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Edrahil

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Tout ce qui a été posté par Edrahil

  1. @Monsieur H, @Barbi vous pensez qu'un type comme moi qui n'a pas la mythologie DC chevillée au cœur et qui a lu malgré tout Supergirl - Being Super, mais plus comme une chronique adolescente, pourrait y trouver son compte à ce Supergirl ? Je dois dire qu'il m'avait fait de l'œil à sa sortie mais ma méconnaissance de l'univers m'avait freiné un peu. À votre bon cœur.
  2. On appelle ça aussi un "puits canadien". C'est sous cet intitulé que je connaissais.
  3. Hier découverte (et donc première partie) de SCYTHE pour les deux joueurs que nous étions. Mitigé. Je l'ai été tout au long de la partie. J'avoue avoir eu un peu de mal avec les règles et à me les rentrer dans la tête. Je n'ai pas été aidé par la pluralité des pouvoirs divers des factions. En miroir, rien n'est à la même place et ne fait/coûte la même chose chez le jeu adverse : ça a encore un peu plus concouru à me paumer et générer du trouble. Pour donner une image de ma difficulté à rentrer dedans, j'ai eu l'impression d'une partie de Scrabble où je posais des "le", la", "ce", "il" quand mon adversaire posait et enchainait des mots de fou, pleinement maître des pouvoirs et de la logique du jeu. J'ai frôlé le ragequit ; et à un moment donné ai vraiment pris sur moi. C'était tellement laborieux mon jeu, et ma vision de l'ensemble... Horrible. Beaucoup de mal aussi sur l'iconographie et la compartimentation des plateaux factions. Non, je crois que j'étais mal préparé. J'ai fini à me faire à l'idée que j'allais jouer en mode "quoi que je fasse c'est foutu, trop de retard" et quand j'ai accepté mon sort ça allait mieux. Mais c'est dommage parce que j'ai bien senti le potentiel de ce jeu. Pour me rassurer, il aurait fallu que je réussisse mes trois, quatre premiers tours je pense. J'aurais eu cette bonne impulsion et aurais été dans une autre disposition mentale. Mais mon départ avait été trop catastrophique et je suis resté trop longtemps décontenancé pour me remettre de cette entame. Logiquement, je perds : Polonia 55 - La Crimée 87. Je vous mis un p'tite photo parce qu'il est beau ce Scythe : On remet ça la semaine prochaine. Je vais y penser et ce sera forcément différent.
  4. Edrahil

    Draft MBP : Janvier 2023

    C'est cool de faire vivre MB:P (encore) en publiant des drafts de temps en temps. Merci.
  5. Edrahil

    [TALC] La cage aux mêmes

    Ce n'était pas celui-là, mais ouais genre . Je finirai par remettre la main dessus.
  6. Edrahil

    [TALC] La cage aux mêmes

    Il y en avait un similaire sur les wargames. Je n'ai pas réussi à le retrouver 😑
  7. Osamake : Romcom where the childhood friend won’t lose : “Lycéen, Sueharu Maru a craqué sur la belle Shirokusa Kachi, une fille brillante qui a tout pour elle. Mais pour l’adolescent, elle est hors de portée et ça le déprime ! Sa meilleure amie d’enfance, Kuroha Shida, tente de le réconforter. Il faut dire qu’elle est mignonne, joyeuse et qu’elle aime s'occuper des autres.” Une énième série animée avec une indécision sentimentale à la clef et les errements sentimentaux qui vont avec. Je l'ai suivi sans déplaisir. Mais au terme, je me pose la question de savoir si mon plaisir au visionnage était vraiment présent ? Je ne saurais dire. Un comble. Je suppose que dans ces cas-là on dit : “j’ai aimé mais sans plus” ; mais j’ai quand même envie de dire que j’ai passé un “bon moment”. Je pense que la faute vient des motivations pas très claires, assumées et changeantes des personnages principaux. Love of Kill : “La tranquille chasseuse de primes Chateau et le mystérieux et puissant tueur à gages Ryang-ha s’affrontent et deviennent ennemis après ce combat. Du moins, ils auraient dû, mais pour une raison étrange, Ryang-ha s’attache à Chateau et commence à la suivre partout. Petit à petit, Chateau coopère avec Ryang-ha qui l'entraîne dans la lutte contre les organisations qui le traquent. Une bataille également liée à son passé…” Une première saison qui en appelle clairement une seconde. Le passé des deux protagonistes principaux est distillé tout au long des douze premiers épisodes tant et si bien que tout n’apparaît être en place qu’au dernier épisode de cette première saison. Le plus intéressant dans cette série aura été la difficulté à juger des motivations et du comportement du personnage masculin. Le monsieur est trouble et ambigu dans ses motivations. A juger donc pleinement sur une deuxième saison. Presque mariés, loin d’être amoureux : “Dans une classe de lycée, un projet est lancé pour éduquer les élèves aux bonnes pratiques du mariage. C’est ainsi que Jirô Yakuin, célibataire, se retrouve pseudo-marié à une fille de sa classe assez extravagante, Akari Watanabe. Tout les oppose, mais peu importe : ils pensent chacun que cette expérience va leur permettre de se rapprocher de leur crush respectif. En attendant, ils doivent tout faire pour jouer le couple idéal !” Ce que je pouvais en dire sur les premiers épisodes visionnés : L'idée de départ est un peu ripou et fleure bon la vision très traditionnelle de la vie de couple et du mariage. Mais bon, au vu du titre de la série animée on se doute bien que ce n’est pas une thèse de sociologie qui va nous être présentée mais plutôt une idée prétexte. Et pour le coup, le dessin-animé fonce sans se poser de questions et délivre situations comiques, grimaces, outrances et tout ce que les mangas de ce genre peuvent offrir et réussit à être bien fendard et neuneu à la fois. J’ai vraiment bien accroché ; c’est toujours un bon moment de visionnage. Le bilan de cette première saison qui vient de s’achever, sera pour moi une chouette comrom, qui, certes sait délivrer le cahier des charges de ce type d’animé, mais sait également le restituer de façon originale dans le ton (c'est à dire avec ses propres travers) pour me le rendre intéressant. Il sait pour le coup illustrer les hésitations et les émois de nos jeunes héros tout en étant naïf et mignon dans son approche avec une touche de polissonnerie pas des plus fines mais “utiles” dans le développement de l’histoire. C’est d’ailleurs même une des composantes de l’animé clairement assumée : à intervalle régulier y a du fan service qui sert de ponctuation à la narration de l'ensemble. Je dois dire qu'il m'aura bien plus. Bocchi the rock ! : “Hitori "Bocchi-chan" (la petite solitaire) Goto est une lycéenne introvertie qui ne vit que pour sa guitare. Chaque jour, elle ne fait rien d'autre que de gratter son instrument, toute seule à la maison. Cependant, sa vie change lorsqu’elle rencontre un jour Nijika Ijichi qui cherche une guitariste pour son groupe appelé "Kessoku Band".” En fait, comme le résumé ne l’indique pas, cet animé traite principalement de l’anxiété sociale (trouble dont souffre la jeune Hitori). Nous suivons son désir de s’ouvrir aux autres et son souhait d’être moins en souffrance lors de ses interactions sociales. Pour ce faire, elle intègre un groupe de rock et fait l’apprentissage de l’amitié et autres joyeusetés de la vie. L’animé a le bon goût de prendre son temps sur les progrès de la jeune héroïne : son amélioration est lente, pleine d’hésitations et les progrès sont douloureux et fragiles, lui demandant de grand effort. À la fin des 12 épisodes, nous l’avons vue certes progresser dans son émancipation de sa timidité, mais on est aussi pleinement conscients que c’est la politique des petits pas qui est en oeuvre dans cette histoire. Autre point positif, lors de certaines séquences musicales, quelques plans et cadrages cools rendent ces séquences bien dynamiques. J’ai beaucoup aimé cette série.
  8. En dernières lectures imagées j'ai ceci : American Ronin (avec un T1 mais aussi présenté comme un stand-alone... mais avec une fin à l'histoire finie... mais ouverte) de P. Milligan et ACO. Résumé éditeur : “Il n'y a plus de guerres et la démocratie est une illusion. Désormais, le pouvoir est entre les mains de corporations qui se livrent une guerre secrète pour dominer le monde. Leur arme numéro un : des agents génétiquement modifiés et entraînés depuis l'enfance à se dévouer tout entiers à leur corporation. Mais un de ces agents réussit à se libérer de ses chaînes psychiques, et décide de combattre le système. Un seul "Ronin" peut-il tout changer ?” J’en avais parlé lors d’un apéro bd. Pour revenir dessus, nous sommes ici en présence d’un techno thriller d’action dystopique qui nous apparaît à la lecture, tout à la fois “si loin si proche” de ce que deviennent nos sociétés régies par les grandes sociétés et les technologies. On suit donc un ancien agent (American Ronin) qui s’est rebellé de son ancien employeur (une agence) et décide de s’en venger. Ces agences se sont dotées de personnel surentraîné qui leur servent tout à la fois de garde du corps, tueur à gage, espion… Un personnel très efficace dans ses attributions car ce dernier a la capacité en obtenant des traces d’ADN des cibles, d’entrer en empathie totale avec elles, comprenant aussi bien que celles-ci leur psyché, pouvant même aller jusqu’à les manipuler. On suit cette lutte de l’ombre tout le long du comic où un autre American Ronin est mandaté pour arrêter notre rebelle. L’intrigue s’étoffe pour nous permettre d’englober cette dystopie et mieux la comprendre ; dans l’ensemble, cet ouvrage s’avère fort distrayant. Et j’ai beaucoup apprécié le cadre, l’intrigue et l'originalité du lore. Son idée de départ et son exploitation est d'ailleurs sa force. The Plot T2 : 1674 de J. Hixson et T. Daniel (série complète en 2 tomes). Résumé éditeur : "Pour échapper à son sinistre héritage et protéger ses neveux, Chaise Blaine n'a plus le choix : il doit trouver un moyen de détruire la maison et toutes les horreurs tapies en ses murs... mais les fantômes du passé n'ont pas dit leur dernier mot. Alors que la tempête fait rage à Cape Augusta, les secrets de famille se réveillent et menacent de tout engloutir. Chase, MacKenzie et Zach Blaine semblent condamnés à payer les erreurs de leurs ancêtres…” Typiquement le genre de diptyque à lire à la suite pour les juger. Fondamentalement j’ai plutôt bien aimé. Au rayon des griefs, j’aurais toutefois tendance à reprocher à ce type de bouquin une forme de manque d’originalité. Je m’explique. Quasi toujours, j’ai l’impression d'avoir affaire à une histoire qui prend racine dans le passé où il va y avoir des flash-backs, les personnages sont toujours un peu les mêmes, les interactions d’antagonistes toujours un peu pareilles, et ce petit côté promotionnelle “vous allez frémir d’horreur”, beeeeeen oui mais non ! Y a toujours une intrigue qui veut la jouer sur plusieurs plans pour expliquer son fantastique et ça me les fait tous se ressembler ces récits horrifico-fantastiques. Ceci étant, ce The Plot est plutôt pas mal mais à lire à l’occasion. Reckless T1 et T2 de E. Brubaker et S. Phillips. Je vais utiliser le bot Brulips c’est très bien. Fin. RIP T5 - Fanette - Mal dans la peau des autres de J Monier et Gaet's. Je ne développe pas, pareil qu’au dessus : c’est très bien. Plus qu’un tome pour conclure la série. Adabana T1/2/3 de NON (série complète en 3 tomes). Résumé éditeur : “La tranquillité d'une petite ville japonaise, recouverte de neige, est brutalement perturbée par un meurtre odieux. Le corps démembré d'une lycéenne du nom de Mako Igarashi, est retrouvé près d'un lac. Bientôt, Mizuki Aikawa, élève au même lycée que la victime, revendique les faits auprès des forces de police locales. Cependant, alors qu'elle relate les événements, le doute s'invite progressivement dans la tête de ses avocats. Quels lourds secrets Mako et Mizuki partageaient-elle ? Voici le récit d'une lutte au coeur des ténèbres de l'âme humaine et de ses perversions. “ Gros coup de cœur pour moi. C’est lors d’un Apéro BD que Lug évoquant un autre manga, Mon mari dort dans le congélateur, qu’en faisant des recherches je suis tombé par ricochet sur ce Adabana. Des faits sordides, des personnages troubles, une histoire bien charpentée, une enquête qui s’appuie donc logiquement sur cette histoire tout aussi passionnante, des points de vue différents qui s’entrecroisent pour laisser apparaître vers la fin la vérité… n’en jetez plus, pour moi c’est une petite pépite sur laquelle on tombe parfois dans nos listes de lectures. Je conseille vivement. Le Serpent et le coyote de Matz et P. Xavier (histoire complète en un tome). Résumé éditeur : “USA, 1970. Joe se balade en camping-car dans les grands espaces du Far West. Il y fait des rencontres : un petit coyote, pour commencer, mais aussi des gens plus ou moins bien intentionnés ? des voyous locaux, des agents du FBI, un U.S. Marshal, d'anciens amis plus ou moins fréquentables... Mais qui est vraiment ce bon vieux Joe ? Ceux qui croisent son chemin ont tendance à voir leur espérance de vie se réduire dangereusement…” C’est la couverture qui m’a attiré. Simplement. Ça tient parfois à peu de chose. Et j’ai bien fait parce que j’ai passé un très bon moment de lecture. Après je ne suis jamais bien déçu avec ces auteurs aux commandes. J’ai aimé ce road movie à tendance chasse à l’homme où plusieurs parties aux motivations différentes viennent s’enchâsser : le personnage principal, les autorités et la mafia. J’ai aussi aimé cet aspect cinéma des seventies dans l’ambiance qui s’en dégage. Le cadre, les motels, les grands espaces… Ça m’a bien embarqué. Mais aussi j’ai aimé que cela prenne appui sur des faits réels, et notamment la naissance du programme de protection des témoins mis en place par le FBI dans ces années-là. En définitive une chouette bd : propre nette efficace. De la bel ouvrage. A couple of cuckoos T4 et T5. Le genre de série manga que je considère comme un petit bonbon qu’on suce de temps en temps. Je la suis sans déplaisir, mais peut-être qu’à choisir, j’aurais eu tendance à plus regarder l’animé qu’à acheter les mangas si je devais m'y mettre aujourd’hui. Sinon ce A couple of cuckoos c’est le cahier des charges classique des mangas de ce type. Ça se lit sans surprise, c’est agréable, sympatoche, ça fait le job quoi ! J'oublie peut-être des trucs que j'ai lu ; mais ça faisait un moment que je n'étais pas revenu ici me livrer à cette exercice de rétrospection.
  9. 1.Le JDS/JDR le plus joué en 2022. M’étant remis cet été au SDA JCE, ce sera ce dernier qui aura été le plus joué cette année (75 parties). Depuis la sortie de la V1 j’ai 1723 parties au compteur. Je suis dingue de ce jeu. Sinon, hormis celui-ci que je considère à part pour le joueur que je suis, deux jeux se détachent : Star Wars : Rébellion et Évolution, tous deux joués 4 fois. 2.La belle découverte de 2022. Res Arcana ! Sans aucun doute. Très GROS coup de coeur. Illustration, mécanique, rapidité de mise en place, apprentissage… l’est top ! 3.Votre dernier jeu de l'année 2022, sera ? Res Arcana ou SDA JCE. 4.Le jeu auquel vous voulez absolument jouer en 2023. Tiletum (de D. Tascini et S. Luciani). Juste parce qu’il m’a tapé dans l'œil et que je pressens un jeu au charme très début 2000 (je me comprends quand je dis ça 😁). Le plateau, les mécaniques, les illustrations, sa charte graphique… il me charme, je veux le jouer. 5.Une personnalité à mettre en avant (chaîne, éditeur, auteur, etc...). Je dirais Nuts ! Publishing pour le travail qu’ils ont effectué sur la francisation de La Guerre de l’Anneau et le suivi qu’ils en assurent (sorties des extensions). C’était pas gagné que ce type de jeu se vende tant que ça et permette tout ceci. Pour ça, je les en remercie. 6.Un univers de jeu, série ou roman qui mérite son adaptation en JDS/JDR (+10 points de charisme pour ceux qui citent Berserk !) Je rêverais d’un jeu façon Le Seigneur des Anneaux - le jeu de cartes évolutif transposé dans l’univers des Royaumes Oubliés avec ces aventuriers, ces voyages, de l’exploration de donjons, des combats, des rencontres… Le SDA JCE a su rendre compte de ça je trouve : ce parfum d’aventure avec cette notion très narrative. Un jeu de ce genre dans La Royaumes Oubliés serait topissime. 7.Un souvenir marquant durant une partie (en maximum 3 phrases) Rien de marquant, ou tout au moins qui me vienne à l’esprit. Si je devais toutefois retenir et citer quelque chose, ce serait les contractions de mes muscles fessiers quand l’Empire me traquait de trop près à Star Wars : Rébellion et l’air détaché que je devais adopter à ces moments-là. Poker face activé 😶
  10. Mes derniers visionnage de séries animées. Amaama to Inazuma : l’histoire d’un veuf (professeur de lycée de son état) qui essaie d’élever tant bien que mal sa fille, et qui finit par trouver du réconfort et tisser un lien approfondi avec celle-ci à travers des cours de cuisine qu’il prend dans un restaurant dans lequel travaille une de ses élèves (fille de la gérante du restaurant). Se tissent alors des liens d’amitié entre eux. Nous suivons à chaque épisode un moment de vie de ce petit monde qui va tourner autour de la confection d’une recette. Animé très simple et pure dans son idée poursuivie, sa grande réussite reste la manière dont est croquée Tsumugi -la petite fille-. Son attitude, ses réactions et son énergie toute enfantine sonnent juste et c’est vraiment la grande réussite de l’histoire. Un agréable moment de passer à regarder cet animé. Girlfriend, Girlfriend : moi qui n’aime pas les harem parce qu’on a toujours un héros velléitaire, imbécile et inconstant, incapable de décider, et que dans ces animés les filles/femmes semblent représenter un cheptel en totale acceptation de cette situation, avec Girlfriend, Girlfriend j’ai été servi Ici on est clairement en présence d’un ménage à trois accepté et voulu. Je n’en ai pigé ni la logique, ni la représentation du sentiment amoureux. Une partie de moi est restée complètement étrangère à l’histoire déployée et une autre a su reconnaître l’aspect grobillesque de l’humour situationnel très japanime si j'ose dire. Finalement, l’hystérie de l’animé a su m’embarquer dans son délire, et je dois dire avoir plutôt passé un bon moment, même si le thème et l'idée sont bof. Ooya-san wa shishunk ! et Joshi Kausei : deux animés aux épisodes très courts (2-3 min). Le premier narre l’histoire d’un homme qui loue un appart dans une pension qui appartient à une collégienne. Cela donne lieu à des sketchs sur ce quotidien particulier entre tâches ménagères et vie de collégienne. Le deuxième relate les gaffes de trois amies qui vont au lycée. Tout simplement. Les deux animés sont très courts, vite vus, peut-être vite oubliés aussi (certainement), mais c’est le format qui veut ça ; toutefois c’est un bon moment. Y a plus de générique que d’animé 🙂 Cinderella Nine : “Quand Tsubasa Arihara entre au lycée municipal Rigahama, elle découvre qu'il n'y a pas de club de baseball ! Elle prend alors l'initiative de monter une équipe féminine. Ses recrues ? Des filles qui n'ont jamais touché une batte de leur vie, d'autres qui avait pratiqué ce sport mais ayant arrêté, ou d'autres encore aimant relever de grands défis ! Ce drôle de club va être confronté aux méandres de la jeunesse, entre disputes et encouragements. C'est ainsi que commence le plus chaud des étés que ce lycée a jamais connu…” Je ne pourrai pas dire mieux et plus que le résumé de cette série animée. Ça aura été un petit coup de cœur pour ma part. Un chouette animé sportif qui sait prendre son temps pour mettre en place son histoire, ses enjeux et son cadre. C’est ce qui m’aura peut-être le plus surpris : cette façon de ne pas aller à toute vitesse et pourtant donner cette impression que ça avance quand même vite. Par exemple : l’équipe en elle-même, met du temps à être constituée ; on ressent toutes les difficultés et la progression de ce club particulier. J’ai passé un excellent visionnage et ai pu découvrir et mieux comprendre certaines subtilités du baseball. Autre point positif : certaines musiques collent bien à l’action et relèvent bien le tout. L’étranger de la plage : déception et un peu vide j’ai trouvé. L’histoire d’un jeune écrivain homosexuel qui s’est retiré dans une pension isolée pour y vivre une vie tranquille et qui un jour est rattrapé par le jeu de l’amour et du hasard l’obligeant à requestionner son choix de vivre cacher pour vivre heureux. Ben c'était très moyennasse. Asobi Asobase - Workshop of fun : on suit trois camarades de classe qui ont monté un Club de Joueurs dans leur collège et qui aiment se lancer des défis autour de jeux simples. Un animé qui aura su remplir le contrat de me faire bien marrer ; chaque épisode est organisé autour de 3-4 petits arcs narratifs présentant le délire du moment de nos collégiennes. C’est bien fendard ; les réactions de nos jeunes héroïnes, avec force exagérations et grimaces, accentuent l’aspect cartoonesque et hystérique qui passe crème et ajoute de la drôlerie à la drôlerie. Are you lost ? : ici à la suite d’un accident d’avion, quatre amies échouées sur une île déserte doivent mettre en place des stratégies de survie en attendant un hypothétique sauvetage. J’ai passé un excellent moment à suivre cette courte série (12 x 12 min). Dans l'esprit, cela m’a beaucoup rappelé Man Vs Wild et Bear Grylls puisque parmi les quatre adolescentes, une s’y connait particulièrement bien en matière de survie et débrouillardise (son père explorateur aventurier lui a inculqué tout ce qu’il faut savoir dans ce type de situation extrême). La vie est bien faite. quand même :).
  11. Sur ce dernier mois de 2022 : -une partie de Navegador à deux joueurs. Comme celle du mois dernier je perds de peu. C'est d'ailleurs amusant de constater que l'on peut prendre deux voies stratégiques bien différentes et parvenir à se tenir au score. Par "voie stratégique différente", j'entends s'amuser et se forcer à se positionner systématiquement différemment de l'action choisie par l'adversaire sur la roue d'action. C'est stimulant et ça permet d'échapper à ce petit travers, où on tombe un peu tous dans la même ornière à PV avec la mécanique de la roue. Enfin pas toujours, mais parfois. Très bonne partie toujours est-il. -cinq partie de Magic à deux joueurs. J'ai enfin pu jouer mes decks Magic full D&D. C'était trop bien et ça fait bien plaisir toutes ces belles cartes estampillées Les Royaume Oubliés 😍. Y avait quelque chose de drôle d'ailleurs à ces parties. Ma camarade de jeu joue des decks Strixhaven : des cartes avec des illus de gens très propres sur eux portés sur le savoir itou. Moi avec mes decks plus bigarrés et haut en couleurs de gens et monstres plus portés sur l'action pas forcément menée avec réflexion, l'opposition se faisait marquante et amusante tant dans le style que les illustrations. -deux parties de Res Arcana à deux joueurs. La baffe ludique que j'ai prise ! J'ai ce jeu depuis sa sortie ; je l'avais précommandé à l'époque. Je l'avais y a des années de cela joué en mode schizophrène, puis je n'avais plus eu l'occasion de le sortir et le jouer. Et là en cette mi-décembre, j'ai pu enfin le proposer et le découvrir pleinement, et quelle gifle et plaisir j'ai pris. Pour ceux qui aiment comboter, l'est top ce jeu. Tout peut se combiner. Dans un sens. Mais aussi dans un autre sens. Il est simple et profond à la fois. Je ne pense qu'à en refaire des parties depuis. C'est vraiment un très gros coup de cœur tardif (alors même que je l'ai depuis sa sortie). Mieux vaut tard que jamais.
  12. Elle est très bien cette collection intégrale des Valerian. Je me souviens qu'à les lire à la suite, j'avais ressenti le changement de style, l'affinage du dessin, la recherche du ton avant que les deux auteurs ne trouvent leurs marques et leurs touches personnelles pour en faire ce que c'est devenu. Ouais de la bonne SF humaniste à l'ancienne au charme indéniable. Bonne lecture.
  13. Edrahil

    Cinéma, Cinéma Tchi Tcha!

    Raison numéro 6 (pour moi) : Greta Gerwig à la réal'. Je l'adore en tant qu'actrice, et sa réalisation/réinterprétation/modernisation de Les Filles du Dr March m'avait réjoui. Curieux et intrigué du regard qu'elle va porter sur l'icône Barbie.
  14. Edrahil

    LEGO

    Je crois que ça avait été un projet soumis à un vote. Mais plus très sûr 🤨
  15. Exactement. Rien qu'avec l'adaptation de Paper Girls qui demandait une ambition FX importante, cela a donné une adaptation pour le moins décevante, sinon maladroite et merdique. On rogne et on adapte certains passages parce que ça ne pourra pas être représenté (parce que trop cher), mais en même temps on dévoie l'œuvre d'origine et on s'en écarte de trop, pour donner autre chose. C'est presque la lettre et l'esprit de la lettre. Même sans trop de thune avec inventivité, ambition créatrice (...) on peut demeurer fidèle à une œuvre, un univers... Faudra bien qu'il définisse ce qu'ils veulent faire et comment représenter WH40K. Là je me sens méfiant et échaudé. À voir.
  16. "Ça me fait quelque chose." Même si je ne fréquente plus le site depuis 4-5 ans, ça n'a pas été toujours le cas... Que d'heures passées à parcourir ses innombrables fils de discussions improbables il y a une bonne quinzaine d'années. Une autre époque, un autre temps. TT a fortement concouru à mon éveil ludique. Ça va faire bizarre...
  17. Ah ! J'avais cru comprendre que la campagne Anathazerïn avait une coloration plus "sombre" et moins manichéenne que les premiers CO. Le moment venu, on verra bien alors... De toute façon, au pire, pour une première vraie campagne, cet Anatharezïn-là pourra bien faire illusion le temps de cette découverte du jdr. Ils sont tellement embarqués que je ne les vois pas rechigner. En ayant ce que tu me rapportes en tête, ce sera l'occasion de faire un point avec eux sur leurs attentes, leurs envies (...) dans un moment. Mon rêve secret c'est de les amener plus tard, après CO, à D&D 5ème Ed. avec ces personnages haut en couleur et plus ambivalents niveau moralité. Comme quoi, on y revient à cette ambiguïté morale .
  18. Hier après-midi avait donc lieu cette première partie sur la campagne d’initiation Les Disparus de Clairval des Chroniques Oubliées. Je peux dire sans me tromper que ça a été un franc succès et que les jeunes joueurs ont été enchantés de cette première expérience rôlistique. Ma crainte première aurait été que je doive aller les chercher au couteau à huître pour qu’ils participent, parlent et s’animent… mais non ! Aucune timidité, z’ont tout de suite été dedans et ont basculé dans l’imaginaire sans a priori. J'avais bien bossé ma maîtrise, et tant au niveau des règles que du scénario, l’expérience s’est avérée fluide. Après faut bien reconnaître que l’aspect pas à pas de la prise en main de ces scénarios d’initiation est vraiment bien fichu et top pour les débutants. En matière de débrouillardise, ils m’ont surpris. Je les avais imaginés s’éparpiller sur l’intrigue, passer plus de temps sur le scénario… ben même pas. Ils ont été alertes et vifs d’esprit allant vite sur cette première aventure tant et si bien que je n’avais pas préparé suffisamment. Mais ç’a été l’occasion d’assurer le passage de niveau pour la suite et de faire un point sur cette première réunion. Je suis toujours étonné de voir combien les jets de dés peuvent être malicieux : le “1” au D20 survient toujours quand il faut ou ne faut pas selon le point de vue (joueurs Vs MJ). Ce genre d’événement aide nécessairement à faire naître une adversité poissarde bienvenue lors des parties ; et hier en a été l'illustration parfaite. Ex : le Guerrier Orque du groupe, un peu pataud, glisse et chute là où c’est presque le plus attendu, -et ça c’est cool. Et ce genre de choses les a ancrés un peu plus encore dans l’expérience du jeu de rôle et ce qui en fait son sel. Pour le MJ débutant que j’étais hier, c’est du pain bénit. A l’inverse, quand dans le seul combat de la partie (contre une araignée géante), ce même Guerrier Orque m’esquinte mon Araignée Géante avec un coup d’épée magistrale, ça reste superbement dans le thème et l'ambiance et je fais durer ce combat qui aurait pu s’achever trop tôt. Adaptation tout ça tout ça. En définitive, tout ceci a concouru à faire naître une bonne ambiance à la table, avec déjà des bons souvenirs dus à des retournements et cela augure du bon pour la suite. D’un point de vue adulte, j’ai hâte qu’ils aient pris un peu plus de bouteille et d’expérience et qu’on s’achemine naturellement vers des histoires moins manichéennes et trop simples (la campagne Anathazerïn de CO devrait remplir cet office). Mais on verra. “Toujours en mouvement est l’avenir”.
  19. Monsieur razorspoon, Vous m'obligez diligemment à poster ceci ici :
  20. 3615Mavie : hier je prends enfin possession du bundle (Le Destin d'Erebor, Les Seigneurs de la Terre du Milieu, Sylvebarbe + les deux boites métal pour cartes LGdA) que je m'étais pris chez Nuts ! Publishing. Et quelle ne fut pas ma surprise de constater que dans la boite des Seigneurs de la Terre du Milieu il y avait les deux cartes corrigées et réimprimées Galadriel et Saroumane issues de La Guerre de l'Anneau. Une superbe attention que d'avoir pensé à faire cela de la part de l'éditeur. Ils avaient déjà assuré en les mettant à disposition sur le site de façon nickel itou et c'était déjà top. La gestion client/joueur passionné est toujours optimale chez les Nuts ! Un grand bravo pour ça.
  21. Oui ça tourne, c'est satisfaisant. À la base nous devions être 4 joueurs... puis finalement que 2. Je n'avais pas relu les règles pour rien boudiou ! Après les jeux comme Ages of Empires III, Endeavor, et là Navegador, je les préfère en effet à 3-4 joueurs. Juste pour accroître les concurrences sur le plateau et que ça frictionne un peu. Pour Navegador, à deux joueurs, il m'a semblé que l'on pouvait plus se permettre d'avoir une stratégie floue pas forcément optimisée et malgré tout se tenir au score. Juste une impression comme ça toutefois.
  22. Ouais ! et s'il est basé dans le Vercors en plus, y va bien galérer avec son débit "je clique, je vais boire un café pendant que ça charge"
  23. Ces derniers temps du très varié en parties jouées : - 2 parties de GANYMEDE à 2 joueurs : simple et combinatoire ; toujours de très bonnes parties. Jamais déçu. - 2 parties de HAPPY CITY à 2 joueurs. - 1 partie de The Lord of the Rings - Deck Building Games chez Cryptozoic Entertainment Je pourrais y jouer vingt fois, vingt fois je reviendrais ici pour dire combien j'aime ce jeu simple de deck building avec ce goût de reviens-y. Je ne m'en lasse pas. - 1 partie de LA GUERRE DE L'ANNEAU à 4 joueurs chez des amis qui l'ont : jamais jouer jusqu'alors à 4 joueurs. J'y croyais pas trop mais j'ai trouvé que ça tournait plutôt pas mal aussi dans cette configuration. Je préfère quand même à 2 joueurs et le total contrôle que cela offre. Sinon quel jeu de fou qu'il est bien ! Toujours un effet waouh ! - 1 partie de NAVEGADOR à 2 joueurs : ça faisait longtemps que je ne l'avais pas sorti. Je ne me rappelais plus combien il y a de nombreux curseurs à "bouger" et prendre en compte dans sa stratégie pour mener une partie cohérente et optimale. J'ai joué n'importe comment je dois dire : aucune visée à long terme, j'ai papillonné de coups en opportunités, pour au final m'en sortir pas forcément trop mal. J'ai perdu 105-112. C'est honorable.
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