de son secteur mais ce dernier ne veut se consacrer qu'à la Terre, voire qu'à Gotham. Toutefois, il sera envoyé stopper Sinestro qui deviendra son ennemi et qui apportera sa bataille sur Terre. Le dessin n'est pas fantastique mais l'histoire est vraiment sympa, l'amalgame des univers Batman et Lantern étant bien fait. Il y aura aussi un SuperLantern, une WonderLantern et un FlashLantern. Batman: Dark Allegiances ferme le recueil sur un scénario et des dessin de Chaykin. Que seraient des histoires de "et si" si à un moment donné on n'y croisait pas Hitler ? On ouvre par le KKK parce que c'est toujours drôle de les voir se prendre des baffes puis on suit un Bruce qui construit un Parc à Thème pour des personnes qui ressemblent quand même beaucoup au Pingouin et à Double-Face. Bruce tombera aussi sur une femme qui se déguise en chatte pour commettre des larcins et on aura aussi une scène ou Batman se joindra à une grève syndicale. Alors oui, dit comme ça, ça semble être le bordel mais à aucun moment lors de la lecture ça n'en donne l'impression. Le dessin est ce qu'on attend de Chaykin, moi j'aime bien. Donc, une fois ce premier tome lu, on a plutôt envie de lire les suivants ce que, j'imagine, veut dire que c'était plutôt bien ! L'histoire va dans tous les sens et le dessin est bordélique. Il faut vraiment être motivé pour suivre cette série. Le cliffhanger du volume précédent est résolu en trente secondes à base du pouvoir de l'amour puis c'est reparti pour de la baston avec des serpents lumineux géants. Puis une fois cette menace évitée, on a le droit au retour de Riu et de sa maman qui sont liés par leur famille aux Ley Lines, point central de l'histoire. Et là on a le droit au cliché ultime des mangas: le dépassement de soi et le sacrifice au service du Bien Commun. Et c'est écrit de la façon la plus bêtasse possible. On a le droit à une pluie de pétales de sakura pour enfoncer le clou. Green Lantern fait son apparition et il affronte NegaFlash. Je me demande bien qui va surgir dans le volume 4. Mais serais-je au rendez-vous ? Il y a très peu de chance...
  8. Forcément, lorsqu'on lit le numéro 7 sans lire ce qui précède, ça peut sembler confus ! Le travail de Morrison sur le personnage est construit dans la longueur, c'est un cheminement. Alors lire l'arrivée sans en lire le commencement, ça n'a pas beaucoup de sens. Alors oui, il faudrait que les éditeurs et auteurs pensent plus souvent qu'un comic est aussi le premier comic de quelqu'un et qu'il devrait pouvoir être compris en lui-même, mais ce n'est plus le cas depuis des années malgré les reboot/numéro 1 qui s'enchaînent. Enfin, je peux aussi comprendre qu'on n'aime pas se voir balancer des concepts et des idées en série à la tête et à avoir à faire le tri et remettre les pièces dans l'ordre. Pourtant, il me semblait que l'arc Léviathan était plutôt compréhensible, en tout cas nettement plus que RIP que je te conseille donc de fuir activement. En revanche, pour ceux qui veulent lire du "WFT" construit, qui signifie quelque chose et qui apporte au personnage de Batman, foncez sur le run de Morrison ! Ceci était un communiqué de The Church Of Morrisonology.
  9. Les 3 Jokers, c'est une idée en l'air, un truc qui fait cool mais qui va absolument nulle part. Un peu comme l'inclusion de l'univers Watchmen dans le DC Universe*. A croire que seule l'idée suffit pour être balancée dans une série mais qu'à aucun moment quelqu'un a pensé à sa conclusion, ou même à son sens. Pour s'en rendre compte, il suffit de lire le Swamp Thing d'Alan Moore ou le Batman (ou Animal Man, ou les New X-Men) de Grant Morrison où les idées --redéfinir les personnages et leurs buts-- sont plus que des coups marketing mais bien le centre du récit avec une vision précise de ce qu'on veut raconter, ainsi que la façon d'y arriver. Avec des Johns, des Snyder ou des Bendis, on a l'apparence d'idées mais en aucun cas le fond.** *oui, encore une "idée" de Johns **naturellement, ce sont des généralités, on peut trouver des runs chez ces auteurs qui ont un sens, comme Daredevil pour Bendis avec comme centre la révélation de l'identité secrète du héro.
  10. Comme diffuser les infos au compte-goutte c'est s'assurer que l'on parle de soit plus souvent, DC annonce une maxi-série de 12 numéros l'an prochain pour Tom King: Batman/Catwoman. Donc le changement promis peut encore avoir lieu. Batman et Catwoman mariés ? Ou c'est déjà fait ?
  11. DC non plus il faut croire. Part un retournement incroyable de surprise, Tom King quittera la série fin 2019. Donc exit le run jusqu'au #105 et très certainement son arc final "Moi Moi Moi Je".
  12. J'ai lu le deuxième volume de Batman & The Justice League de Shiori Teshirogi* et c'était très médiocre. Dans le premier volume, l'accent est mis sur le personnage japonais qui vient à Gotham retrouver sa mère. Tout est raconté de son point de vue et on se demande bien pourquoi ça s'appelle Batman & The Justice League car, même s'ils sont présents, ils ne sont pas au centre de l'histoire. Mais très bien, d'accord, c'est même intéressant lorsqu'on sait le choc que peut être Paris pour des japonais, alors Gotham... Dans ce deuxième volume, exit le japonais au centre de l'intrigue (une histoire pas super originale de Ley Lines) qu'on ne verra que pour deux scènes pour laisser place au combat fratricide entre Aquaman et Ocean Master. Batman est impliqué parce que ça se passe à Gotham et on y croise aussi Superman et Wonder Woman ainsi que le Joker et un méchant avec un déguisement de démon japonais. C'est du très très très très classique avec les deux frères qui se racontent leurs vies et sentiments en même temps qu'ils se castagnent. L'homo-érotisme de Saint Seya essaye de poindre par moments mais les pontes de DC ont certainement dû refréner les ardeurs de l'autrice, et c'est bien dommage. Au moins, il s'y aurait passé quelque chose. Le côté magique de l'intrigue est sympa, ça change un peu avec Batman mais pas du tout avec Wonder Woman. La série est toujours en cours au Japon (4 volumes pour le moment), pas sûr que j'aille jusqu'au bout. Peut-être le 3ème volume, pour voir si elle se reconcentre sur le personnage japonais. *autrice de Saint Seya: Lost Canvas
  13. Ah, les joies de "C'est MOI qui vais laisser MA marque à MOI sur un personnage qui était là avant ma naissance et qui sera encore là après ma mort." 🤮 Encore un qui oublie que les changements de personnages n'arrivent pas d'un coup d'un seul, sont encore moins décrétés par un auteur/éditeur mais par une évolution "naturelle" grâce à la narration. On peut tout à fait dire que Swamp Thing a été complètement modifié par Alan Moore mais il l'a fait en début de run et a passé le reste à le justifier. Pareil pour la Doom Patrol par Grant Morrison: on "casse" ce qui a été fait avant puis on explore ce qu'on vient de faire. Ici, on a "Je change le personnage pour laisser MON empreinte" mais comme l'empreinte est moins bonne que l'original, on laisse gentiment le soin aux autres de la développer. Toutefois, lisant des comics depuis un certain temps, je suis certain d'une chose: Batman ne va pas changer. Oh, peut-être pour un an ou deux, maximum 5 puis, lorsque les ventes déclineront (car elles le font toujours sur toutes les séries), on aura le droit à une histoire qui fera en sorte qu'on retrouve le Batman "d'avant". Regardez ce qu'il s'est passé pour le Superman New52 qui a laissé place à celui d'avant Flashpoint.
  14. Il y avait un indice quand même flagrant sur la couverture de l'inintérêt de la chose: Scott Snyder. Pour vous aider, deux autres indices qui se trouvent sur les couvertures d'autres comics de DC en ce moment: Brian Bendis et Geoff Johns (avec un double bonus "série télé"* et "ciné"** pour ce dernier). Metal aura au moins permis de sortir une bonne série: The Terrifics. C'est, si on veut faire vite et un peu de loin, les 4 Fantastiques made in DC et c'est très bien. *Pauvres Titans 😢 **Pauvre Wonder Woman 😢
  15. Ça ne me parle absolument pas. Alors oui, c'est très joli et c'est bien écrit. Le postulat de départ est intriguant et donne envie de savoir ce qu'il va se passer. Théoriquement. Ce que je n'ai pas aimé, c'est que Murphy se soit senti obligé de faire de Batman un méchant pour que Joker devienne un gentil. Batman est stupidement violent dès le départ (ce qui n'a pas de sens pour le personnage malgré l'acceptation générale) et lorsque le Joker est Napier, Batman devient complètement psychotique afin de servir le scénario et non le personnage. Le final hurle "oui, il y aura une suite !" ce qui gâche un peu le sentiment d'histoire indépendante que devrait donner une mini-série. C'est plus qu'une fin ouverte, c'est un goût d'inachevé, de thèmes intéressants laissés pour plus tard, si plus tard il y a. Donc c'est très bien pour ceux qui accrochent au concept de Joker vs Batman mais c'est décevant pour ceux qui voulait voir une alliance Napier/Batman (ou Wayne), une dynamique réellement différente.
  16. On peut avoir les notes de travail du Batman #663 ?😵 D'ailleurs, c'est à partir de là jusqu'à la fin de R.I.P que le run peut sembler abscons. Ensuite, Morrison se concentre sur ce qu'il a (re)créé donc on n'est plus vraiment perdu.
  17. Cette réédition suit le format de l'Omnibus VO (mêmes numéros à l'intérieur). Sauf que la VF sort 3 mois avant. Pour 50% moins cher. Je ne sais pas combien il y aura de volumes en VO (rien sur le site de DC, juste la présentation de ce premier volume) mais je suppose que la VF fera pareil. Le Volume 1 ne comprend pas le tome 0. Il y avait un temps, pas si éloigné que cela, les Omnibus faisaient plus de 1000 pages, pas moins de 600.
  18. Ne vous ennuyez pas. Lisez plutôt le roman. C'est moins cher et ça vous prendra moins de temps à lire.
  19. Ce sont plutôt des direct-to-video et DC en fait depuis plusieurs années déjà. Ce sont souvent des adaptations de runs de comics connus (Killing Joke, All Star Superman, Doomsday, JLA Terre2...) sans vraiment de lien les uns avec les autres. Les trois avec Robin Damien semblent se suivre pour former une trilogie, mais c'est une exception.
  20. Je ne sais pas si tu vas continuer à remercier Barbi longtemps, car Batman & Robin the boy wonder est, à mon avis, d'une débilité abyssale. Batman y est stupide et les représentations féminines d'un machisme beauf qui laisse pantois. La série n'a jamais été terminée ce qui n'est pas un mal. Miller n'a jamais été aussi mauvais que là-dedans. Batman: Année Un, il est normal que tu aies eu cette impression puisque c'est ici que tout ce que tu as lu ailleurs sur le sujet à été créé. Fait attention, tu risques d'être déçu par Watchmen pour les mêmes raisons: il a été beaucoup pillé. C'est triste pour Arkham Asylum. Cette plongée en Folie m'a faite forte impression, rarement lu quelque chose de semblable.
  21. Pareil, pas très convaincu par Tim King sur Batman. I am suicide était pas mal mais tirait trop à la ligne et la suite avec Bane était une vraie catastrophe. Son Riddler vs Joker est assez moyen, seul Kite Man est remarquable. Tim King a vraiment été excellent sur Grayson: Agent Of Spiral. Janin y est aussi aux dessins et il y bien meilleur que sur Batman, pas uniquement parce que Dick est nettement plus sexy. C'est du high-espionnage fun avec plein d’invraisemblances et les personnages secondaires sont très bons. Son Mister Miracle se prend peut-être un peu trop au sérieux ("regarde Maman, j'Ecris") mais on n'a pas encore la mini-série en entier donc c'est un peu tôt pour avoir un jugement définitif. Je n'ai pas lu son The Vision (chez Marvel) car la première page était farcie de texte mais elle a très très bonne presse.
  22. C'est vraiment intéressant d'avoir tous ces chiffres et l'analyse d'un professionnel. En ce qui concerne les primo-pledgers venant des comics, même si Batman est l'un des titres les plus vendeurs (on tourne autour de 100.000 copies/numéro), c'est oublier que c'est un marché de niche. Oui, malgré les entrées incroyables au box-office des divers films MCU/DCU (ce dernier ayant une mauvaise réputation qui plus est), ça n'a presque pas d'impact sur les ventes de comics. Donc, attirer des fans de niche susceptibles d'être intéressés par une autre niche, ça ne peut pas faire beaucoup.
  23. Non, vraiment pas. Il n'est absolument pas indispensable de suivre la fanfiction de Johns.
  24. Alors non, ce n'est pas normal du tout. Bat-Cow fait partie d'un des meilleurs run de Batman. Ceux qui râlent sont tout simplement ignares et devraient y remédier. Sinon, côté jouabilité, il est prévu de lui faire quoi à Bat-Cow ?
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